Louise se mit à rire à gorge déployée. Elle adorée son ami et sa façon de lui remonter le moral continuellement. Elle avait toujours été comme ça, extrêmement gentille et surtout très brutal dans certains de ses propos. C’était pour ça qu’elle l’aimait.
Elle arrêta de sourire soudainement en pensant aux future. Frédérique le remarqua aussitôt et pris sa main doucement en lui faisant un sourire.Frédérique: Tu vas me manquer.
Louise: S’il te plaît ne parle pas de ça.
Frédérique: Pourtant il va le falloir. Tu essaies toujours de ne pas parler de ça et pourtant c’est important.
Louise: Ce n’est pas terminé. Tu as encore beaucoup de choses à vivre et je ne veux pas que tu t’en ailles.
Frédérique: Je n’ai pas non plus envie de partir mais c’est ainsi. Je me suis fait une raison et je ne le vis pas mal. J’aimerais que tu le vives aussi bien que moi. Je n’ai pas envie de te combattre encore par rapport à cette situation. Je n’ai pas envie que tu passes ta vie à financer des soins qui n’apporteront rien.
Une larme roula le long de la joue de Louise. Frédérique continua, elle avait le besoin de lui dire ce qu’elle pensait.
Frédérique: Tu finances des soins en laissant ta vie de côté pour que je puisse vivre un mois de plus. Alors qu’au final ce sera pareil. Je devrais partir à moment donné. Je préférerais encore que tu me ramènes un gogo danseur ou du vin rouge.
Louise se mit à rire et Frédérique en fit autant.
Frédérique: Ou sinon je veux bien une photo de Dario et de son énorme…
Louis se leva brusquement et lui dit qu’elle allait s’en aller avant qu’elle ne finisse sa phrase. Son ami se mit à rire. Louise s’empourpra rien qu’à l’idée de l’imaginer nu. Il devait être sublime, contrairement à Pedro qui lui était vraiment gringalet. Durant le trajet du retour, elle eut quelques pensées torrides en songeant à lui. Elle se demandait même comment cela pouvait être possible alors qu’il était monstrueux avec elle. Malheureusement, elle avait extrêmement mal aux pied. Après quatre heures de marche, ce n’était pas étonnant. Elle était quand même passer dans un magasin pour s’acheter une paires de chaussures de marche. Elle savait que désormais, pour se rendre à l’hôpital, il faudrait qu’elle y aille à pied. Les chaussures qu’elle portait actuellement était complètement abîmé et surtout elle n’était pas faite pour la marche.
C’était des toute petite tennis en jean avec une petite semelle.
Quand elle arriva à la Villa, elle avait beaucoup de mal à marcher, chaque pas était une torture. Elle commença à monter les escaliers afin de se rendre dans sa chambre. Quand elle fit retourner de force par Dario. Quand elle posa son regard dans le sien, elle pouvait voir sa nervosité. Comme de coutume se disait-elle intérieurement.Dario: Où étais-tu!
Louise: Je suis allée faire les boutiques comme je te l’avais dit tout à l’heure.
Il ne la croyait pas.
Dario: Tu mens ! Tu veux me faire croire que tu as marcher deux heures pour aller t’acheter un vêtement.
Elle se détacha de lui et commença à devenir nerveuse également.
Louise: Premièrement ça n'est pas deux heures mais quatres. Deux aller et deux retour. Ensuite, ce ne sont pas des vêtements que j’ai acheté mais une paire de running. Pour pouvoir me déplacer vu que je n’ai pas de voiture. Et que ce n’est certainement pas toi qui va m’en procuré une.
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Le Désir De Vengeance
RomanceDario est un homme qui ne vit que pour une chose : la vengeance. Mais sur son chemin se dresse une jeune femme qu'il va utiliser sans scrupules jusqu'à ce que son cœur lui dicte une autre conduite. Se fiera-t-il a son plan ou à son cœur ?