Chapitre 13: Episode 65

485 46 2
                                    

Fatao : Jusqu’à aujourd’hui ce côté de lui existe encore tu le verra nous tous on voit se côté de lui mais on se tait. Aujourd’hui tu connais la vérité sur Farouk.

Fatim : Mais Rahim !

Fatao : Avec la naissance de Rahim Farouk a changer il est devenu son tout. Farouk n’avait plus de tendance violant. Fatim tout les week-ends on était dans les bagarre j’étais toujours là pour l’empêcher de commettre le pire. Dès que Farouk a vue Rahim plus de bagarre il passait des heures avec lui bien sûr ma mère surveillait toujours. J’ai vite compris que personne sur cette terre ne pourrai aimer Rahim comme Farouk. C’est lui son père pas moi.

Fatim : Pourquoi tu ne me l’a pas dit plutôt ?

Fatao : Je te l’ai dit. Je t’ai dit qu’il était fou et dangereux. Il aurait pû tuer Rahim, moi, Aïcha où Hassan. Je te l’ai dit.

Et c’est vrai il me l’avait dit mais pas aussi bien expliquer. J’ai été une conne. Je le serre dans mes bras je passe ma main sur son torse et je l’embrasse.

Fatao : Pourquoi tu me touche comme ça je vais pas te baiser tu est punit. Je ne vais pas te toucher pendant 3 ans.

Fatim : Ok

Fatao : pourquoi tu dit ok ?

Il m’embrasse il me feras l’amour encore et encore toute cette nuit. Je me dit dans ma tête si Aïcha savais sur qui elle était entrain de faire tout ces fétiche elle allait mourir. Une semaine plus tard les choses commence à se rétablir entre nous côté professionnel les choses n’allait pas chez Fatao. La fusion a 20 millions d’euro tomber a l’eau il devait payer une pénalité de 3 millions d’euro soit 2 milliard de francs CFA. Chez Farouk les choses se compliquent Irfah et Aïcha était toute les 2 enceintes.

Farouk était heureux mais était aussi inquiet ces 2 femmes enceintes dans la même maison? Du côté de Yasmin l’heure était venue mariée depuis bientôt 18 mois a Moubarak son premier bébé allait venir au monde. À l’hôpital Moubarak faisait les 100 pats en regardant sa montre on était tous là pour le soutenir a bout de nerfs. Maïmouna lui dit de s’asseoir et de se calmer. Alors qu’on attendait tous on voit Afdëk sortir d’une pièce ma mère crie

Amina : Tu est ici ?

Afdëk : Ça tombe bien j’étais sur le point de t’appeler maman. Je suis papa ma femme a accouché cette nuit d’une petite fille

La joie sera triple quand la nouvelle de la naissance de l’enfant de Yasmin nous atteint mère et enfant allait bien. Dans le calme je vais voir ma meilleur amie Yasmin on était tellement heureuse

Yasmin : Je vais allez danser au village avec mon enfant je te jure. Moi la stérile j’ai accoucher. iL vont mourir de honte.

Fatim : Tu va me tuer un jour. Je l’ai vue ton fils est beau…

Yasmin : Tu est fâché avec moi ?

Fatim : par rapport à Fatao ? Non au début oui je ne peu pas rester fâché aussi longtemps avec toi tu le sais.

Yasmin : Fatim je vais porter le plus beau boubou regarde moi je suis maman je vois le baptême Fatim je vais dansée.

Fatima : regarde où nous sommes aujourd’hui, qui l’aurait cru.

Yasmin : Je me voyais heureuse a côté d’Ousmane aujourd’hui je suis avec Moubarak j’ai un enfant de lui et je suis encore plus heureuse que je ne l’étais avec l’autre. Dieu et ces projets.

Fatim : Il s’est ce qu’il fait toute chose en son temps.

Yasmin : Tu a raison et toi tu va faire quoi ?

Fatim : Fatao et moi on veut travailler ensembles mais ma mère me conseille de faire un autre enfant d’abord comme ça après je pourrais commencer à travailler sans m’arrêter.

Yasmin : Ne fait pas cela moi je travaillais dans ma boutique étant enceinte le monde évolue ma chérie

Elle avait raison je veux travailler. A la maison Fatao était enfui dans les comptes de l’entreprise. Je m’assoie à coter de lui et je commence a l’aider il finit par s’endormir il détestait faire les comptes. Quand il se réveille j’étais entrain de lui faire son déjeuner sur la table tout était finit classer il n’avait qu’à jeter un coup d’œil. Il sursaute et crie

Fatao : C’est quoi se délire ?

Fatim : Il y a un problème c’est pas bien fait ?

Fatao : Si regarde cela fait 1 ans que je verse cette somme a ce fils de pute sans savoir pourquoi.

Fatim : Je ne comprends pas tu ne vérifie pas tes factures ?

Fatao : Oui mais c’est dernier temps j’étais tête en l’air.

Il cour sous la douche en partant il oublie son petit déjeuner ce garçon va me tuer. Quand il s’agit de son argent il peu rester trois jours sans manger. Je vais rendre visite à Afdëk et sa femme qui n’avait pas l’air d’aller bien

Fatim : Tu n’a pas bonne mine mon frère il y a quoi ?

Afdëk : Tu peu imaginer qu’une personne aussi petite peu crier plus fort qu’une télé ? C’est pas possible ce bébé pleure comme  si elle avait une armée de 5000 Homme qui la poursuit.

J’éclate de rire sa fille Yarima lui faisait des misères. Je vais la prendre et lui chante une berceuse elle s’en dort sur le coup. Afdëk et sa femme me regarde je connais se regard avant de parler Afdëk se jette à mes pieds.

Afdëk : Prend la une journée je veux dormir un peu pardon s’il te plaît je fais se que tu veux garde la avec toi juste 1h.

Je le regarde et j’accepte je n’ai pas le temps de déposer mon sac je le vois lui et sa femme s’allonger dans le canapé ils en dorment. Je souris un peu. Et je m’occupe du bébé je la regarde et je me disais qu’on avait de la chance de voir nos enfants. Vers 17h je les réveille tout les 2 j’avais fait le ménage et la lessive. J’avais même fait la cuisine. A leur réveille Yarima dormais a point fermer ils passe a table pour manger. Moi je les laisses pour prendre mon sac

Afdëk : Tu reviens demain ?

Fatim : Non mais je vais parler avec maman pour qu’elle vienne vous aider.

Afdëk : Oh c’est pas la peine maman et ma belle mère on signer forfait elles ont peur de la petite tu est la première qui l’a fait dormir. Tu peux l’emmener chez toi si tu veux.

Fatim : Non Omar et Yazir son des sauvages.

Afdëk : Elle va s’habituer elle a des poumons solide.

Fatim : Voilà ce qu’on va faire tu pourras l’emmener demain matin chez moi.

Afdëk : Non vient la chercher c’est mieux sinon je risque de finir en prison sérieux a chaque fois que je sors avec elle j’ai envie de la ramener au médecin pour qu’il la reprennent.

Fatim : Allah. Pardon donne moi ma nièce range ces affaires je la prend pour cette nuit.

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant