Episode 33

639 51 0
                                    

Hé Dieu dans quoi ont m’a mise comme ça je suis celle qu’il a osé choisir en 30 ans de vie marital et voilà que je me rends compte que je suis peut être amoureuse de son fils. Allah sort moi de la. Est-ce que je dois fuir où restée. En fuyant loin je risquais l’honneur de toute ma famille en même temps si je reste je risque gros avec ce Fatao qui telle un Lion sauvage me tournais autour. Alors que je faisais le petit déjeuner d’Hassan le lendemain mon père me demande de faire venir Abdoul vivre dans la maison avec nous.

Hamed : Faut dire a Abdoul de venir vivre ici avec nous

Fatim : Non Papa Abdoul a déjà un chez lui laisse tomber.

Hamed : Mais il paye un loyer tout les mois c’est pas bien

Fatim : Je ne veux pas devenir une étrangère dans ma propre maison s’il vient vivre ici il va vouloir faire la loi alors non merci

Hamed : Tu sais qu’il est ton grand frère même père réfléchis

Fatim : Non je n’ai pas besoin de quelqu’un qui pourrait me tuer pour mes propres bien chez moi.

Hamed : Sacrilège ne dit pas cela de ton frère il n’est pas très sensible mais il n’est pas mauvais et tu le sais bien.

Fatim : J’ai fait 2 jours a l’hôpital tu l’as vue si j’étais entrain de mourir et je l’avais appelé il serait venue ?

Hamed : iL s’est excusé Fatim ne porte pas de rancune

Fatim : Abdoul est près a tout pour de l’argent. Tu va mourir un jour et je jure Afdëk n’aura rien de tes biens ce garçon est très mauvais. Je ne veux pas de lui ici.

Hamed : Ils sont frère il ne va pas le laisser sans rien tout sera partager a part égale entre eux et Abdoul le sais.

Fatim : Je veux guérir après je vais parlé avec Hassan parce que moi j’ai pris mon temps pour observer Abdoul. Je sais que des 2 maisons, des terres, Afdëk n’aura rien je veux le savoir en sécurité loin d’Abdoul et de son amour démesuré pour l’argent.

Hamed : Ne sème pas la pagaille entre tes deux frères Fatim

Fatim : Papa Regarde Abdoul depuis son enfance et dit moi s’il a déjà aimer partager quoi que se soit avec nous deux autres.

Hamed : Tu est méchante avec lui parce-qu’il n’est pas proche de toi comme Afdëk. J’ai trois enfants ne l’oublie pas.

Fatim : Proche oui mais pas bête papa l’éducation que tu a donner a Abdoul lui a fait comprendre qu’il était plus important que nous tous. Tu l’as tellement pourri qu’il ne pense qu’à lui il s’en fou de nous tous même de maman et tu a eu un exemple.

Mon père commence à réfléchir je le laisse la bas Hassan descends il voit que mon père et moi on c’était disputer. Il me dit avant de s’asseoir

Hassan : Fatim ne fatigue pas trop ton père s’il te plaît.

Fatim : Ne t’inquiètes pas je lui ai juste parler de ce qui nous attendait après sa mort. Hassan s’il te plaît tu a un peu d’argent pour moi ?

Hassan me regarde il commence à sourire en mettant un peu de beurre sur son pain il lève la tête et me demande

Hassan : Tu veux quoi dit moi

Fatim : J’ai vue un terrain a quelques minutes d’ici je veux l’acheter je vais te rembourser dès que j’aurai un bénéfice sur les magasins.

Hassan : La maison ne te plaît plus ?

Fatim : Je veux construire une petite maison pas pour moi pour Afdëk. Au moins un petit duplex de 3 chambres. S’il y a un soucis il a un chez lui tu comprends.

Hassan : Et Abdoul tu ne veux rien faire pour lui aussi

Fatim : Abdoul va hériter de deux maisons c’est suffisant.

Hassan : Ok je vais parler avec mon architecte il viendra voir le terrain avec toi si tout va bien il pourra commencer.

Fatim : Merci Hassan, tu a parlé avec l’Imâm

Hassan : oui mais il est a Ouagadougou. A son retour

1 semaines plus tard. La semaine qui va passer ma mère et ma tante vont passer leurs journées avec moi dans mon magasin de cosmétiques. J’avais l’impression que ces 2 femmes sculptait chaque homme qui rentre et passe devant mon magasin puisque le marabout avait dit qu’avant de retourner chez mon mari je devais couché avec un autre homme. Franchement je n’avais aucune envie de faire ce genre de choses à Hassan le monsieur m’avait ouvert son cœur je lui devait un minimum de respect même si je ne l’aimait pas. Mon retour a la maison devenait plus imminent et ma mère était encore plus presser de trouver un homme pour moi. Hassan m’appel et me demande de le rejoindre chez l’Imâm je me mets en route. Alors que je fouillait dans mon sac a main devant le magasin je sent une mains me soulever, c’était Fatao. Son comportement n’avait pas étonner les gens puissent que pour tout le monde  Fatao était mon mari

Fatim : Descends moi tu deviens fou si ton père voit ça il va nous tuer tous les deux.

Fatao : Je m’en fou Fatim.

Il me prend et me jette dans sa voiture. Les portières bloquées à clés il démarre la voiture et roule a toute vitesse pour que l’idée ne me viennent pas de sauter hors du véhicule j’avais déjà essayé de le faire une fois donc il a pris ces précautions. C’est quelle affaire comme ça? Ce garçon ne va-t-il jamais me laisser tranquille où quoi? Nous voilà encore une fois devant son immeuble cette fois ci il gare directement dans le parking il s’assure de fermée la grille du parking a clé automatiquement avant de me laisser sortir de la voiture. iL me tire par la main, son portier n’était pas présent. Il me bloque avec une main dans l’ascenseur nous montons. Regarder moi me débattre avec mes 60 kilos contre un Fatao merde quand ma mère me disait de grossir j’aurais dû l’écouter. Je cris sur lui

Fatim : Fatao laisse moi tranquille je suis marié avec ton père je ne vais jamais t’aimer Fatao laisse moi tranquille s’il te plaît.

Pendant qu’il essayait d’ouvrir la porte de son appartement d’une seul main.( iL faut savoir que Fatao était gaucher il avait du mal avec la main droite car il me tenait avec la main gauche) Je prends mon téléphone et j’appelle son père ça sonne Hassan ne réponds pas, quand il répond enfin Fatao remarque mon portable il me tire dans l’appartement arrache mon iPhone et voit que j’avais appelé Hassan il regardait le portable pendant qu’il fermait la porte a clé ces yeux était comme de braise. Je comprends que Fatao avait quelques choses derrière la tête je crie de toute mes forces car il n’avait pas raccrocher.

Fatim : Hassan sauve moi Fatao est devenue fou

Fatao me regarde et dit a son père tout en enlevant sa chemise

Fatao&Hassan

Fatao : Papa ça tombe bien

Hassan: Fatao que se passe t’il pourquoi Fatim cri tu lui a fait quoi? Que se passe-t-il parle.

Fatao: Je suis amoureux de Fatim. Je l’ai emmener chez moi pour que tu comprennent bien ce que je te dit ne raccroche surtout pas.
Hassan : Wallaye si tu touche a un seul de ces cheveux je vais te tuer, je vais te tuer Fatao.
Fatao me prends par la main et me tire dans sa chambre bloc la porte a clé, me pousse sur le lit je veux m’enfuir il me dit ça ne sert a rien. Fatao dépose le téléphone toujours allumé à coter du lit avec son père qui criait à l’autre bout du fil jurant sur tout les saints du Coran. D’un seul geste il me bloque la main je le supplie d’arrêter mes supplices ne lui disent rien du tout. D’un revers de la main il arrache mon slip sous mon boubou il ouvre sa ceinture baisse son pantalon. Je sens son sexe sur ma cuisse comme une énième coup de force j’essaie encore une fois de le repousser mais le haut de mon boubou va ce déchirés mettant à nue mes seins cela le rend encore plus fou. Il me regarde et voit mes larmes qui coulait moi le suppliant d’arrêter il se tourne vers le téléphone et dit a son père qui était toujours à l’autre bout du fil

Fatao : Papa tu connais la loi de notre village une fille violée doit épouser son violeur alors écoute bien car tu est mon seul témoin. Fatim n’est plus à toi a partir de ce moment précis.

Fatao va me regarder et murmure ~ Pardon. Il va écarter mes jambes en disant une dernière fois ~ a partir de maintenant tu est a moi Fatim a personnes d’autres. Fatao va commettre l’irréparable il commence à me violer après 10 minutes j’arrête de me débattre essoufflé je tourne la tête. Quand il finit il se lève il passe sa main gauche sur mes seins en disant ~Elles sont à moi maintenant. À moi et personne d’autre. J’entend sonné à la porte Fatao va vers le balcon découvre son père et Farouk qui avait visiblement du mal a contenir Hassan. Fatao ouvre sa porte d’entré principale automatiquement depuis son appartement on pouvait entendre Hassan arrivé en courant dans les escaliers. Mon dieu quel honte je suis partie me cloîtrée dans un coin de la pièce. Fatao lui était assis sur son lit. iL me regarde une dernière fois et me dit peu importe se qui se passe je t’interdis de mettre les pieds au salon tu est ma femme maintenant tu doit m’obéir. Quand Hassan commence à frapper à la porte Fatao respire un bon coup se lève et ira ouvrir a son père. La première réaction d’Hassan en le voyant c’est un coup de poing Farouk attrape son père

Hassan : Fatim où est tu viens ici

Fatao se relève et lui dit d’une voix calme

Fatao: Elle ne viendra pas elle est ma femme maintenant plus ta femme. Je lui est interdit de sortir.

Farouk : Qu’est ce que tu as fait mon frère ?

Hassan : Répond qu’est ce que tu a fait inconscient

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant