La légende de la plume: Meryl à la découverte du monde

Chapitre 15- Connaître son ennemi pour mieux le battre.

Les cours ne sont pas très compliqués, c'est l'entraînement qui est le plus dur mais, pourquoi Elle s'entraîne ? Pour battre un fou ? Oui mais est-ce qu'elle le connaît vraiment ? Non ! À part qu'il est horrible et qu'il écrit des livres, elle ne sait rien. Meryl pense que pour le battre il faut en savoir plus car oui, elle peut esquiver ses sorts, lui en infliger quelques-uns, lui faire un peu mal mais, elle ne sais pas comment le détruire réellement et s'il faut elle ne pourra jamais le détruire mais simplement le blesser continuellement. «Rha ! Tant de questions sans réponses !» Elle a envie aller voir la directrice pour lui poser des questions puis aller consulter internet. La bibliothèque est en ligne maintenant. Enfin il est possible d'y accéder en ligne normalement. Maintenant qu'elle y pense ce n'est pas sûre qu'elle demande à la dirlot parce que pas entièrement confiante. Il lui reste quand même internet et c'est le plus important pour trouver des infos comme quel genre de cahier il utilise, quel genre de bague-baguette il a, d'où il vient, quel est son pouvoir, sa force et autre. Enfin tout ce qu'il est possible de trouver sur lui qui pourrait être intéressant. La tâche ne sera pas facile. Elle a un ordinateur magique à disposition dans la salle multimédia mais ne sais pas s'il y a une vraie bibliothèque avec de vrais livres. Elle doit aller demander s'il en existe une ou pas. Parce que, C'est possible que rien ne se trouve sur internet et ce Haldaros n'est pas de l'époque connecté. Il est né bien avant. Il se pourrait bien que des informations se trouvent dans des livres et d'autres sur internet :

« - Bonjour Orine.

- Bonjour Sarah. Que puis-je faire pour toi aujourd'hui ?

- Euh, voilà. J'aimerais savoir s'il y a une bibliothèque dans le coin. Une magik bien entendu !

- Oui. Il y en a une mais elle n'est pas dans l'école. C'est la bibliothèque générale magik. Elle se trouve à la capitale mais il y a une porte qui y conduit. Tu veux que je te la montre ?

- Et bien, oui. Merci.

- Mais de rien c'est normal. Je pensais que tu la connaissais. Ah oui, c'est vrai que tu ne l'as jamais su pour tes pouvoir donc tu ne connais pas tout ce qui est dans le monde magik. Allez. Allons-y ! »

En fait c'est super simple. La salle informatique est comme une extension de la bibliothèque mais réservée à Magika donc la porte se trouve dans cette salle. Ce n'est pas écrit sauf quand on ouvre la porte. Pour les amagiks c'est une armoire à sacs. S'ils veulent utiliser un ordinateurs ils doivent mettre leur sac à l'intérieur. Il est question bien sûr de la porte de la bibliothèque. Elle n'est pas accessible a des amagiks. S'ils tombent sur des livres magiks ils risquent d'avoir des surprises et pas que des bonnes. Certains peuvent dépasser le livre. Si Meryl va dans cette biblio, elle est sûre de trouver des infos. Après, elle ne s'attend pas à en trouver des tonnes non plus. C'est risqué de faire des recherches sur ce Haldaros ou bien d'essayer de le suivre pour récolter des infos. En tout cas c'est l'idée qu'elle s'en fait. Un être aussi puissant est difficile a suivre. Faudra aussi qu'elle fouille sa carte (qui contient une salle d'entraînement) de fond en comble pour trouver des choses que ses parents auraient pu lui cacher à l'intérieur. Elle est quasiment sûre qu'elle peut trouver plus de choses avec ses parents, qu'avec d'autres personnes/sources/choses. Meryl ne part pas défaitiste mais pas non plus très optimiste. Découvrons cet endroit rempli de livre et de savoir magik. C'est hyper grand. On dirait un labyrinthe. C'est pire qu'un centre commercial. Et pas les plus petits mais les plus grands.

«Tiens, mon téléphone sonne, bizarre, je vais répondre on ne sait jamais qui ça peut être. Mais, ce n'est pas mon téléphone ! En plus, il y a écrit le nom de la directrice sur le nom de l'appelant. Bon, je vais quand même répondre même si c'est bizarre et que je me demande pourquoi j'ai un téléphone qui n'est pas le mien dans mes affaires. En plus, normalement je n'ai pas cours avant deux heures au moins.» Elle décroche :