Chapitre 6

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[...] PDV d'Anastasia.

Au final, nous n'avions choisi aucun plan mais les cinq pour en faire un seul. Angelo avait été très fière de moi et me l'avait bien fait savoir en m'offrant un bon repas dans un restaurant hors budget pour moi. Mais je dois l'avouer ça avait été un superbe repas. Mais aujourd'hui c'était le retour à la réalité. On était le 31 décembre j'étais certes toujours dans mon lit mais je m'ennuyais à mourir. J'avais dit à Sacha d'aller voir ses amis que ça lui ferai du bien de faire une pause mais maintenant j'étais toute seule. Je regarda l'heure il était 14h. Je partis manger un morceau puis m'habiller simplement et je partis direction le bureau. Oui, oui, je sais le 31 on ne bosse pas normalement les garçons me l'ont dit mais je me fait tellement chier que je préfère faire quelque chose d'utile c'est-à-dire finir mon plan du bas maintenant.

J'arriva devant l'immeuble et passa par la porte de derrière heureusement qu'Angelo m'avait donner les clés. Puis je referma derrière moi et pris la direction du bureau du boss. Je me mis au travail tranquillement et mangea un bout vers 20h. Oui, j'étais toujours au boulot mais j'étais bien et j'avais de l'inspiration. Je commençais à avoir un peu mal au crâne je me décida à aller me reposer un peu sur le canapé qui était dans la salle de réunion juste à côté. Sauf que ma petite sieste ce transforma en nuit mais je fus réveiller par une sorte d'explosion que je connaissais bien puis que c'était avec ça qu'on ouvrait les portes quand j'étais dans la mafia. Je me releva doucement et regarda autour de moi. RAS. Je partis jusque dans le bureau récupérer mon sac au moins avec mon téléphone qui était à l'intérieur. Je me décida à seulement envoyer un SMS à Sacha car un appel maintenant en ne sachant ni qui ni où ni combien sont les cambrioleurs.

-"SOS". Envoyais-je pour savoir si il allait répondre.

-"Qu'est-ce qui se passe ?!!!".

Il m'avait répondu rapidement ce qui voulait dire qu'il était assez sobre pour comprendre même si je savais d'expérience qu'il tenait bien l'alcool.

-"Appel Dom. Je suis au bureau. Cambriolage."

Je préférais envoyer des phrases courtes et précises comme dans le temps.

-"OK. 5 min."

Je reposa mon portable et commença à réfléchir à comment je pourrais les arrêter. Déjà je savais qu'il n'y avait d'argent nul part sauf dans le bureau d'Angelo. Chose que j'ai découvert pendant son absence sans faire exprès, bien sûr. Après il n'y avait aucune arme dans le coin sauf peut-être les poids pour tenir nos feuilles quand on faisait des croquis. Il ne fallait juste pas que je loupe mon coup.

-"Arriver environ 15 min."

Une bonne chose de régler, la police serait bientôt là, mais en attendant il faut que je fasse quelque chose sinon je sens que tout va être ravagé.

Je décida de prendre un des poids et partit chercher les intrus. Je traversa le couloir en faisant le moins de bruit possible ce qui était un véritable art. Heureusement que mon père m'avait formé comme une véritable assassin. J'ouvrais la porte sans problème pour me retrouver sur un grand hall mais pas celui de l'accueil. Je remarqua du mouvement sur ma gauche. Je me glissa alors le long du mur jusqu'à la personne. J'arrivai derrière lui et abattu mon poids au niveau de sa tête. Je le rattrapa avant qu'il ne touche le sol et partit l'installer dans un coin tranquille. Je le regarda et je connaissais cet homme car il faisait partit de ma famille avant que je ne parte. Je soupira mes gars étaient entraîner comme des militaires donc réussir à tous les avoir serait compliqué surtout qu'ils ne savent pas que je suis sorti en plus d'être sous les ordres de Varo. Et surtout armer jusqu'au dent. Je regarda mon portable il n'y avait que 5 min qui était passer pour le moment et j'en avais attraper un seul. Je soupira et partis direction le grand hall d'entrée. J'avais récupéré l'un des flingue du gars que je venais d'assommer. Enfin flingue plutôt une mitraillette, quoi. Je me mis à siffler comme je faisais anciennement quand j'entrais dans un bâtiment qu'on allait cambriolé. J'ouvrais les grandes portes et débarqua dans le hall mitraillette sur l'épaule. Je continua de siffler et partit me mettre au milieu de la grande pièce. Je tourna sur moi et regarda tous ces hommes que j'avais connu depuis petite pour la plus part. Il y avait quelques nouvelles têtes qui n'avait pas l'air de me connaître et qui avait plutôt l'air de vouloir me faire la peau.

Les frères De Luca 2- AngeloOù les histoires vivent. Découvrez maintenant