Après avoir réfléchi, il estimait que Zola pouvait lui rendre le sourire. C'était une femme attachante et aimante et Avec elle, Alayaäna pouvait se changer les idées. Elle était trop enfermée et trop isolée, et Cela nuisait à sa santé aussi bien physique que morale. Les femmes adoraient faire les boutiques et si c'était le seul moyen de lui rendre le sourire, il allait prendre le risque.Il y'avait toujours ces porcs qui rôdaient dehors prêts à bondir sur elle et pour cela, il allait lui coller une garde rapprocher car il voulait que Zola et elle reviennent saines et sauves.
Farès - Vous m'écoutez Cheikh Akmar ?
Il leva immédiatement son regard sur Farès.
Farès - Ilyas nous a prévenu que tout était prêt, on attend la confirmation des hommes des frontières.
Akmar - Merci, ça sera tout Farès.
Farès - Quelque chose vous Tracasse Monseigneur ?
Oh ça oui!
Cette nuit là, c'était lui qui avait appelé. C'était pour le prévenir des dernières mis à jour mais là n'était pas le problème. Ce qui le dépassait c'était de savoir comment son esprit avait pu permettre à ses yeux de se refermer et jusque-là il n'avait pas de réponse... ou il ne voulait pas le reconnaître.
Akmar - Tout va bien.
Farès- Vous me permettez une question Majesté ?
Akmar - Vas-y. Lança t'il en se levant pour se poster devant la fenêtre mains sur le dos.
Farès - Que va-t-on faire de Mademoiselle Gianni si nous devions rentrer au pays ?
Cette question il se la posait tout le temps et là encore, il n'avait pas de réponse.
Avant, il avait réponse à tout, il avait des solutions pour n'importe quel type de problème mais aujourd'hui, il semblait avoir perdu cette capacité. Alayaäna était venu insinuer les troubles dans son esprit toujours si ordonné !
Akmar - Et bien nous aviserons !
Farès n'insista pas et sortît l'instant d'après.
Alayaäna... Alayaäna!
Mais qui était cette femme pour ainsi bazarder son esprit et mettre en mal sa volonté de mettre en priorité son plan? Elle s'était imposée avec une telle facilité !
Aujourd'hui c'était devenu Elle sa priorité.
Alayaäna n'arrêtait pas de regarder dehors. La baie vitrée de la boutique donnait sur un trottoir assez mouvementé et à chaque fois, elle attendait apparaître un visage qu'elle connaissait.
Zola- Elle t'ira bien celle-ci regarde ! S'exclama t'elle.
Alayaäna ne réagit pas, trop occupée à inspecter les lieux.
Zola- Tu vas surveiller chaque entrée encore longtemps ? Nous n'avons que trois heures et le Cheikh a horreur qu'on ne respecte pas ses ordres, Jusque là personne n'a jamais osé et nous n'allons pas être les premières.
Alayaäna se retourna en tirant sur ses doigts puis passa son regard sur la pile de vêtements qu'avait choisi Zola.
Alayaäna - Mais... je n'ai pas besoin d'autant d'affaires ! Il me faut simplement des serviettes hygiéniques, quelque jeans et t-shirt...
Zola- Tu n'as pas le sens du style Alayaäna ! Je vais m'occuper de toi c'est plus prudent. Lança t'elle avec entrain ; Toi essaye de te détendre. Regarde il y'a des gardes partout, tu n'as rien à craindre.

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VENGEANCE I : La Rencontre du Cheikh Banni !
Ficção AdolescenteN'ayant nul autre choix que D'accepter le compromis de sa marâtre, Alaäyana se voit être entraînée dans un cauchemar les yeux ouverts ; Mais alors qu'elle pense avoir fait le tour, une nouvelle déchirante la contraint de s'enfuir sans savoir que dan...