Mon cauchemar

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Bismilah

Je me réveille tout doucement avec quelques rayons de soleil et un doux vent qui me caressait délicatement le visage , je sens que je suis dans un lit , très doux en plus , j'ouvre lentement mes yeux et me rends compte que je ne suis pas dans ma chambre oooh 😯. En observant bien , Cette chambre est magnifique , tout est en blanc , la couleur des murs , les meubles, le drap et même les rideaux.
Sauf la porte qui était en rouge et les petits papillons qui se trouvaient sur le mur qui étaient peints en bleu et orange le tout orné d'un jaune doré avec des brillants je crois.
Je descendis du lit pour mieux contempler la chambre , elle est merveilleusement décorée, comme j'aime , je dirai même que cette déco est de moi.

Je continue mon exploration et la e vois un cadre , je m'en approche , c'est une photo de Djibril et moi , on pouvait y lire le bonheur.
Je le dépose et continue. A travers les rideaux je vois une baie vitrée, je me dirige vers elle et l'ouvre, je comprends d'où venait ce vent si doux , devant moi se dressait une magnifique plage en plus il faisait beau temps ☀️.

Tout droit je vois une personne sur le sable, je le reconnaîtrai entre mille, c'est mon homme , Djibril. Je cours vers lui et l'enlace pas derrière, il sentait tellement bon , comme d'habitude.

Djibril : T'es enfin réveillé, je t'attendais .

Moi: Tu sens tellement bon mon amour. (Toujours en le tenant par derrière).

Lui: Merci , viens là (en me faisant passer devant).

Il me caressait la joue tendrement avec un petit sourire, mais je lisais de la tristesse dans ses yeux .

Djibril: Taches de ne jamais perdre ton sourire.

Moi: Ça ne risque pas d'arriver ,tant que je suis avec toi.

Djibril : Même sans moi, promets le (en me tendant son auriculaire droit ,le petit doigt ) .

On avait l'habitude de faire nos promesses ainsi.
Je le prends avec le mien en disant "promis " .
J'aimais pas son sourire, il était triste.

Moi: Qu'est-ce que t'as ? Je te trouve triste.

Djibril : Rien , absolument rien ... viens on va s'asseoir sur le sable .

Il me tenait par la main et la sienne était hyper froide, comme s'il avait tenu une glace.

On était assis depuis quelques minutes maintenant et aucun d'entre nous ne parlait, on profitait du beau paysage . J'aimais tellement la mer , elle m'a toujours fasciné , elle est immense aussi comment ne pas l'être .

Djibril me fait revenir de ma rêverie, quand il décide de rompre le silence.

Djibril : Tu te souviens de tous ces rêves qu'on avait, comme voyager en bateau ?

Moi: Oui , on à toujours voulu voir ce qui se trouvait de l'autre côté de la mer .

Tout en me rappelant de cette époque où on faisait plein de projets en voyant les avions passer, la belle époque, on rêvait tellement grand.

Accusé à tort Où les histoires vivent. Découvrez maintenant