Pendant qu’il roulait a vive allure je commence a tirer sur le volant il n’a plus le contrôle sur la voiture il me gifle me frappe je ne lâche pas je redouble de force ont va finir dans un poteau électrique. Mon problème était pareille j’étais toujours bloqué dans la voiture avec lui. Pendant que j’essaie de débloquer la portière de la voiture il me tire par les cheveux me donne des coups j’arrive a mettre le pied sur le clackson de la voiture je ne faisait que clacksoner avec le pied je me débattait comme une folle une voiture qui passait par là s’arrête et vient a mon secours le gars réussi a s’enfuir dans la pluie la police est prévenue je me retrouve a l’hôpital. Blesser mais en vie je fais appel à ma mère qui vient a mon chevets.
Elle appelle Abdoul se dernier ne se voit pas sortir sous la pluie j’allais bien donc ça va il raccroche au nez de notre mère avec~ Si elle n’avait pas quitter la maison de son mari elle n’aurait pas de problème. Je crois que même a mes funérailles Abdoul serait presser de rentrer a la maison pour regarder son match de foot. Je vais passer deux jours a l’hôpital j’avais reconnue mon agresseur c’était belle et bien le frère de Mariam. Je porte plainte mais quand la police va le chercher chez lui il avait disparue sa femme et sa sœur jurant ne pas savoir où il était. Je parle de l’affaire a Yasmin qui me confirme qu’elle l’avait vue en rentrant du puits. La police va le prendre chez ces parents qui eux ne savais pas qu’elle genre de vie il menait en ville. Quand mon père apprend ce qui c’était passer il débarque à Bamako premier arrêt Abdoul qui pour la première fois de sa vie va se faire gifler 3 fois par mon père
Hamed : Ta mère et ta sœur t’appelle a l’aide tu refuses d’aller les assister tu te prends pour qui toi ? Tu veux tuer ma femme ?
Abdoul : Papa si Fatim n’avait pas quitter la maison de son mari elle n’aurait pas eu se problème elle veut nous mettre en palabre avec nos voisins au village.
Hamed : Problème avec nos voisins ? Parce-que c’est Fatima qui a demander aux enfants du voisins d’être des voleurs ?
Abdoul : Papa je ne mérite pas cette gifle c’est pas juste.
Hamed : C’est ma faute ta mère m’a dit que je t’éduque mal je ne voulais pas voir je pensais que tu étais capable de réfléchir
Abdoul : Papa ne dit pas ça je pensais que
Hamed : Que quoi ? Jouer les durs sur les femmes faisait de toi un homme ? Abdoul imagine que ta femme appel Afdëk et il refuse de venir alors que toi tu est a l’hôpital tu diras quoi ?
Et là Abdoul reste 5 minute a regardé mon père il comprend qu’il est aller trop loin. iL va présenter ces excuses a ma mère pour ne pas être venue l’aider. Hassan qui lui aussi avait appris se qui c’était passer arrive à la maison de ma tante pour me voir. Il me remet les clés de la maison qu’il m’avait acheter devant mon père en me disant~ si tu ne veux pas rentrer va au moins dans la maison que je t’ai acheté tu sera plus à l’aise et plus en sécurité. Le visage du maris de ma tante tombe parce que quelques minutes au par avant il avait dit a ma tante dans leur chambre de nous faire partir qu’on l’envahissait dans sa maison. Afdëk et moi on avait entendu mais on a pas parlé. Dès que Afdëk entend parler de la maison il monte faire ces valises et me regarde ma tante lui demande~ mon chéri tu va ou avec tes valises Hassan parle de ta petite sœur.
Afdëk lui réponds gentiment~ iL faut pas qu’on vous envahissent trop longtemps dans la maison de ton mari c’est pas bon. Tout honteux le maris de ma tante ne savais pas où se mettre. Ma tante le regarde pour qu’il fasse lui-même face a se qui sort de sa bouche. J’accepte au grand plaisir de mon père qui avait hâte de voir la maison. Dans sa tête il avait déjà quitter le village avec ces affaires on pouvait voir ces yeux briller de mille feu. Arrivée dans la maison je vais dans ma chambre et je laisse mes parents choisir la chambre qui leur plaît. Oui mon père était enfin propriétaire de la maison de ses rêves.
Hamed : Amina le mari de ta fille m’a blaguer au village là bas.
Amina : De quoi tu parles Hamed ?
Hamed : La maison qu’il est entrain de me construire au village est petit et n’a que trois chambres.
Amina : Tu voulais qu’il construisent un château pour toi ?
Hamed : Pourquoi pas je lui ai donné ma fille quand même.
Amina : Oui apparemment c’est Fatim qui compte pour lui tes fils vont hériter des maison au village et Fatim va hériter cette maison de son mari je crois que c’est juste comme ça.
Hamed: Une fille n’a jamais hériter dans ma famille
Amina: Oui mais elle n’est plus de ta famille elle est marié dans une autre famille tu as oublier ?
Hamed : ah oui c’est vrai. A partir de maintenant c’est toi qui t’occupe des problèmes de Fatim.
Amina : Pourquoi cette décision tout à coup ?
Hamed : Tu t’est occupé du problème regarde ou nous sommes. Nous avons maintenant une maison.
Amina : Hamed cette maison appartient à ta fille pas à nous.
Hamed : La maison de ma fille c’est ma maison. Arrête de me fatiguer. Abdoul et Afdëk vont hériter de la maison au village.
Amina : En gros tu ne vas plus vivre au village. Et ton Champs ?
Hamed : Je l’ai cultiver tout les jours de ma vie maintenant je suis au repos qu’ils se repose aussi.
Amina : Et la récolte ?
Hamed : J’irai faire la récolte de cet année et c’est finit pour un bon moment. Je vais laissé la terre se reposer un peu.
Mon père n’avait jamais vue une aussi belle maison même la maison du mari de ma tante a cause du quel il baissait les yeux devant lui n’avait pas la taille du miens. Ma mère ne lui a pas dit que j’avais reçu la maison avant les embrouilles avec Djamila. En dormant sur mon lit avec des douleurs affreuses au corps j’entend Hassan entrer dans ma chambre j’étais trop sonner par les médicaments pour dire quoi que se soit. Il se couche à côté de moi et s’endort lui aussi. C’est au milieu de la nuit que je pouvais me lever c’était bien Hassan je n’avais pas rêver. Je descends prendre un verre d’eau et je me mets a réfléchir pourquoi quitté cette belle maison où j’avais toute ma tranquillité. Réfléchissante sur la marche à suivre je sens un corps chaud se blottir contre moi c’était Hassan il me chuchote
Hassan : Je te dérange ?
Fatim : Non pas du tout tu a manger ?
Hassan: Oui je me fais du soucis Fatim tu va revenir à la maison? Ou tu vas rester ici?
Fatim : Je vais rentrer mais laisse moi le temps de guérir. Toi et moi ont doit se parler c’est très important je ne veux plus de mal entendu les va et vient me fatigue.
Hassan : C’est vrai mais je n’y peux rien a cette situation!
Fatim: Allons parler dans la chambre je ne veux pas que mon père sache ce qui c’était passer.
Nous deux nous montons et une fois les portes fermées nous allons nous asseoir sur le balcon pour parler.
Fatim : Ce qui se passe ne me plaît pas je me suis marié avec toi et depuis c’est les problèmes. La maintenant je suis dépasser je ne sais pas comment prendre ce qui se prépare.
Hassan : Crois moi Djamila ne recommencera plus c’est promis
Fatim : Appel l’Imâm marrions nous avant mon retour chez toi
Hassan : D’accord merci tu va rester pour toujours cette fois.
Fatim : Oui mais cette fois ci j’espère juste que je serai calme pour ne pas exploser.
Hassan : Tant que tu reviens à la maison je suis tranquille.
Sa famille ne lui a pas dit pour Fatao je me demande si je dois lui dire non faudrait pas qu’ils m’accusent de vouloir détruire leur famille. Prions que Fatao change. Moi-même je ne savais plus ou j’en étais avec mes propres sentiments. Hassan voyait que j’avais quelque chose a lui dire il m’embrasse me murmurant un je t’aime. C’était la première fois qu’il me disais cette phrase. Je me lève m’assoit sur ces genoux et le serre dans mes bras. J’avais de la chance d’avoir trouver un homme comme lui. Beaucoup de mes camarades n’ont pas eu autant de chance. Maltraiter réduite à une vie de misère, me voilà dans les bras d’un homme plus âgé mais bon et aimant. Hassan me parleras a cœur ouvert cette nuit là.
Hassan : Mon mariage avec Bintou était une union arranger. Mon père la choisi donc pas de choix nous étions très jeune ensuite il a choisi Aziza, Samira et Latifa après sa mort j’ai dû épouser Djamila pour consolider une promesse que ma mère avait faite il y a des années. Mais toi je t’ai choisit!
Fatim: Comment ça tu m’as choisit ?
Hassan: J’étais venue rendre visite à ma mère dans ma voiture je t’ai vue revenir du puits avec tes copines.
Fatim : Tu n’a pas eu de problème a épouser une fille de 16 ans
Hassan : Au nom d’Allah je ne savais pas que tu avais 15 ans quand je les appris ma mère avait déjà parlé a ton père sans me demander mon avis.
Fatim : Quand est ce que tu l’a appris ?
Hassan : C’est quand je suis venue parler avec ton père je ne pouvait plus aller en arrière. Pour moi tu avais 19 où 20 ans. J’ai tenue que tu est au moins ton Bac j’ai commencer à regretter ma demande en mariage je repoussait souvent la cérémonie de la dote.
Fatim : Pourquoi m’avoir épouser si tu regrettais ton choix ?
Hassan : Ma mère avait appris que le chef du village avait un fils qui s’intéressait a toi. Elle à accélérer les choses elle ne voulais surtout pas perdre la face dans le village.
Fatim : Ok je comprends mieux maintenant !
Hassan : Tu est parmi mes 5 épouses la première que j’ai moi-même choisit pas par perversité mais par sentiments.

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Fatim
Fiksi RemajaFatim une jeune fille qui va se retrouver marier a un homme plus âgé quel. Seul dans cette maison avec 5 coépouses elle pensait avoir trouver en Fatao un amis sincères mais très vite elle sera trahit. Une trahison qui va changer Fatim et lui montrer...