Episode 27

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Je passe tout tranquillement la grande porte de cette maison et je disparaît dans l’obscurité de cette nuit. Je vais d’abord a l’hôtel j’avais laisser les clés de la maison que Hassan m’avait acheter sur le lit. Je ne voulais plus rien avoir a faire avec ces gens. Je voulais seulement ma paix.

Pendant ce temps Farouk et Fatao devant le repas discute paisiblement.

Farouk : Tu veux me dire que tu serais capable de prendre la femme de Papa comme ça sans hésiter.

Fatao : Ils ne sont pas mariés. Après leur divorce tu les a vu allez chez l’Imâm a nouveau ?

Farouk : Tu a même fait attention à se détaille Fatao pense au cœur du vieux il risque d’en mourir.

Fatao : C’est l’une des raisons qui me retient.

Le téléphone de Farouk sonne Aïcha lui raconte ce qui c’était passer Farouk lui répond ~ j’ai compris je suis avec Fatao a l’appartement j’ai trop bu je ne peu pas conduire tiens moi au courant..

Fatao : iL s’est passé encore quoi

Farouk lui raconte a son tour l’affaire Fatao dit a son frère

Fatao :Tu vois ? Cette fille est trop précieuse pour la laissé subir ce genre d’humiliation mon frère.

Farouk inspire profondément et dit avec une voix tremblante

Farouk :Fatao tu va créé un grave problème dans notre famille réfléchis attend au moins la mort du vieux pour prendre la go.

Son petit frère se retourne et lui ajoute avec un sourire

Fatao : J’ai toujours fait ma part des choses je ne compte pas renoncer et attendre sa mort serait trop long je la veux tout de suite et pas dans 20 ans.

Farouk : Ce n’est pas une petite affaire Fatao ! Tu est près a perdre ton père pour le cul d’une femme sérieux mec réfléchit

Fatao : Ce n’est pas n’importe quel cul mon frère c’est le cul des cul et je la veux tu comprends. Mon père n’a pas l’âge de géré.

Farouk : Attend tu veux coucher avec la même go que ton père, et puis qu’est ce que tu raconte il gère toute les nuits la petite.

Fatao : Avec tout ces cries et larmes ? Le vieux est dépasser il n’arrive même plus à respirer tellement il est dépasser par la fille. C’est pas son chantier !

Farouk : C’est sa femme pépé ta belle mère mon frère qu’elle soit âgé de 30 ans où 2 ans c’est ta belle mère sa femme a lui.

Fatao : Ne te fatigue pas Farouk elle est a moi maintenant. Elle était ma belle mère il ne lui a pas fait confiance il a divorcé.

Farouk : Et alors il son revenue ensembles Fatao

Fatao : Quand elle est revenue il ne l’a pas ramener chez l’Imâm et pour finir cela fait longtemps qu’elle est libre tu me connais je ne suis pas nouveau pour toi.

Farouk : Bien sûr que je sais de quoi tu est capable c’est pour cela que je te demande pardon arrête toi avant la catastrophe

Fatao : N’essaie pas de te mettre sur ma route tant que Fatim n’est pas mariés avec papa je ne commet aucun crime.

Farouk : En gros ? Fatao tu étais le plus pieux de nous deux.

Fatao : La chasse est ouverte Farouk. Et ma foi je le laisse de côté pour le moment tout se que je veux c’est Fatim.

Farouk s’écroule complètement dans le canapé avec une main sur la tête et son verre de vin dans l’autre main. Le frère aîné savais que son père était capable de tuer Fatao. Comment faire pour que ces deux hommes ne se tombe pas dessus il ne savait pas comment régler se géant problème. Pour un salle coup monté qu’ils m’avaient fait Fatao se retrouve piéger dans son propre jeu.

Farouk ira se coucher avec la peur au ventre maintenant que Fatao savais que j’avais quitter la maison plus rien ne le retenait alors que son frère dormais il m’appelle je vais répondre.

Fatao : On peut parler toi et moi ?

Fatim : Écoute je ne vais pas revenir à la maison ta mère a eu ce qu’elle voulait je suis partie ton père est a elle maintenant

Fatao : C’est pour autre chose que je t’appelle.

Fatim : Tu ne m’a pas compris allez faire vos piège entre vous je ne suis plus la femme de ton père. S’il te plaît laissez moi.

Fatao : Ok d’accord je dois te parler c’est très important dit moi où tu est il faut qu’on parle toi et moi. Il y va de ma vie.

Je reste silencieuse un bout de temps et je lui donne l’adresse de l’hôtel dans lequel j’étais descendue.

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant