Episode 48

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Nous restons là a discuter c’est vers 22 heures qu’il quittera l’hôpital. Le lendemain matin je suis libérer je peu enfin rentré à la maison. Fatao me ramène à la maison il reste silencieux. Je vais prendre une bonne douche et je viens me coucher a côté de mon petit garçon. Fatao rentre et vient poser sa tête sur mon ventre en disant ~ ne me laisse plus seul s’il te plait. Je mets ma main sur sa tête lui, moi et le bébé on s’endort tout les trois. C’est la sonnerie de son téléphone qui me réveille.

iL sort tout doucement de la pièce pour aller parler. Je comprend qu’Hassan avait peut être raison Fatao revoyait Laura dans mon dos. Quand il revient je fais semblant de dormir il repose sa tête sur mon ventre et reprend son sommeil.

J’étais comme paralysé est ce que tout cet histoire était un mensonge de Fatao pour se venger de son père et retrouver son fils ? Un fils avec lequel il a vécu toute ces années sans le savoir. Pas étonnant qu’ils se comporte comme ça. Dans ma tête c’était confue est ce que j’ai commis une erreur en lui ouvrant mon cœur ? Qu’Allah me protège dans quoi je me suis retrouvée pourquoi tant de malheur. J’avais juste envie de pleurer.

Je regarde mon fils et j’étais effrayer pour notre avenir.  Déjà que mon bébé va devoir faire face à beaucoup de choses en grandissant me voilà encore dans un tourments qui viendra s’ajouter à son fardeau. Je voulais juste quelqu’un pour m’aider je n’en peu plus je ne veux plus. Perdu dans mes pensées je n’avais pas vu mes larmes couler encore moins que Fatao se tenait debout devant moi et me regardait les yeux vide pleurant de chaude larme.

Fatao : Pourquoi tu pleure princesse

Fatim : Pour rien Fatao reviens te coucher

Je m’étais souvenue des mots de son père ~Fatao est dangereux il a essayé de tuer Aissa pour Laura. Je vais lui dire quoi maintenant.

Fatim : Je pense à ce qui aurait pu arriver ce jour là j’ai faillit mourir c’est tout ne t’en fais pas pour moi.

Fatao : Fatim tu ne sais pas mentir alors dit moi la vérités

Fatim : Tu étais au téléphone avec Laura pourtant tu m’as jurée

Fatao : Laura ne me dit plus rien elle et moi on a des choses à régler ne me demande pas quoi !

Fatim : Ok d’accord Fatao j’ai compris

Fatao : Tu n’a pas de raison d’être jalouse. Laura et moi y’a plus rien du tout c’est du passé je te le promets.

Je le regarde ensuite mon fils et je lui dit sans détour

Fatim : Fatao ne me sacrifie pas moi et ton fils pour le bonheur d’une femme. Je ne t’ai jamais fait où voulue du mal et si tu as déjà eu cet impression alors je te demande pardon.

Fatao : Pourquoi tu dit cela ?

Fatim : Parce-que j’en ai mare je suis la mauvaise aux yeux de tout le monde pour les personnes dehors c’est moi Fatim qui suis venue mettre la division entre le père et le fils. Je ne peu pas parler du viol tu risques de tout perdre.

Fatao descends du lit et tourne son regard vers la fenêtre je continue

Fatim : Si tu a un peu d’humanité ne joue pas avec ma vie ai pitié de moi. Je n’ai jamais voulu être la femme d’Hassan il m’a choisit. S’il te plaît laisse moi partir avec mon fils si tu joues !

Fatao : Tu veux connaître la vérité Fatim

Fatim : Oui Fatao sans détour

Fatao : Je t’ai aimer dès le premier jour que je t’ai vue. Pas au Sénégal où pendant le plan de ma mère. Arrivée au Sénégal j’ai eu peur des ont dit et je me suis rétracté aujourd’hui toi tu est devenue ma raison de vivre.

Fatim : Fatao je suis à bout chaque jour ramène de nouvelles choses je n’en peux plus.

Fatao : J’ai appris que l’amour ne devrait pas faire mal au cœur avec toi. Je veux me venger de mon père oui mais toi tu n’est et tu ne sera jamais un jeu. Si tu veux partir vas-y mais je le jure sur ma vie ne doute jamais de mon amour pour toi.

Il vient vers moi se met à genoux il commence à jurer. Quand il finit il prend mes mains et le mets sur les siens Fatao me pose la question

Fatao : Maintenant jure moi Fatim que toi tu ne m’aime pas !

Je retire ma main se serait mentir aussi courageuse que j’étais je n’étais pas aussi folle il y avait des choses avec lequel on ne joue pas. Je respire profondément dans ma tête je me dit ~le prophète sais ce qu’il fait il ne m’a pas mise dans cette situation pour rien. Mes mains poser sur ces mains je lui dit la vérité.

Fatim : Oui Fatao je t’aime depuis 6 mois peut être un peu plus longtemps je n’en suis pas sûr. Que le prophète me punissent s’il me juge coupable d’être une mauvaise personnes.

Djamila de son côté se pose des questions

Djamila : Cela fait longtemps que je suis marié avec Hassan mais rien cette villageoise n’a pas fait 5 ans regarde pourquoi ?

Djamila était en bonne santé elle n’arrive pas à faire un enfant après deux fausse couche elle avait finit par se faire a l’idée. En apprenant mon accouchement cela l’avais marquer. Assise sur la terrasse en train de réfléchir Aïcha la rejoint.

Aïcha : Aie grande sœur tu fais quoi ici assise dans ton coin ?

Djamila : Je réfléchi je réfléchis. Et toi tu a vue ton mari ? iL est venu ici ce matin

Aïcha : Quoi ? Non je l’ai pas vue depuis son départ le jour là.

Djamila : Prépare toi apparemment il veut épouser Irfah dès que Abdoul aura accepter le divorce avec elle.

Aïcha : Ils vont tout les deux devoirs me tuer pour que sa arrive

Djamila : Contrôle ton langage tu est une femme tu dois te soumettre à la décision de ton mari que tu le veux où non.

Aïcha : Mais grande sœur je ne veux pas

Djamila : Tu préfères divorcer ? Écoute ne devient pas une autre Fatim dans cette maison. Tu feras ce que ton mari te dira.

Djamila se lève et s’en va. Aïcha ne comprenais plus rien son gris gris ne marchait plus vue la réponse de Djamila l’envoûtement pour enchantée tout le monde dans la maison ne marchait plus. Brusquement lui Vient une idée elle murmure

Aïcha : Serait il possible que se soit cette fille qui a tout gâté depuis un moment je constate que tout a commencé à pourrir avec son retour dans la maison puis son entêtement a l’hôpital si seulement j’avais pu mettre la main sur cet enfant sa mère ne serai plus un problème. Je dois en avoir le cœur nette.

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant