Fatim

chapitre3: Épisode 16

Je le colle a toute les portes du quartier. 1 semaine passe rien. Un matin mon téléphone sonne une femme revenue de France qui avait inscrit son enfant dans une école ne comprend plus les notes de son fils. Pour 100 milles francs par mois elle emmenait son fils chez moi pour faire ces devoirs. Le loyer et les factures d’électricité était régler avec le minimum de nourriture j’étais a l’aise ma priorité c’était de ne pas quitter la sécurité que m’offrait se quartier résidentiel.

Je n’aurai pas su gérer un appartement moins chère dans un quartier non sécurisé. Au fil du temps je vais me faire quelques amies Julie et Gertrude seront un soutiens j’étais toujours sur mes gardes de ne pas trop parler de moi. Aujourd’hui encore certaines femmes murmurait dans mon dos. Je les connaissait des amies de Khadi. Mon seul salut elles ne savent pas où j’habite. Je vais apprendre à vivre seul grandir a ma façon dans cette grande capitale. Les hommes où les garçons non merci je ne voulais pas d’histoire.

Moi qui voulais prendre des cours de physiothérapie je me retrouve dans un cour d’éducation sexuelle j’avais payé donc jusqu’à la fin je vais suivre se cour. J’ai finis par comprendre que l’organisatrice nommé Valérie avait mis un x a côté de physiothérapie pour la discrétion mais bon c’était un cour pour les femmes mariées. Personne ne m’a posé la question alors je ne dit rien. Les mois vont passer et je vais comprendre le sens du mot économies. Un matin en revenant du marché je croise un homme complètement a l’ouest je voulais passer a côté de lui m’occuper de mes affaires mais je ne  pouvais pas.

Je m’arrête a son niveau pour voir s’il avait besoin d’aide. L’homme était entrain de faire une crise Cardiaque je cour chercher de l’aide arrivé à l’hôpital il me font une facture c’était la moitié de mes économies 200 milles 4 mois de loyer comme si c’était moi qui avait provoqué sa crise. Je cour prendre l’argent je me dit avant que se monsieur ne sortent de l’hôpital moi-même j’allais devenir SDF. Me voila entre les cours de répétition et l’hôpital a me faire du soucis pour un parfait inconnu. Tout mes économies vont y passer ne restant que deux mois de loyer quand le monsieur finit par se réveiller on apprend ou il vivait.

Je serai obligé de chercher sa famille. Quand je découvre qui était ces parents j’ai faillit m’évanouir et m’enfuir très vite c’était le fils aîné de Khadi la femme de l’Imâm. Je prends mon courage a deux mains et je vais prévenir l’Imâm je n’avais aucune envie de tomber sur sa femme. Tout les 2 nous montons dans le taxi et là je vois devant la porte de la maison d’Hassan des silhouettes que je connais Farouk et Fatao. Attend Fatao n’avait pas dit qu’il allait au Maroc il jouait a quoi? Je me garde de descendre pour faire un scandale nous arrivons à l’hôpital avec l’Imâm qui fond en larme

Imam : Fatim tu ne sais pas se que tu a fait pour nous je te présente mon fils aîné et unique enfant Ali il est mon support.

Ali : Papa calme toi cette fille m’a sauvé sans elle je serai mort. Tout le monde me dépassait je ne pouvais même plus crié au secours. Mais elle seul s’est arrêter et m’a conduite ici.

Imam: Merci beaucoup merci.

Fatim : C’est bon ne vous inquiéter pas. Bon moi je vous laisse.

Je repars chez moi pendant des jours je vais me tuer a trouvé du boulot je finis par trouver d’autres enfants que je pouvais aider mais pour moins de 30 milles. L’argent c’était l’argent et j’en avais besoin même aller enseigner dans les quartiers précaire ne me dérangeait plus. Sous la pluie comme sous le vent mes pieds était dehors. Avec le temps je m’étais habituer à cette vie et a ma liberté. Un soir vers 20 h j’entend sonné à la porte de la maison. J’hésite à ouvrir quand je demande qui c’était la réponse m’étonne c’était l’Imâm. Je ne savais pas quoi faire j’ouvre je le laisse entrée avec l’Imâm Khadi, Hassan, mon père, le mari de ma tante, Abdoul, Hakim, ma tante, ma mère et Ali. Une fois installé au salon je leurs offres a boire. Surpris je demande les nouvelles.