10- Combat

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   Tu pars chez toi et quand, à peu près à 400 mètres de chez toi, tu entends:

?? : Humff ! Laisse moi tranquille, je ne te connais pas et je ne veux pas le faire !

??? : Tu as un joli minois beau gosse ! Laisse toi faire et je te paierai beaucoup si tu le fais fort et avec envie !

?? : Même pas en rêve !

                 Clac !

??? : T'as dit quoi là ?

      Tu t'aproches de la petite ruelle d'où vient le son, tu restes cachée derrière un mur et regardes prudemment. Tu écarquilles les yeux en reconnaissant les cheveux bicolore rouges et blancs. Tu regardes avec plus d'attention la scène pour savoir ce qui se passe. Shoto est au sol, la chemise deboutonnée et la ceinture défaite. Au-dessus de lui se tient une femme aux cheveux attachés habillée avec un short très court et en brassière. Tu sors alors de ta cachette et t'approches vivement.

Toi : Tu fous quoi là connasse ?!

     Shoto tourne sa tête vers toi, ses yeux ont une lueur, il a peur et il pleure.

Shoto : T/p... Pars elle désactive les alter tu ne pourras rien contre elle. Elle est trop forte, je n'arrive même pas à me dégager...

      La femme relève la tête.

La femme : Tu ferais mieux d'écouter ton copain, il a raison. Et pour répondre à ta question, j'allais le baiser très fort !

Toi : Je n'ai pas besoin d'alter pour battre quelqu'un.

      La violeuse sort de sa bouche un rire narquois, attache Shoto à un poteau avec une corde solide.

La femme : Réglons ça à la loyale. Sans alter car comme tu dit tu penses pouvoir me battre mais je vais te tuer petite !

     Elle se met à courir vers toi, tu l'esquives au dernier moment, te retourne, lui attrape le bras. Puis, tu la balance par terre, elle atterrie lourdement. Tu marches vers elle quand elle se relève. Tu la plaque contre le mur le plus proche et lui frappe le visage. Du sang coule sur tes poings ainsi que sur le visage de la femme. L'inconnue t'attrape la robe et la déchire de  tout un côté. Alors, quand elle veut te mettre un coup de poings, tu baisses la tête et l'attrape par la taille, tu la jettes par terre et sans lui laisser le temps de se relever, tu es déjà sur elle en train de la frapper.

Shoto (pense) : Mais t/p va la tuer !! Je ne savais pas qu'elle avait autant de force ! Si seulement je pouvais me sortir de là. Mais attend... Si la pute se bat avec t/p, elle ne doit plus penser à moi !

     Il brûle alors la corde et court vert toi. Il t'attrape les épaules et te dit:

Shoto : C'est bon t/p, calme toi, je me suis libéré.

     Tu le regardes les larmes aux yeux.

Toi : Mais elle a voulue te faire du mal je dois lui faire comprendre la leçon !

La femme : Hé, écoute le beau gosse et lâche moi grosse pute!

     Tu te retournes et la frappe violemment au visage.

Toi : TA GUEULE ! Je vais te laisser partir mais si tu OSES TOUCHER encore une fois à un de mes amis, JE TE DEFONCE !!!

     Tu te lèves et part avec Shoto. La femme elle, court comme elle peut, apeurée.

Shoto : Viens chez moi, je vais te soigner c'est la moindre des choses. Et il est tard, tu es fatiguée et bourrée.

Toi : Ok...

      Vous rentrez dans son appartement, il est spacieux et accueillant. Tu te poses sur le canapé et Shoto revient avec une boîte à pharmacie. Il  soigne les égratignures de tes poings et les rares bleus sur tes bras.

Toi : Je peux rester dormir ici ?

Shoto : Bien sûr ! Tu veux prendre une douche ?

    Tu hoches la tête et il t'accompagne à la salle de bain. Il te dépose un pull géant pour te servir de pyjama ainsi qu'un caleçon. Quand tu as fini ta douche tu le remercie.

Toi : Il est tout chaud merci ! Tu n'étais pas obligé pour le caleçon, mais j'avoue que mes sous-vêtements sont pleins de terre à cause de tout à l'heure.

Shoto : Derien. Vas dans ma chambre elle est en haut à gauche.

     Tu t'aides des murs pour t'y diriger. Quand tu rentres dans la pièce, tu découvres une chambre bien rangée avec un lit géant couvert de draps bleu. Te te jettes dessus et t'enroules avrc la couverture.

Toi : Humm, ça sent bon ! De toute façon tout sens bout chez Shoto.

     A ce moment là, il est au pas de la porte.

Shoto :Merci, c'est la première fois que quelqu'un vient ici depuis mon déménagement.

      Il se blottie dans le lit et tu lui ouvres tes bras.

Toi : Câlin ?

Shoto : Heu...Quel genre de câlin ?

    Il te fait un sourire pervert. Tu lui frappe doucement le crâne.

Toi : Un câlin normal !

    Il sourit et se place dans l'espace vide qui restait entre vous deux. Il te serre contre lui et te murmure:

Shoto : Je t'aime...
   
    Tu souris et le serre plus fort. Vous passez la nuit comme ça. Une nuit calme et pleine de sérénité.

Shoto Todoroki X reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant