Épisode 9

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Nous rions aux éclats pendant des minutes tout entière cela faisait longtemps que je n’avais pas rit ainsi. Le lendemain matin pendant que je lui servait son petit déjeuner Fatao me demande

Fatao: Tu a parler du concours a papa ?

Fatim: Non je ne l’ai pas encore fait comme il est occuper je voulais attendre le début du week-end avant de le faire.

Bintou: Quel concours il y a un concours de votre école ?

Fatao: Oui un concours d’éloquence qui aura lieu a l’université

Hassan: Et pourquoi elle devrait m’en parler?

Fatao: Fallait la voir papa une discussion financier en classe avec le professeur elle l’a écraser en 3 minutes.

Bintou: Et ce concours sert à quoi?

Fatao: C’est un concours d’éloquence genre débat intellectuelle

Hassan: Non tu sais que je n’aime pas être sujet de causeries dans la bouche de tout le monde.

Le verdict était tombé de toute façon je ne voulais pas le faire, Hassan remarque un soulagement chez moi et continue son petit déjeuner. Avant son départ il me donne 100 milles francs étonner je demande pourquoi cette somme il me regarde et me dit~ Aïcha et Farouk vont sortir avec vous se soir pour que tu en profites. Que voulait il dire par sortir?

J’allais le comprendre le soir même. Avec Aïcha, Farouk, Fatao et Nafissa nous allons au cinéma ensuite au centre commercial après au restaurant. Je découvre Bamako sous un autre jour vendredi soir les gens les jeunes loin des soirées tams-tams du village. Je découvre un nouveau monde je me rends compte que ma nouvelle famille n’était pas aussi religieux que je le pensais. Chacun vivait sa vie de son côté Farouk remarque mon regard sur la mini jupe d’Aicha.

Farouk: Tu est choquer n’est ce pas ?

Fatim: Oui un peu je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit aussi courte c’est tout j’ai rien contre

Farouk: T’inquiètes c’est les parents qui sont cloîtrée dans la religion nous absolument pas. On est assez libéral.

Fatim: Ah ok. Bon vous faite sa souvent ? Sortir comme ça ?

Farouk: Tout les week-ends la seul chose qu’on ne fait pas c’est boire de l’alcool. Si on veut boire on le fait a la maison.

Nafissa: Comme ça les gens n’irons pas colporter des rumeurs

Fatim: Je n’imaginais pas que tout était aussi différents en ville. Différents de ce que l’ont n’entend au village.

Fatao: Comment ça différents il doit sûrement avoir des bars

Fatim: Bien sûr mais si tu te respecte tu ne va pas la bas c’est pour les hommes. Après 19 h tu ne verras plus de filles dehors

Farouk: Disons qu’ils sont très conservateur même les Jeans les filles n’en porte pas.

Nafissa: Le paradis des hommes rien que des femmes soumises la bas

Fatao: Rien contre toi Fatim mais moi je pourrais pas une fille qui me dit amen tout les jours je deviendrait fou.

On éclate tous de rire ont discutait quand brusquement une main vient me tapoté l’épaule c’était Mariam avec ces copines et un groupe de garçon était a leur tables.

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant