"Ma raison veut fuir mais mon corps souhaite rester."
Belzébuth, un homme violent, malmené par son passé.
Aphrodite, une femme forte de caractère, tourmentée par ses maux.
Il est de retour dans son club après huit ans d'absence, décidé à retrouver s...
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Une fois qu'une âme sombre dans les abîmes des cieux, Elle s'y retrouve engouffrée. Son voyage est sans retour...
Lou_dio
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Il y avait ce jeune adolescent de seize ans à peine, déjàcouvert de tatouages et dont une rage inconditionnelle se lisait dans ses prunelles. En effet, pour un garçon de cet âge, il était fort surprenant de se sentirétouffer par son aura et son charisme. Celui-ci embauchait un coin à autrui, l'on ne désiraitaucunement se le mettre à dos tant son apparence imposait d'autantplus la crainte que le respect.
Un regardperçant, deux billes aciers se rapportant au reflet des enfers. Une flamme dévastatrice semblait danser en elles comme si il parviendrait à tuer un individu en unregard. Sonvisage carré, taillé dans le marbre, ne montrait qu'une haine lancinante. Il ne fallait pas s'attarder sur ce corps sec, largeet extrêmement bien bâti. Sa carrure athlétique et diabolique ne pouvait qu'accentuer son effet démoniaque. De plus, les nombreux tatouages qui habillaient déjà son cou était un message clair annonçant qu'il ne fallait ni l'approcher ni lui chercher les embrouilles.
Rien ne semblait pouvoir ébranler ce personnages effrayant tant ses caractéristiques physiques apparaissaient comme étant terrifiantes. Cette physiologie qui s'apprêtait parfaitement à la psychologie de son hôte. Un mental d'acier formé grâce à ses expériences passées mais qui ne s'en tiendrait pas là, son calvaireétait sans fin.
Ilfaisait fuir tout le monde, l'on n'osait pas s'attaquer à lui et pourtant, le garçon se trouvait actuellement dansune situation désobligeante. Le peu d'humanité qu'il lui restait l'obligeait à se mettre à trembler, malgré l'arme qu'il tenait entre ses mains. La seule ancre qu'il possédait en ce momentétait en proie de disparaître sous ses yeux.
Sa rage ne pouvaitqu'êtreplusgrande, mais malgré tout, son désarrois la surpasser avec force. Risquer la vie de sa mère, il ne se le permettrait pas. Son chèregéniteur la tenait dans ses mains, tel une poupée de chiffon. Il lui braquait un couteau sous le cou, menaçant à tout moment de le fairesaigner.
