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Je suis assise sur le lit,quand il rentre sans toquer.Quelle inbécile pense-je.
Il me toise de haut en bas,avant de m'ordonné de le suivre.je le fait sans broncher.arrivé en dehaurt du palais.Je remarque que les geans qui s'activaient autour de nous,laissent leur occuation et se courbent pour leur rois.Ils nous laisse passer,nous arrivons dans une patisserie.Que veut-il qu'on fassent ici,alors qu'il a toutes sorte de nouriture dans sons palais.
Il me regade et l'incompréhension se fait lire sur mon visage.
Le patissier nous salut d'une reverance ou plutôt salut le rois.
Que puis-je faire pour vous mon rois ? Demande t'il au rois.
Il ne lui repond pas.
Vas choisire tous ce que tu veux dit le rois en s'adressant à mois.
Mo..moi?Demandais-je
Pour simple reponse,il me lance un regard noir.Alors je suis l'homme qui s'occupe de cette patisserie et en choisie sous ses commentaires.

On sort et une voiture noire nous attendais. Je rentre accompagné de mon Kidnappeur.mes menbres etaient douleureux causé par trois heures de route.Nous sortons,mon Kidnappeur. me fait avancer je jete des œllades autour de nous.
Je n'arrive plus à respirés je suffoque.Nous sommes dans la pleine nature,auccune habitation,que des arbres.Mon manque d'oxygène est causé par la peur.Vont-il me tuer?
Une jufle monumentale me ramène sur terre.
Des tentes on été intallé,une dixiènne d hommes nous avaient accompagné.
Arrivé dans la tente,il me lache,pour arrangé quelque affaire.De mon cotés,je reflechis à comment m'echapper.Je ne suis pas une sotte.Je sais qu'on n'est pas là pour une excursion et mangé des patisseries.

Je me reveille après une nuit à sursauté du moindre bruit.
Vient! Me presse le diable.
Je le suis comme toujour.

Dehors l'air frais me fait frissoné,voilà des heures q'uon marche dans cette forès.ces hommes son resté sur place.
Mes pieds me font souffrir,je me fait violence à maintenir le même rythme que lui.Mes pieds me laissent à bout de soufle,mon corps tombe lourdement sur ce sol tapisser de feille morte de part et d'autre de feille non sec.
Alèrté surement par le bruit de ma chute,il se retourne.
Je rampe sur le dos,tout en reculant je l'observe effrayé.Il s'avance au fur que je rampe en arrière.Il tend sa main pour m'aider à me lever.Ma main ne fait auccune mouvement pour se joindre à celle de mon Kidnappeur.

Un souflément d'agacement,me libère de mon paralysie.Il me porte pour me deposer sur le sol ferme.
On vas prendre place sous cet arbre.M'indique mon kidnappeur.
Une volenté de soulagement,me fait avancé.Je finis ma tragectoir sur une pière sous l'abre indiquer par mon kinappeur.

Celà fait dejà un moment quand mon Kidnappeur m'interpelle.je regardais un point fixe à cotés des roses blanche et rouge qui se trouvait à 8pats de notre arbre.je sentais bien son regard sur mon corps.
Nous alons passer la nuit ici.Me dit-til.
M..mais on a pas de tente.Dis-je
Et alors.Dit-il
J..je..f.Auccun mots n'arrivais-je à sortir complet dans ma douce.
Ses yeux me regarde en me faisant comprendre qu'il y'a qu'un chef.
Son avertissement eu comme effet sur moi de me faire frissonner plus encors quand ses mains ferme et douce à la fois carresse mes lèvres.Son regard est deriver sur mon visage, nos yeux s'embrassent.
Que veut-tu ma belle dit-il.
J..je.Balbutais-je
Tu..Demande t'il en faisant l'innocence.Ses yeux montre le contraire,il sait la frayeure qu'il exerce sur moi.
Je voudrais savoir si je puisse avoir quelque chose à manger.souhaitais-je.
Sa bouche frôle mon oreille.Son soufle s'aba sur mon oreille.
Veut-tu assisté à une partie de chasse avec moi Pour notre dîner princesse?Demande-t-il
Et les patisseries?Demande-je à mon tour.
Il se raproche de plus, nos corps se touche.Ma poitrine se soulèvent et s'abaisse à un rythme anormale.
Ma belle,je n est pas envis de manger des brioches.N'est-ce pas que tu ne veut pas me laissé dormir de faim,hein?
J'hoche la tête sous le coup de la peur.Il se penche,et m'ordonne
<<Alors tu vas me faire un putin de repas après cette chasse.>>
D'accord.crit-il.
O..u oui oui .Repondis-je en empêchant mes larmes de couler.
Okay mon ange ne pleure pas D'accord.Dit-il.
J'hoche la tête,putin il est fous.
Il me me tire par la main pour me mettre sur pieds.
Nous marchons il y'a cinq munite,quand une rivière rentre dans nos champs de visions.Tiens dit-il en me donnant une bouteille vide.
Vas remplire cette bouteil d'eau.
Je m'exécute.

Tandisque je fermais la bouteille,un bruit de craquement de branche m'etirent de mon occupation.
Mon Kidnappeur me fait signe de me taire et de ne pas bouger.
J'obeis sans bronchément.
Il sort un couteau bien tranchante à l'arrière de son gean.Il s'etait changer aujourd'huit en un jean et un t-short noir.Tandis que je portais celle de la veille.

Dans une demarche calculé,il s'avance vers son proie,qui n'est autre qu'une biche.La biche etait occupé à brouter l'herbre.Il se jette sur la biche,ils roulent ensemble avant qu'il apuit un pied à un arbre pour s'imobiliser avec la biche prise au piège.La biche pousse un cri de detresse,quand le metale froid de la lame tranchente de son predateur exerce de de plus en plus de presions sur son coup.

Tandis que le sang se versa du corps de la biche,elle gigota jusqu'a perdre son dernier soufle.
IL se lève comme si de rien n'etais et porte le gibier jusqu'a près d'un arbre.

Son regarde rencontre le mien effré.Il me demande de le rejoindre.Je me lève et marche en manquant plusieur fois de tombé.Je m'arrète près de l'abre,en osant pas m'assoire près de lui,et de l'animal mort.Il se lèvent,ses doigts ensanglanté fait des cercles sur mon visage,j'etait tout blanche comme un cadavre.
Sais-tu-faire du feu? dit-il?
Non. Repondis-je.
Vas chercher des bois en attendant je vais m'occuper de la biche.M'ordonne-t-il.

Le règne d'un roi au cœur sombreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant