La légende de la plume: Meryl à la découverte du monde

Chapitre 20- Fini les vacances.

La voilà de retour à Magika. Brooklyn et Hanaé l'attendent devant l'entrée. On cours et on se fait un câlin de groupe. Meryl est trop contente de les retrouver. Elles ne perdent pas trop de temps, il y a cours toute la journée. Heureusement que ce midi il y a la pause en même temps, ça leur permettra de papoter et de se raconter les vacances. Du coup elles vont se commander à manger et aller dans leur monde secret pour passer un peu de temps ensemble.

«J'ai déjà hâte, rien que d'y penser, je suis sur un petit nuage. Me***de mais, je flotte vraiment ! Comment je descends ?!!! Help, à l'aide !!!» Crie la jeune fille en l'air.

La directrice tan sa bague-baguette et la fait redescendre. Elle explique que Meryl vient de léviter parce qu'elle a pensé à un nuage et que c'est peu commun. Peu de personnes savent léviter. Il va falloir apprendre à gérer ce pouvoir tout nouveau pour elle et au quel on ne s'attend pas forcément. Les copines sont surprises et la félicitent.

Meryl ne comprend pas ce qui se passe du tout. C'est comme si tout son corps était déréglé. Ses pouvoirs n'en font qu'a leur siennes. Fidji vérifie que personne ne la vue et la fait entrer rapidement dans l'établissement. Elle lui demande de la retrouver dans son bureau après les cours ce soir.

Le trio me demande ce qui va se passer. Il faudra patienter et voir. En attendant c'est l'heure des cours. Ce matin elle commence par le cours de magie débutant. On y apprend toujours des choses basiques comme attraper un objet sur le bureau d'un autre élève, envoyer quelque chose à l'autre bout de la pièce, faire écrire un crayon, le maniement de la bague-baguette et d'autres choses assez simples. C'est parfois ennuyeux mais il faut passer par la pendant un ans après ce sera fini et l'année prochaine il y aura un cours de magie un peu plus avancé.

À ce qui paraît on peut ne pas avoir ce cours en seconde année et en dernière année mais, pour cela il faut avoir un bon niveau et passer un test. Seul quelques élèves réussissent en général.

Apparemment il y en à un ou deux qui n'ont même pas eu besoin de passer le test. On a pu observer leur capacités pendant leur première année et jugé qu'il était bon de leur éviter ce cours pendant la seconde année. Ce n'est pas dit lors de la première année mais au tout début de la seconde. Sauf pour exception et là les copines de Meryl étaient au courent donc elles lui ont dit. Disons que certaines choses traversent les couloirs de ce lycée. C'est plutôt cool il faut dire. Le cours commence et l'ennuie s'installe déjà. Le prof s'en rend compte donc donne un exercice un peu complexe à la jeune fille pour voir si elle suit ou pas. Lorsqu'il est réussi, il devient tout bizarre.

Il s'étonne de cette réussite. Il m'a demander de prendre l'apparence de quelqu'un de la classe et normalement on apprend ça en dernière année parce que c'est pour une utilisation spécial et c'est dure à maîtriser apparemment. Et puis c'est surtout parce que si quelqu'un maîtrise cet art tôt il pourrait faire des ravages en se changeant en n'importe quoi, qui. Et les problèmes que ça peu engendré ! Je n'imagine même pas !

Le prof comprend alors que ce sont des cours qui ne sont pas de son niveau. Il lui demande de rester en place et de suivre jusqu'à la fin. Le cours ne doit pas être interrompu Quel que soit le problème. Il veut aussi lui parler après. La jeune ado n'aime pas ça. Elle se sent privilégié quelque part alors qu'elle veut être comme tout le monde. Comme elle ne sait pas ce qui l'attend elle termine le cours en silence. Il continue à faire faire des exercices bateau. Une des filles galère un peu, elle a même réussi à exploser son cahier de notes. Le prof lui a interdit de réutiliser sa bague-baguette jusqu'au prochain cours.

Il va demander à ce qu'elle est des cours de soutiens en magie. C'est tout à fait possible en première année et normalement en seconde année plus besoin. Ce genre de cours de soutient est bon pour les étudiants en difficulté. La jeune Meryl se dit qu'elle en aurait bien besoin aussi pour apprendre certaines choses.