Le Désir De Vengeance

chapitre 9

Hello, dsl de publié que maintenant. J'ai eu quelques problèmes, que j'ai mis dans mon autobiographie pour ceux qui souhaitent aller voir. Je vous mets deux chapitre histoire de rattraper un peu le temps perdu.
XoXo Jane

Julio: Je suis désolé patron mais les nouvelles ne sont pas bonnes.

Dario le regarde en fonçant des sourcils. Il avait demandé à Julio d’avoir des informations sur la relation qu’avait Louise et Pedro. Il se demandait pourquoi Pedro ne prenait pas des nouvelles et pourquoi il ne faisait pas tout pour la retrouver ?

Dario :  Je t’écoute.

Dario se dirigea vers le minibar et pris une bouteille de whisky. Il vida le liquide dans un verre qu’il but d’une traite.

Julio: Il a des maîtresses dans tout le Portugal.

Dario: Sérieusement ?

Julio:  Oui, et depuis toujours d’ailleurs. Même quand Louise est entrée dans sa vie et ça à continué.

Dario: C’est étrange je pensais qu’il l’aimait.

Julio :  Pedro n’aime qu’une personne, c’est lui-même.

Dario:  C’est pas faux. Continue.

Julio: Le père de Louise, Rodrigo  faisait partie de la mafia des Renegos. Il est également en contact avec la mafia des Dicks. Quand il à voulu prendre sa retraite, il a échangé sa fille contre une coquette somme et une villa.

Dario était choquer. Comment pouvait-on agir de cette façon avec sa propre famille?

Julio:  Il habite au Brésil maintenant.

Dorio: Il y a quelque chose que je ne comprends pas. La mafia des Dicks ne fait pas partie de la mafia donc Pedro est membre.

Julio: Oui, je n’ai pas vraiment compris comment ça s’est passé.
Les Dicks sont partout. Il y a probablement quelqu'un que ça arrange.

Dario: Oui, enfin peu importe.

Julio: Patron ?

Dario le regarda et Julio continua.

Julio: Qu’est-ce que vous allez faire de Louise maintenant?

Dario: L’épouser.

Julio le regarda stupéfait par sa phrase.

Dario: Il y a un truc avec cette fille. Peu importe que ce soit Pedro, Rodrigo ou les Dicks. Elle représente quelque chose d’important et si je l'épouse, elle sera moi et personne ne pourra la prendre. Ma vengeance sera faite.

Julio:  Je comprends.

Dario: Il va falloir mettre des hommes là-dessus, et creuser. Je veux savoir ce qu'il se passe.

Le lendemain, Louise était allongée sur son lit. Elle songeait à Dario, comme à chaque fois. Pourquoi est-ce qu’il monopoliser son esprit ? Elle ne pu avoir le temps de se poser une énième fois la question, qu’il entra dans la chambre. Il s’approcha du lit  et s’assit à ses côtés.

Dario: Comment va ton pied ?

Louise:  Beaucoup mieux merci.

Dario: C’est parfait. Il va falloir que tu viennes avec moi dans mon bureau.
Il y a un de mes associés, je veux juste que tu restes à côté de nous.

Louise fronça légèrement des sourcils mais pouvait-elle refuser ? Il était devenu gentil avec elle et avait pris soin d’elle et de son pied. De plus, elle n’avait jamais appris à se poser des questions sur les affaires de son père ou de Pedro. Alors pourquoi se poserait-elle des questions sur Dario ? Il la pris dans ses bras pour la transporter jusqu’à son bureau.

Louise:  Je peux marcher tu sais.

Dario: Je sais, mais je préfère te sentir près de moi.

Cette phrase était sorti toute seul et il l'avait pensé. Il ne regrettait pas de l’avoir dit, le cœur de Louisa rata quelques battements. Ils entrèrent tous les deux dans le bureau et il l’assiet à ses côtés. Un homme plutôt âgé était face à eux. Il commença à parler avec Dario en portugais. Elle ne comprenait pas beaucoup le Portugais, même si elle était venue vivre ici depuis quelques années.
Elle avait toujours du mal. Heureusement que dans la ville où elle vivait avec Pedro, ils parlaient essentiellement Anglais ou Français. La seule chose qu'elle ai pu comprendre c’est que l’homme en question ce dénommé  Louzano.

Louzano:  Você quer casar com ela?

Quand il avait dit cette phrase il regardé Louise. Elle ne comprenait pas ce qu'il venait de dire. Elle se retourna vers Dario. Il lui chuchota.

Dario: Souris et dit sim.

Elle le fit. Louzano continua de parler avec Dario en portugais et celui-ci se leva pour partir. Il ferma la porte derrière lui avec un grand sourire.