Episode 42

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Le soir dans notre lit Fatao me demande si Yasmin serai intéresser par une nouvelle relation.

Fatim : Yasmin a assez de problèmes et la famille de Moubarak va faire un scandale n’oublie pas qu’elle a encore son litige.

Fatao : Moubarak est déjà au courant c’est lui qui m’a présenter l’avocat de Yasmin. En plus il est riche et orphelin son père est mort il y a 2 ans sa mère est morte en le mettant au monde. Il n’a que ces oncles crois moi ils n’ont rien à dire.

Fatim : Ok et tu veux que je fasse quoi ?

Fatao : Moubarak est mon amis depuis notre enfance je le connais c’est un homme de parole un peu vicieux mais correct.

Fatim : En gros sois plus clair Fatao tu veux quoi au juste ?

Fatao : Parle de lui a ta copine il est assez chaud pour elle

Fatim : D’accord mais je ne promets rien du tout

Avant d’aller me coucher mon père m’appel au téléphone pour me demander de dire merci à Fatao il avait retiré sa plainte dans la journée. Abdoul sera libéré dans 4 jours. J’appelle Irfah pour la prévenir elle me remercie.

Fatao fait semblant de dormir je le bouscule il se tourne et me regarde

Fatim : Ton travail important de ce matin c’était Abdoul ?

Fatao : Oui je voulais que tu est la paix. Tu va bientôt accouché je voulais que tu rentres en salle l’esprit calme

Je me jette sur lui et le sert dans mes bras il cri

Fatao : Eh la grosse arrête de me chauffer après c’est pour dire non Fatao je suis enceinte.

Fatim : Oh donc tu veux dormir ? C’est dommage très dommage

Fatao se lève et commence à se déshabiller devant moi dès qu’il finit il se glisse sur moi tout en rugissant j’éclate de rire

Farouk qui entre temps retrouvait petit a petit l’esprit ira voir Irfah deux jours avant la sortie de prison d’Abdoul demandant pardon a cette dernière. Le lendemain 24 heure avant la sortie de son mari Irfah va coucher avec lui. Le voisin verras Farouk embrasser Irfah il raconteras tout aux parents d’Irfah. Farouk l’emmène loin de la maison conjugale le frère de Fatao avait pris toute ces dispositions avec l’aide de mon mari ils vont mettre Irfah dans le premier vol en direction de Dakar.

A son habitude de retour à la maison Abdoul commence à faire les histoires vue l’absence de sa femme et de son fils. Irfah n’a pas fait les choses a moitié elle a donner le petit a Fatao qui me l’a ramenés avec tout les documents nécessaires acte de naissance, carnet de vaccination, avec une lettre pour Abdoul.

Farouk avait pris ces affaires et quitter lui aussi le pays avec Irfah. Le courage que cette fille a eu ma donner des ailes. Fatao m’a expliquer que les deux avait reçu son soutien moi je trouvais ça romantique pour l’amour d’Irfah Farouk avait renoncer à l’héritage de son père une somme considérable. Bintou n’en pouvais plus elle se met à crier

Bintou : Que se passe t’il dans cette maison tout allait bien. Hassan c’est toi qui a ramené cette petite sorcière ici.

Hassan : Fatim cherche quoi dans cette histoire encore Bintou

Bintou : Elle a détruit ma famille regarde mon fils est parti vivre dans un pays étranger loin de moi je vais devenir quoi qui va encore me prendre au sérieux dans ce quartier ?

Hassan : Arrête ton cinéma regarde Aïcha elle est celle qui doit criée pas toi. Alors ferme ta bouche tu me donne la migraine.

Aïcha va se coucher sur son lit dans sa chambre elle ne comprends pas pourquoi tout son médicament était gâté elle ne pouvait pas aller renouveler le médicament Bintou était collé à elle comme un poux croyant qu’Aïcha pourrait ce faire du mal. Bintou ne savais pas a qui elle avait a faire. Abdoul a peine sortie de prison accuse Fatao de l’avoir garder en prison pour détruire sa vie. iL ne savait pas que mon mari était celui qui avait aider sa femme a fuir le pays. Comme je ne savais pas mentir ma mère a dit a Abdoul qu’Irfah était venu déposer le bébé chez elle avant de partir.

Même mes parents n’en voulais pas a Irfah mon père aussi avait finit par accepter que Abdoul était un très mauvais mari. Pour un oui où pour un non il frappait sa femme mon père le savais mais avait toujours fermer les yeux. Ma mère fait promettre a mon père de ne plus jamais accompagner Abdoul demander la main d’une femme tant qu’il n’aurait pas changer.

Pour Fatao c’était d’un psychologue dont mon grand frère avait besoin et il avait raison. Tout ce qui sort de la bouche d’Abdoul était très grave il n’avait jamais su se contrôler lui Abdoul le grand Abdoul l’héritier, le premier fils qui était plus important que tout le monde sa femme le quitte?

Non dans sa tête Irfah devait mourir. Mon frère raisonnait comme un fanatique non il était plus qu’un fanatique il était devenue fou. Je ne voulais pas payer son loyer mais vue qu’il avait perdu son boulot je ne voulais pas le voir autour d’Afdëk. Sans lui mon autre frère avait changé il avait une meilleure vie.

J’avais pû acheter une petite maison a ce dernier avec un prêt a la banque je voulais le savoir indépendant de mon frère aîné. Depuis qu’Afdëk savait qu’il ne dépend plus d’Abdoul il parlait et donnait ouvertement son opinion. Ce qui ne plaît pas du tout a mon frère aîné. Devant les parents d’Irfah et toute la famille réunie Afdëk va dire ces quatre vérités a notre frère devant mon père qui ne s’attendait pas à une telle réaction même moi ! On avait jamais vue Afdëk aussi véridique

Abdoul : Afdëk tu est d’accord avec moi n’est ce pas ?

Afdëk : Non Abdoul tu devrait te demander pourquoi elle t’a quitter ! Tu la bâtait comme tu voulais tu n’avais aucun respect

Abdoul: Comment tu peux osé te mettre de son côté Afdëk ?

Afdëk: Parce-que je n’aime pas le mensonge si tu traite bien ta femme elle ne te quitte pas et même si elle te quitte tu doit l’accepter comme un homme surtout apprendre de tes erreurs.

Abdoul : Ma femme quitte le foyer et c’est moi le mauvais ?

Afdëk : Pourquoi elle est partie ?

Abdoul : Comment veux tu que je sache ?

Afdëk: Tu a eu une belle femme, obéissante, respectueuses une femme de bonnes familles et toi qu’est ce que tu lui a fait ? Tu l’a réduit en déchet tu n’as pas vue sa valeur tu croyais quoi que j’étais aveugle personnes n’est aveugle. Tu est juste un mauvais mari je pleins les parents qui vont un jour encore te confier leurs filles tu vas faire souffrir cette femme cadeau.

Abdoul : Tu parles comme ci je ne l’avais pas aimer.

Afdëk : Tu ne sais pas ce que sais qu’aimer Abdoul ta propre petite sœur a été agresser tu a refusé de l’assister c’est enfant d’autruis que tu va aimer ? Laisse ton fils chez maman et Fatim c’est mieux. Révise toi et ton comportement tu verra que tu as fait trop de mal à cette fille.

Abdoul: Elle était impolie elle me répondait quand je lui parlais

Afdëk : Alors toi tu va mourir célibataire où avec une femme mouton. Regarde ma copine plus impolie que cette fille tu ne verra pas 2 dans ce pays une femme c’est une femme. Quand elle n’est pas contente elle parle, elle bavarde, elle t’insulte.

Abdoul : Je ne suis pas obligée de tolérer ce que tu tolère.

Afdëk : Oui tu a raison tu ne veux pas tolérer c’est pour ça que tu préfères être un lâche un impuissant ?

Abdoul : Je ne te permet pas un impuissant n’a pas de fils

Afdëk : Je parle de ton caractère. Seul un lâche lève la main sur une femme sa montre que c’est un impuissant face a son camarade garçon. Tu peux agresser les femmes mais devant Fatao qui est plus jeune que toi tu est tomber en 2 min…

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant