Épisode 5

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J’étais comme paralysé tout ces gens, tout ces couleurs, des filles de mon âge partout. Arrivé devant un grand bâtiment nous descendons de la voiture mon regard tombe sur Farouk. Qui vient vers nous

Hassan: Dit a Aïcha que je lui ai prit quelques vêtements pour Fatim. Tu lui donnera de l’argent pour quel s’achète de nouveau

Farouk: Compris papa. Et toi Fatim tu t’est enfin décidé a sortir de la maison ?

Fatim: Oui un peu.

Hassan tourne la tête et voix le regard des amis de Farouk braqué sur moi il tourne vers son fils ~Dit a tes amis que si ils veulent encore une fois manger dans ma maison il doivent contrôler leur regard. Farouk éclate de rire. Hassan et moi rentrons dans l’immeuble arrivé au troisième étage Hassan me montre 2 magasins vide en disant

Hassan: Choisit l’un d’entre eux. Tu en fera ton magasin ainsi tu aura de quoi t’occuper pendant tes journées. Où tu préfères aller a l’école ?

Fatim: École ?

Hassan: Tu a eu ton Bac n’est ce pas ?

Fatim: Oui

Hassan: On va voir attend. Je crois que tu pourrais trouver une place pour faire un BTS en comptabilité. Une minute !

Il prend son téléphone 2 coups de fil plus tard je suis admise dans la même école que ces enfants. Il me dit ~ Si tu débarque là bas avec tes pagnes c’est pas bon. Lui et moi allons faire les magasins des vêtements que je n’osais même pas regardé dans un catalogue vont se retrouver dans mon armoire. Le lendemain matin je m’apprête je fouille un magasine et je vois un ensemble de vêtements qui me plaît pas trop voyant je copie le look avec quelque vêtement d’hier, un petit chignon et j’étais prête.

Quand Hassan rentre dans la chambre et me voit il regarde sa montre il me dit déshabille toi je le fais il se couche sur moi me caresse il me chuchote tu est magnifique comme ça. il va me faire l’amour avant que je ne descende. En me voyant descendre les escaliers les filles de mon mari me regarde de travers j’entends Leila murmurer

Leila : Avec ce corps pas étonnant que papa est craquée.

Aïssa va rétorquer

Aïssa: il ne pouvait pas la laisser à la maison je ne sais pas comment je vais la présenter au camarade de l’école

Leila: ignorons la. On ne la connais pas.

Après les avoirs entendue je ne me fait pas d’illusion leur père les avait également entendue il dit d’une voix sobre au fils de Bintou son petit benjamin

Hassan : Fatao écoute toi et Fatim vous êtes dans la même classe. Assure toi quel ne manque de rien.

J’entend juste un Oui sortir d’une capuche je ne vois pas son visage de toute les façons je savais que j’allais devoir me débrouiller. Arrivée devant cet école je me sentais mal a l’aise je vois la même capuche qu’à la maison me prendre par la main et me dit ont va a la direction d’abord tu a besoin de livre. En classe la main me prend encore et m’installe tout juste à côté de lui. Je ne vois toujours pas le visage de l’individu.

Brusquement quelqu’un vient me serrer par derrière je connais cette voie je me retourne et voilà Mariam ma copine du village devant moi eh Allah c’était comme un vent de bonheur enfin un visage familier

Mariam : Tu est ici on a des choses a se dire toi et moi

Fatim : Je suis contente de te voir tu ne peux pas savoir.

Nous parlons jusqu’à ce que le professeur ne rentre dans la classe. Il se tourne vers le garçon a la capuche et lui lance

Prof: Fatao ont discutent avec ta capuche ce matin ou bien ton visage va nous faire l’honneur de participer au cours aussi.

Fatao baisse sa capuche pour participer au cours je ne vois toujours pas son visage a cause du colle de sa chemise. Les cours vont durée chaque professeur est succéder par un autre jusqu’à la pause. En sortant de la classe je vois Leila et Aïssa arrivé dans ma direction je les entends dire ~ merde encore elle. Au même moment Mariam ressort et m’attrape par la main me tire vers elle et ces copines de classe. Leila et Aïssa se regarde moi aussi je les dépasses comme si je ne les avais jamais vue.

Mariam: Fatim je te présente Justine et Flavia les filles voici Fatim ma copine d’enfance elle est celle dont je vous parlais.

Justine: Celle qui frappent les garçons ?

Mariam: Voilà c’est elle c’est mon bonbon c’est grâce à elle que j’ai eu mon baccalauréat. Je pouvais copier à volonté.

Flavia: Donc ça veut dire que l’année est gagner pour nous !

Fatim: Calmé vous les filles. Je viens d’arrivé faut voir jusqu’où j’aurais le droit d’aller dans mes études après on verras.

Flavia: Attend c’est une montre Koné que tu porte ? Tes parents doivent être riche mon Dieu c’est pas nous.

Mariam: Je me demande comment tu as fait pour arriver ici je te dit qu’elle et moi on a grandi au village tu parles de parents riche. C’est son mari qui est riche.

Justine: Tu a dit qu’elle c’était mariée.

Fatim: Excuses moi de ne pas t’avoir appelé Miriam mon père a déchiré ton numéro m’interdisant toute fréquentations

Mariam: Lui aussi! iL exagère parfois quand même…

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant