J'étais à l'opposé du chef suprême, il était en train de piloter le vaisseau. J'ai essayé de contacter Organa mais il n'a pas répondue. J'espère que l'alliance vont très bien. J'ai une hâte que la guerre soi terminé.
Kaemon : TP, viens ici. Il faut qu'on parle.
TP : ...
Je ne supporte plus le maître Kaemon, j'arrive très lentement dans la pièce qu'il est. Il m'indique de m'asseoir sur le fauteuil du co-pilote. Je fais ce qu'il m'a demandé, je regarde tout les alentours.
Kaemon : Tu vas continuer à m'ignorer longtemps , TP ?
TP : ...
Kaemon : Et en plus, tu vas rester silencieuse. Tu sais qu'il faut un échange entre nous, j'ai l'impression de parler à un mur. Cela arrive parfois qu'entre les jedis, nous ayons des tensions surtout dans les duos maître et padawans.
TP : Qu'est-ce que tu veux ?
Kaemon : En tant que chef des jedis, je dois prendre des décisions importantes quelque soit le sujet. Il faut que j'agisse selon plusieurs facteurs. Actuellement, tu n'est plus toi même et tu encore en rétablissement. Je t'enverrais plus en mission, le temps que tu sois rétablis à 100% de tes capacités. Tu ne pouvais pas rester avec eux.
TP : Je ne vais sûrement pas rester cloitrer avec toi sur la planète. J'ai d'autre chose à faire plus important. Je connais les limites de mon corps, je peux aller en mission même si je ne suis pas complétement guéri.
Le chef suprême a fait atterrir le vaisseau sur la planète. Je sors complétement furax du vaisseau, le chef suprême s'en alla vers maître Yoda et maître Windu.
Pendant une semaine, je suis restée enfermée dans ma chambre sans voir personne. Les jedis essayaient de me parler à travers la porte mais je n'ai jamais répondue à eux. Ils me déposaient des boissons et des alimentations mais je n'ai rien mangé. Toute la pièce est noir, je suis enroulé dans ma couette sur mon lit. J'ai fermé ma porte à clé pour que personne ne puisse entrer. J'entends des bruits de pas venir près de ma porte, il s'arrête et toque quelques coups mais j'ai décidé de l'ignorer.
Maître Yoda : TP, tu de la pièce dois sortir pour un grand bol d'air frais prendre. Ce pas bon pour toi n'est de rester enfermé. ...........
Pendant qu'il continue de parler, je suis arrivée près de la porte. J'ouvre celle-ci et j'aperçois maître Yoda. Je ferme quelques minutes les yeux car je ne suis plus habitué à la lumière du soleil.
TP : C'est la dernière fois que je le dit, laissez-moi tranquille.
J'allais fermer la porte mais maître Yoda m'empêcha de le faire et il me regardait droit dans les yeux.
Maître Yoda : Ce n' pas la vie d'un jedis est, il que faut tu t'entraine et médite.
TP : Laissez-moi vivre ma vie, peut-être que j'ai plus envie d'être un jedi.
Je laisse pas le temps de répondre un maître Yoda que je lui claque la porte au nez.
Quelques semaines plus tard, je suis toujours enfermé dans ma chambre mais le seul point positif, c'est que je m'aliment et bois. J'ai décidé de sortir de ma chambre et d'aller dehors. Je m'habille tout simplement avec des habits normaux et j'ai mis des lunettes de soleil. J'ai ouvert mes fenêtres pour aérer ma chambre mais il fait toujours noir. Je suis sorti de là, je vais au réfectoire me chercher à manger. J'arrive là-bas, je vois tous le groupe de padawans. J'entends qu'ils parlent de moi. Je regarde ma montre et elle indique 12h30. Je vois maître Yoda et maître Windu et je vais m'asseoir près de lui.
TP : Pas de commentaire, merci.
Maître Yoda : C' normal est qu'un jedis des moments de déprimes ou dépressions a. Le plus difficile, c' de est pouvoir se relever.
TP : D'habitude, ils sont calmes les padawans mais là, ils font du boucan.
Maître Windu : C'est tout à fait normal. Depuis que tu es arrivée ici, c'est ta première apparitions depuis des semaines. Tu étais comme un fantôme, personne ne t'as vue.
Un peu plus loin, je vois le chef suprême accompagnée de maître Qui Gon. Ils se dirigent vers nous.
Chef suprême : Je vois que tu as fini d'hiberner.
TP : Pourquoi vous êtes revenus ? Votre mission n'est pas fini ?
Maître Qui Gon : Si, elle est finis depuis hier. Nous sommes entrée aujourd'hui.
Je laisse mon plateau sur la table et je quitte celle-ci. Je vais près de la fontaine, je m'assis sur un banc et quelqu'un a mis ses mains devant ses yeux.