L'histoire de Klaine continue !

Chapitre 12 : DE RETOUR À NEW YORK

Durant le mois qui avait suivi, Blaine marchait de mieux en mieux avec l'aide de ces béquilles. D'ailleurs, Kurt remarqua qu'il devenait un peu plus musclé au niveau de ses bras, ce qui ne lui déplaisait pas du tout. Le médecin avait également diminué la dose d'oxygène. Le brun n'en avait plus, enfin en théorie. Il devait l'utiliser seulement s'il était essoufflé, s'il toussait beaucoup... Plusieurs fois par jour, il devait, donc, remettre sa lunette et allumer sa machine pour mieux s'oxygéner. Il devait toujours prévoir ces bouteilles d'oxygène avec lui à n'importe quels moments.

Le rendez-vous chez le médecin était aujourd'hui, vendredi dix mai deux mille treize. Kurt accompagna Blaine comme à tous ces rendez-vous. Une fois dans le cabinet du docteur, l'annonce tomba.

- Au vue de tous vos progrès, autant physique, que moteur, mais également votre respiration qui s'améliore, je vous propose un retour à la vie "presque normale", il imita les guillemets avec ces doigts. Je transférerai votre dossier médical ce week-end à l'un de mes confrères de New York qui vous suivra là-bas. Je lui expliquerai tout de votre situation pour qu'il ait toutes les clefs et je lui suggérerai mes idées. Vous allez devoir continuer les séances de Kiné deux à trois fois par semaine, vous êtes sur la bonne voie pour récupérer toutes vos capacités. Tout devrait aller pour le mieux maintenant pour vous.

Les garçons furent aux anges, ce qu'il se passait été merveilleux. Ils allaient enfin retourner chez eux. Leur petit cocon ainsi que leurs intimités leur manquait énormément.

Quand ils furent rentrés, ils annoncèrent la bonne nouvelle aux parents de Kurt. Ces derniers furent tellement contents, mais en même temps la tristesse se lisait dans leurs yeux, surtout ceux de Burt. Passer autant de temps avec leur fils et beau-fils étaient vraiment agréable. Mais, ils devaient les laissés repartir et c'était une nouvelle déchirure. Le père se rappela le jour où il avait emmené son fils à l'aéroport pour qu'il parte vivre à New York. Il avait à peine dix-huit ans quand il était parti vivre loin de lui. C'était une des pires épreuves de la vie pour ce père surtout après la mort de la maman de Kurt. Il eutl'impression de revivre exactement la même épreuve à part que maintenant, il y avait deux départs celui de leur fils qui avait vingt-et-un ans et celui de son beau-fils de dix-neuf ans. Kurt le prit dans ses bras en essayant de le réconforter. Les garçons avaient prévu de partir dans quatre jours, à exactement trois mois de leur départ pour Madagascar.

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Le couple d'hommes avaient enfin passé la porte de leur appartement. Le brun se vautra dans le fauteuil content d'être enfin de retour chez lui, chez eux. Le châtain avait monté tous leurs bagages et rejoignit son mari dans le divan. Ils furent tellement heureux d'être de retour après trois mois d'absence, loin de leur vie New Yorkaise.

Kurt se tourna vers sa moitié qui le regardait avec intensité puis l'embrassa fougueusement. La respiration des deux jeunes hommes s'accélérèrent rapidement. Le châtain prit par la main son conjoins et l'aida à aller jusque dans leur chambre. Ce fut assez comique car habituellement ils auraient continué de s'embrasser, de se caresser, d'enlever leurs vêtements, mais là, étant donné que Blaine ne marchait pas sans béquilles, Kurt lui servit de canne. Ils se mirent à éclater de rire. Une fois installé dans leur lit, le brun reprit là où ils s'étaient arrêté. Il embrassa son mari avec la plus grande tendresse, ses mains parcoururent son corps et le l'approcha de lui pour qu'ils soient l'un contre l'autre. La chaleur monta dans la pièce. Le cadet poussa son conjoins sur le dos pour se mettre à califourchon dessus, il continua de l'embrasser avec fougue. Leurs respirations s'accéléraient encore et encore. Leurs caresses furent de plus en plus passionnées, tout comme leurs baisers. Ils commencèrent à se déshabiller dans une telle rapidité. L'ondulation de leurs bassins vit le jour rapidement. Leurs corps fusionnèrent. Le malade commença à avoir de plus en plus de mal à respirer. Il se remit sur son côté du lit d'un coup.