Fatim

Episode 15

Je retourne a l’appartement de Fatao qui s’excuse plus de mille fois. Je ne sais plus quoi faire je ne peu pas louer une maison parce que j’avais 16 ans. Je suis bloqué à vivre avec le garçon qui dans un excès de colère avait provoqués mon humiliation.

Coucher dans ce lit en train de penser à mon avenir Fatao viens me trouver et me donne mon bulletin. Je ne pouvait plus retourner à l’école car Khadi c’était charger de salir un peu partout ma réputation. J’avais eu la meilleure moyenne. Avec ce document je pourrais aller continuer mes études ailleurs mes économies ne suffiront pas a terminer mes études.  Fatao me dit qu’il avait été admis dans une université Marocaine et m’assure que je pouvais vivre dans son appartement. Mais non je devais trouver une solution et vite. Fatao me regarde et me dit

Fatao : Écoute si a mon retour papa ne t’a pas repris et si tu n’est pas encore marier je t’épouserais car je sais que c’est de ma faute.

Fatim : Fatao tu n’a pas de promesses a me faire je sais que tu ne l’a pas fait délibérément. Là je dois trouver un appartement pour vivre et cela très vite avant ton départ.

Fatao : Tu peu rester vivre ici personne ne viendra te déranger

Fatim : Ton père me déteste non je veux être ailleurs loin d’ici.

Fatao : Que pense tu du Sénégal je dois aller la bas pour 2 semaines tu penses que tu pourras venir ?

Fatim : Peut être !

Fatao : Écoute l’argent n’est pas un problème pour moi. On va te trouver une maison pas loin d’une école et se sera école, maison, maison, école tu en penses quoi ?

Fatim : C’est pas une mauvaise idée.

Fatao : Écoute ils ont de jolies appartements a des prix imbattables.

Fatim : Tu sais combien coûte un appartement ?

Fatao : Voilà se que je vais faire je vais te louer un appartement dans le coin ici loin de mon père où tu pourra vivre en sécurité.

Fatim : Il suffira que Khadi me voit dans le quartier. Ne t’en fais pas pour moi je vais trouver un nouveau truc. Au moins je serai tranquille.

J’accompagne Fatao a Dakar comme il l’avait souhaitez et la a ma grande surprise je tombe sur ma tante Zahia qui avait entendu parler de l’affaire elle avait une amie au Mali qui pourrait garder un œil sur moi. A mon retour le problème était résolu tante Zahia va me louer une petite maison dans un quartier résidentiel.

Un ans plus tard j’étais toujours a la maison a m’occuper comme je pouvais. Je ne suis pas inscrite dans une nouvelle école car c’était au dessus de mes moyens ma tante pouvais seulement payer le loyer de la Maison. Mes économies qui devait servir a vivre ne pouvait pas payé des études. Ma mère ne va pas respecté les consignes de mon père en visite à Bamako pour le mariage de mon frère aîné Abdoul elle profite des festivités pour venir me voir en cachette. J’étais devenue persona non grata en gros j’étais devenue indésirables mes propres frères avait coupé tout contact avec moi. Les un million que j’avais donner a ma mère mon père le lui avait arracher.

Je pouvais seulement me contenter de ces quelques minutes de consolation passer avec ma mère. Ce sera pour moi un calvaire en tant que fille pointé du doigts pour avoir coucher avec le fils de son mari la honte. Les choses vont se compliquer pour moi quand le maris de ma tante va apprendre qu’elle m’aidait il la met devant un ultimatum soit elle s’éloigne de moi ou elle venait me rejoindre.

Me voilà toute seul a 17 ans a Bamako avec seulement 350 milles francs CFA pour géré ma vie. J’apprends que le loyer coûtait 50 milles francs c’était le prix de ma sécurité dans se quartier résidentiel. Je devais réfléchir. 5 jours et toujours pas d’idée en allant faire les courses au marché je passe mon chemin dans le quartier quand j’entends ma voisine dire a une autre ~ Je payait 100 milles francs a ce répétiteur mais rien je l’ai licencié. Cela me donne une idée je vais au kiosque a côté qui propose des services de fabrication de carte de visite je ne met pas mon nom au complet. Je met juste Fati et mon numéro.