chapitre 1

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L'Amérique s'offrait à moi à quelques miles de là. Les gratte-ciels de New-York reflétaient le soleil, puis central park et ses parterres verdoyants et enfin l'aéroport, nous allions atterrir.

Arthur lui aurait paniqué dès son départ me priant pour faire changer d'avis le pilote mais je l'avais laissé en Angleterre seul face à cette famille de fou furieux...
Non je n'ai pas le temps d'y penser pour le moment !

Je sortie de l'aéroport et vis une entrée de métro, je m'engouffrais et sautant par dessus le tourniquet n'ayant toujours pas d'argents, au pire un agent viendra et je lui dirai ce que je veux qu'il entende.

Je n'avais jamais pris le métro mais je devais me débrouiller, je commençais donc à suivre la foule jusqu'à la rame où j'entrais non sans pousser deux ou trois personnes, j'essayais de comprendre là où je me trouvais mais je ne voyais que des noms de personnes connues pas un lieu, la panique s'emparait de moi mais il ne fallait pas craqué, je ne devais pas être si perdue que ça, non?

Je constatais que les gens autour de moi avait pour la plus part des costumes et des mallettes noir, ce devait être des hommes d'affaires, il y en avait souvent à Buckingham, il venais demander à la Reine la provenance de certains gros virement. La plus part du temps je leurs embrouillaient le cerveau d'idées farfelu qu'ils croyaient systématiquement.

Une vieille femme dans un coin m'attira, cela pouvait sembler malsain mais mon cerveau était attiré pas le sien, je sentais qu'elle pouvait mettre utile et m'approchais lui demandant  gentiment où se trouvait la gare la plus proche, elle me dit alors d'attendre encore quatre arrêts et qu'elle serait en face de moi.

Voilà qui pourrai m'aider, je comptais aller dans le Nord des États-Unis, il y a de grandes forêts ou je pourrais me cacher et préparer la sorti d'Arthur... Le pauvre...
Non je ne dois toujours pas y penser!

Je suivis à la lettre les recommendations de cette bonne femme et arrivais face à un grand bâtiment blanc où beaucoup de monde allaient et venaient, c'était un lieux plutôt effervescent cela ne m'arrangais pas trop, le métro avait été à peine supportable, mon cerveau à la connexion facile et se balade rapidement entre tout le monde, ce qui me donne des migraines terribles. Mais je fis avec et entra, je regardais les panneaux pour voir si il y avais pas un train pour le Nord. Oui ! mais il me faudra attendre, rien qui ne tuerait une femme je vous dirais.

Je m'étais installée sur un banc à mis chemin de l'entrée et des quais, je voyais tous ce qui ce passait.

Quelques minutes après que je me sois posée un homme grand mince entra dans la gare. Il était muni d'une arme de poing mais j'en distinguais facilement d'autre sous ses vêtements .

Il se tournas et je ne reconnus que trop bien Henri, le majordome de la reine. Il étais là pour moi! Une peur panique s'immisca dans mon être pas tant pour moi que pour les personnes présentes ici qui n'avais pas eu de chance .

Je décidais alors de leur dire de partir loin, l'effet de foule ferait le reste.

Henri s'approcha et me dit:

"Rend toi ou ...

Je lui coupais la parole et dit :

-Quoi tu me tuera?

- Non la reine à envie de se défoulé depuis un petit moment. "

Non pas elle. C'est la pire dans toute la famille royale. Elle ne se souci de rien n'y de personne et la connaissant elle s'occupera d'Arthur pour me déstabiliser. Je ne peux pas . À ce moment là je ne contrôlais plus rien, mais je ne souhaitais pas me retenir je savais de quoi j'étais capable .

Je me souvins que de cette onde qui émanait de moi, détruisant tous sur sont passage et Henri que je voyait se consumer lentement criant sans qu'on l'entende; J'en jubilait intérieurement que j'aurais aimé pouv..

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Je me réveillais plus tard, sans avoir la moindre idée du temps qui c'était écoulé. Je me trouvais dans une drôle de boîte toute de verre, estampillé Centre Anti Teroriste de Berlin, j'étais assise mains et pieds liés. Je devais être vraiment dans les vaps.

La boîte elle, étais dans un grande pièce au mur de béton sans fenêtre avec pour seul source de lumière un néon au plafond . Il y avais une table et une chaise se trouvant devant une très grosse porte blindée, à côté de moi une autre boîte contenant un homme de taille moyenne, athlétique au cheveux longs, il possédait un drole de bras en métal.

Je devais sortir de là même si cela l'impliquait, pour plus de discrétion je décidais de passer par le mental :

"Pourquoi es-tu là ? Tu sais comment sortir?"

Choqué par notre connection il se retourna et me regarda avec des yeux d'un bleus profond, je le reconnus :

"Bucky?"

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Voilà premier vrai chapitre j'espère qu'il vous plaira merciiiii 👋

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