Episode 19

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iL reste choquer a me regarder entré dans la maison. De retour Bintou et son armée m'attendais. Latifa avance vers moi et essaie de me gifler elle me rate je lui rend deux gifle en retour qui retentissent dans toute la maison.

Fatim : J'ai été gentil avec vous maintenant on va se respecter dans cette maison. Pardon allez faire vos valises pour quitter la maison de mon mari. On va voir comment vous allez vous débrouiller dehors sans votre mari a côté de vous.

Je vais dans ma chambre et je ferme la porte derrière moi. Au salon la situation chauffe.

Bintou : Aïcha, Farouk allez lui parler je vais aller où a mon âge

Farouk : Maman je vais aller lui parler seul sans Aïcha.

J'entend frapper à la porte de ma chambre je vais ouvrir je le laisse entrer il va commencer son discours d'excuse c'est lui qui mort dans le pain pour sa mère. Après avoir parler il me demande de trouver une autre punition pour régler cet affaire. Je lui dit que je vais toujours réfléchir. Quand je me met en route pour aller donner mes cours de rattrapage une moto s'arrête a mon niveau Fatao me demande de monter.

Fatao : Monte je veux te parler

Fatim : Toi et tes camarades vous avez trouvez un nouveau plan ? Monsieur parle et laisse moi continuer ma route

Fatao : Je voulais m'excuser pour ce que je t'ai fait !

Alors c'était vrai son amitié n'était qu'un mauvais plans de sa mère hypocrite qu'il était il n'avait pas honte ? Je respire un bon coup et je lui réponds avec mon plus grand calme possible....

Fatao : Je suis fatiguée de ces petits jeux je n'ai jamais voulu jouer a se jeu sordide. Je l'ai fait pour faire plaisir a ma mère.

Fatim : Ok écoute moi bien je ne suis plus cette petite idiote que vous avez manipuler

Fatao : Je l'ai compris depuis que je t'ai vue. Fatim ne demande pas à mon père de répudié ma mère elle ira où a son âge

Fatim : Tu n'étais pas inquiet quand je me suis retrouvé répudié à 16 ans ! Et là je dois avoir pitié de ta mère ?

Fatao : Tu n'étais pas seul je suis rester avec toi tu l'a oublier ? Où tu crois qu'on est tomber sur ta tante a Dakar par hasard ?

Fatim : Oui le truc c'est qu'on aurait pas pu tombé sur ma tante

Fatao : Je comprends pas ce que tu veux dire par là !

Fatim : Est-ce que tu sais que ton père a essayer de me tuer la nuit la ? Si Farouk n'était pas entrer votre jeu m'aurai coûter la vie.

Fatao passe la main sur son visage choquer apparemment son frère ne lui a pas raconter les conséquences que leur plan a faillit avoir. Mais je voulais les voir regretter ce qu'ils avait fait. Je le laisse planter là et je m'en vais. Le soir vers 19 h j'arrive à la maison les valises était tous près on pouvait voir la peur sur leur visage. Je vais déposer mon sac et je les laisse trembler encore un peu. Quand la voiture de Hassan frôle la porte je pars sous la douche idée de les laisser souffrir encore un peu. Quelques instant plus tard Hassan me rejoint habillé, prête nous sortons de la chambre. iL souriait un peu c'était la première fois que ces femmes se retrouvent devant la possibilité de perdre leur foyer.

C'était pas mon intention elles étaient là avant moi s'il y a une chose que ces années seul m'avait appris c'est l'importance d'avoir des gens autour de soit. Vivre seul n'est pas toujours plaisant en plus je ne savais pas si je voulais rester toute ma vie avec Hassan. Maintenant je savais que je pouvais tout faire sans un homme travailler, manger vivre ma vie ne dépendait pas de la bonté d'un homme comme me l'avait inculquer mon père. Vue le caractère de ces femmes elles ne savais pas vivre toute seul. Bintou était mariée depuis l'âge de 14 ans avec Hassan elle ne connais rien d'autre que son foyer. Arrivée au salon mon mari prend la parole

Hassan : Vous pouvez ranger vos affaires Fatim a changer d'avis vous pouvez rester mais vous n'allez pas vous en sortir aussi facilement.

Samira : Quel est ta décision maintenant ?

Hassan : Fatim vous donne le choix. Soit vous êtes répudié et chacun rentre chez sa famille avec ces enfants où soit vous perdez tous.

Fatim : Non seulement vous avez passer 2 ans a salir mon nom et ma réputation mais a cause de vous ma mère a dû subir les pires humiliation qu'une mère ne doit pas subir.

Leïla : Parle vite je n'ai pas ton temps !

Hassan : Un peu de respect je suis toujours assis ici Leila.

Fatim : Hassan calme toi elle aura mon temps tout à l'heure. Je veux tout ce que vous avez.

Aïcha : Comment ça tout ce qu'on a ?

Fatim : Je veux vos magasins et argent de poches. J'ai 18 ans vous m'avez voler presque 2 ans de mon foyer a part pour la nourriture aucune somme n'ira dans vos poches pendant 2 ans

Aissa : Elle est folle ou quoi tu ne touchera pas a mon argent

Fatim : Alors fallait pas toucher à mon honneur.

Hassan : En gros pendant 2 ans c'est toi qui va recevoir leur argent de poche. Leur magasins t'appartiennent c'est tout ?

Fatim : Non leur jours m'appartient pendant 2 ans tu ne va pas passé devant leur portes précision leur magasins m'appartient pour toujours pas seulement pour 2 ans il est irrécupérable comme ma réputation que vous avez salit.

Djamila : Hassan tu ne peu pas faire ça on va faire quoi toute la journée a la maison ?

Hassan : Méditer sur votre comportement.

Fatim : Hassan j'allais oublier si l'Imâm est d'accord elle vont prendre pendant 6 mois des cours chez lui étudier le coran pourrait ramollir ces cœurs dur qui son dans leur poitrines

Hassan : C'est pas une mauvaise idée je vais parler avec lui.

Elle s'insurge et la question de Hassan a eu une réponse très silencieuse. Hassan se tourne vers elles et leur demande ~ Vous choisissez quoi ? Sur ceux Aziza et Bintou montent avec leur valises les autres rechigne encore sauf Fatao qui se lève et monte sans discuter. La nuit dans ma chambre Hassan était déjà lavé et près pour son moment de plaisir qui va durer toute la nuit. Il m'aura réveiller 3 fois dans la nuit. Ma mère en apprenant mon retour chez Hassan ne pouvait pas être plus heureuse.

Je lui parle des magasins mais elle n'était pas sur que c'était une bonne idée sa phrase~ Regarde ce que ces femmes t'on fait juste parce que tu a épouser ce monsieur, là tu leur a pris leur magasins fait attention à toi Fatim. Maman avait raison devant ma colère je n'avais pas penser aux représailles. Je ne pouvait plus faire marche arrière. Les jours qui suivent je me rends au bureau d'Hassan pour lui demander son aide je ne comprend rien a ces magasins, il me montre se que je devais savoir.

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant