Chapitre 9: Épisode 45

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Abdoul s’approche de moi et pour la première fois de ma vie il me serre très fort contre lui en disant~ Pardon d’avoir été un si mauvais grand frère dans une autre vie je ferai mieux que cela.

Et il s’en va je suis rester là avec Omar dans mes bras choquer.

Le soir Fatao et moi nous discutions sur le sujet quand mon téléphone sonne c’était Yasmin qui me demande d’allumer ma télé catastrophe l’analyse que j’avais fait lors de cet émission télévisé a fait le buzz de Bamako a Lomé atterrissant sur les chaînes de télévision française.

Pourquoi je ne peu pas fermer ma gueule je ne voulais surtout pas attirée l’attention mais là c’était la flamme. Fatao ne comprends pas pourquoi je restais dans ma bulle il commence à se disputer avec moi parce-que j’avais refuser de répondre à la demande officielle d’un magazine économique qui voulais faire de moi sa chroniqueuse finance puisse que tout ce que j’avais prédit lors de l’émission est vraiment arrivé.

Fatao : Tu sais que tu est marié avec moi ? Alors pourquoi tu cache notre mariage ? Tu va cacher notre bébé aussi ?

Fatim : Non comprends. Bamako connait notre histoire si je ne veux pas être moi-même un sujet vaut mieux rester loin de tout

Fatao : Vaut mieux quoi tu a encore des sentiments pour mon père c’est ça ? Tu veux retourner avec lui tu ne veux pas que les autres savent que nous sommes mariés ?

Fatim : Fatao j’ai été la femme de ton père tu sais quel vision cela aurait sur nous ?

Fatao : Oui qu’elle est le rapport avec ce boulot ?

Fatim :Mon histoire peu compliqué la vie d’autres filles. N’oublie pas que nous sommes en Afrique. Toi tu est un homme.

Fatao : L’histoire de Yasmin est pire que pour nous regarde ta copine elle n’est même pas divorcer de son mari elle prépare déjà une autre vie avec Moubarak. Réfléchi tu veux vivre toute ta vie avec les ont dit où tu veux vivre ta vie on a grandi Fatima

Fatao me regarde énerver et s’en va de la maison il va devant la porte pour fumer. C’était la première fois qu’il m’appelle Fatima. Fatao était tellement en colère qu’il ira dormir dans son appartement. Seul a la maison avec Omar je réfléchis sur ces mots. Dans la même semaine Farouk rentre avec Irfah qui n’en pouvais plus son fils lui manquait.

Mais Farouk était revenue avec un autre scoop Irfah avait déjà un fils de 2 ans avec lui. Quand Farouk est parti épouser Aïcha Irfah était enceinte elle a accoucher d’un petit garçon que ces parents élevait c’était pour lui que Farouk était revenue. Assis dans notre salon Irfah était parti chercher le petit garçon qui était la photocopie de son père ce qui mène le frère aîné de Fatao a se poser des questions.

Farouk : Fatao pourquoi mon fils avec Aïcha ne me ressemble pas ? Est-ce parce que c’est le deuxième !

Fatao : Tu te fais des idées. Aller vient on va manger.

Fatao le savais si jamais Farouk découvre la vérité le sang va couler. Farouk était du genre calme avec un air Pacific mais il était fou plus fou que Fatao et ça même mon mari était au courant. Le lendemain pendant que je faisais le lit mon mari qui était toujours fâché contre moi ne m’adresse pas la parole il prend son sac pour le bureau et s’en va.

Tout d’un coup je ressens une douleur affreuse au ventre je me rassoies c’était tellement intense que je serre Omar très fort. Je prend le fixe dans la chambre pour appeler Fatao il venait de monter dans sa voiture quand il répond je ne parle pas mais Omar va parlé.

Omar : Dada maman aïe

Fatao rapplique il me met moi et Omar dans la voiture. Le temps d’aller chercher mes affaires pour l’hôpital je sens la portière se fermée je me tourne pour voir c’était Mariam et la femme de son frère. La femme de son frère démarre la voiture Mariam me donne un coup sûr le ventre avec sa béquille depuis le siège avant côté passager

Mariam : Qu’est ce que je t’avais dit qu’on allait se retrouver

Fatim : Qu’est ce que tu me veux encore ?

Mariam : Ton Fatao va signer pour libérer mon frère où bien tu va mourir je te le jure et ton neveu va finir dans un puits.

Omar avait vue comment Mariam m’avait donner un coup sûr le ventre cela lui a fait très peur il commence à pleurer très fort ce qui énerve Mariam qui tente de lui donner un coup de béquille sur la tête. J’attrape de justesse la béquille la douleur avait baisser je lui arrache sa béquille et commence à lui donner des coups au visage. Des jeunes en bordure de route avait vue la scène.

Quand je vois la femme de son frère ralentir a un coins j’ouvre la portière et me jette dehors avec mon petit Omar dans les bras. Le groupe de jeunes accourt, mes 2 ravisseuse fonce a toutes vitesse sous les pluies de pierres. Voyant que j’étais en couche ils essaient de me mettre dans un taxi pour l’hôpital mais les chauffeurs refuse ils avaient tous peur des problèmes. Je serre Omar très fort contre moi le petit était ma priorité je ne savais pas où j’étais et si Omar se perd où se fait voler je n’allais pas me le pardonner.

On finira par trouver un chauffeur qui acceptent de nous prendre je suis conduite à l’hôpital je refuse de rentrer en salle sans Omar et là j’entend une voix qui me semble familière c’était Aïcha qui était la

Aïcha : Docteur je la connais c’est ma belle sœur je peu prendre le garçon.

Le fils d’Irfah dans les mains de Aïcha ? Jamais de la vie je ne sais pas quand j’ai crier

Fatim : Astaghfirou-Llah pas de mon vivant éloigner cette fille de mon garçon.

Docteur : Madame soyez raisonnable

Fatim : Je préfère mourir

Aïcha : Qu’est ce qui te prend Fatim tu dois aller accoucher s’il te plaît fait moi confiance

Fatim : Va loin avec ta comédie. Docteur appelé ma famille

Le premier numéro qui me sort de la bouche c’était celui d’Abdoul il l’appelle et me donne le téléphone imaginer ma joie quand il décroche

Fatim : Subhana Allah wa bi hamdihi Abdoul vient au CHU la vie d’Omar est entre tes mains je n’en peu plus.

Aïcha : Tu raconte quoi docteur c’est la douleur amener la vite

Fatim : Aïcha je viens de sauté d’une voiture avec Omar tu crois que c’est la mort qui peut m’effrayer ?

Je commence à perdre du sang le médecin est effrayer une infirmière me dit qu’elle va garder le petit pour moi je lui demande si elle était prête a prendre toute les responsabilités s’il arrive quelque chose a Omar elle se tait ma vue devenait flou et après dix minutes je commence à devenir pâle. Abdoul arrive à l’hôpital. Omar va chez son père et avant d’être amener au bloc opératoire je dit a Abdoul.

Fatim : Abdoul ne donne pas Omar a Aïcha elle va tuer ton fils sans remords méfie toi d’elle. Elle est mauvaise.

Abdoul se tourne vers Aïcha la regarde et me fait un oui de la tête. Pendant que les médecins m’emmène Aïcha me lance un regard diabolique sans le savoir Abdoul et l’infirmière l’avais vue. Tout d’un coup elle se retourne comme si de rien n’était avec un grand sourire sur le visage et dit

Aïcha : Je vais prévenir Fatao et Hassan.

Elle s’en va ! Abdoul et l’infirmière se regarde déconcerté par ce qu’ils venait de voir. Abdoul n’avait jamais peur mais cette fois ci il a eu peur

Abdoul : Heureusement cette femme n’est pas rester avec mon fils. C’était quoi se regard bizarre.

Infirmière1 : Je comprends pourquoi votre femme a refusé de la laisser seul avec le bébé. Elle a préférée mourir que de lui donner le petit.

Abdoul : Ce n’est pas ma femme c’est ma petite sœur.

Infirmière1 : iL y a des gens qui ont de la chance dans cette vie.

Abdoul : Vraiment je n’avais jamais remarquer cette femme.

Infirmière : Ouvrez bien les yeux dès aujourd’hui sur votre petite sœur. Prier pour elle car je ne crois pas qu’elle va survivre elle a perdu trop de sang.

Abdoul se tourne il voit la marre de sang au sol il prend peur il sort son téléphone et appelle nos parents c’est mon père qui vient accompagner de Fatao et Afdëk. Dès que ma mère et ma tante on entendue le nom de Aïcha a l’hôpital elles ont disparu de la circulation. Yasmin débarque à l’hôpital en vitesse avec Moubarak qui va avec Fatao et Abdoul régler les formalités. Abdoul avait confié le petit a Yasmin. Après avoir payer Abdoul raconte ce qui c’était passer a Fatao

Fatao : Tu est sérieux Abdoul pourquoi elle a fait ça ?

Abdoul : Je sais pas, tu me demandes si je suis sérieux tu a vue la grosse tâche de sang dans le couloir celle que l’infirmière était entrain d’effacer quand tu est venue ?

Fatao : Oui bien sûr que je l’ai vue pourquoi ?

Abdoul : C’est le sang de Fatim elle a préféré mourir que de donné Omar a Aïcha. Et le regard maléfique de Aïcha sur Fatim

Moubarak : Comment ça maléfique ?

Abdoul : Un regard qui m’avait glacer le sang elle s’est retourner vers nous comme ci de rien était. Aïcha et Fatim sont en guerre ?

Fatao : Pas que je sache c’est quoi cette histoire encore allons

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant