Fatim

Episode 67

Nafissa : Et pourquoi ?

Hassan : Au moins eux sauront quoi faire de vous.

Leila : Tu est notre père. Quand on a des problème tu dois nous soutenir.

Hassan : J’ai assez de problème comme ça Leila garde pour toi

Hassan sort de la maison et Farouk en profite pour lui parler.

Farouk : Papa attend faut qu’on parle

Hassan : Toi aussi tu veux divorcer de tes femmes ?

Farouk : Non non

Hassan : Alors il y a quoi ? Qu’est ce que tu me veux ?

Farouk : J’ai remarquer que tu avais construit une maison quel était en finition je ne sais pas tu veux la louer à un diplomate ?

Hassan : Si je vois les pieds d’un cheval dans cette maison je lui coupe les pieds. Cette maison est pour ma Fatim.

Farouk : Quoi ? Papa tu veux recommencer les histoires avec Fatao ?

Hassan : Eh tu sais ce qu’on appelle l’amour mon fils ? Tu est aller prendre la femme d’Abdoul chez lui je t’ai empêcher ?

Farouk : C’est pas la même chose et tu le sais.

Hassan : Quand c’est pour toi c’est pas la même chose mais quand c’est pour moi là c’est grave.

Farouk : Mais papa

Hassan : Écoute moi Farouk. Le seul homme dans cette maison qui n’a pas encore voler la femme de quelqu’un c’est moi !

Farouk : Papa tu n’es pas sérieux ça devient de l’obsession

Hassan : Fatao voleur de femme d’autrui avec certificat, toi aussi Farouk voleur de femme d’autrui avec Passeport. Et on dit que je fait de l’obsession va la bas Fatim est a moi je vais la récupérer point final. Si tu n’est pas content au-revoir..

Farouk : Ça va encore ramener des problèmes !

Hassan : Avec plaisir je suis dans mes droits Fatim est a moi

Et là Farouk a un soupçon il se tourne vers son père et lui demande en titubant doucement ces mots

Farouk : Papa c’est Fatim qui te manque où c’est sa façon de te faire tu sais quoi ?

Hassan : Je suis tomber bas mon fils me pose des questions sur ma vie sexuelle. Farouk je suis ton camarade ? ET après ?

Farouk : Si c’est ça envoie tes femmes chez Madame Valérie Irfah a pris des cours chez elle. Comme ça l’affaire est finit.

Hassan : Farouk tu penses que c’est Vieille peuvent apprendre quoi encore. Écoute ce n’est pas de ça qu’il s’agit tu comprend. Fatim est tout ce qu’un homme peu désirer avoir. Alors basta.

Hassan part et laisse son fils planter comme un piquet derrière lui en montant dans sa voiture il murmure ~ Tu crois que Irfah va apprendre quoi là bas. Regarde sa forme et regarde la chute de reins de ma Fatim c’est deux planètes différents. Fatim c’est le PSG Irfah c’est une équipe du quartier. N’importe comment ! Après le départ de son père Farouk secoue la tête dit avec un grand sourire.

Farouk: Toi papa tu m’étonnes. Tu va construire un château de 800 millions de francs CFA a Fatim. Une petite fille qui t’a pris ici dans cette petite chambre et ta chevauché au point de te faire pleurer toute les nuits, elle t’a envoyer a l’hôpital avec cette même chute de reins et tu veux encore. Non après ils vont dire que c’est moi qui suis fou vas-y le jour où cette fille va te baiser et tu va te réveiller dans un c’est la que tu vas comprendre.

L’anniversaire de mon père approche et je voulais le lui fêter. Il n’avait jamais fêter son anniversaire. Une surprise l’attendait devant sa porte quand il sort de la maison. On lui a acheter une petite voiture neuve en le voyant il commence à pleurer

Hamed : Amina j’ai une voiture eh venez voir j’ai une voiture. Je peux enfin mourir venez voir.

Afdëk : Papa Fatim et moi on a mis ensemble pour te l’acheter bon anniversaire.

Fatim : Bonne anniversaire papa

Hamed : Abdoul tu vois comment tes frères m’ont gâté tu est partit où ? Où est ton cadeau d’anniversaire Abdoul ?

Fatim : Papa nous t’offrons le permis de conduire au nom d’Abdoul comme ça lui aussi aura participer d’une manière

Mon père se mets à danser ma mère elle ne faisait que pleurer.

Amina : Les enfants merci pour tout, qu’Allah vous bénisse.

Afdëk & Fatim : Amin.

Afdëk : Arrêter de pleurer tout les 2. Papa maman monter que je vous prennent en photo dans votre voiture.

Amina : Attend je vais mettre mon boubou

Hamed : Je dois être beau moi aussi allons nous changer !

Quand ils partent pour s’habiller je fond en larme moi aussi.

Afdëk : Pourquoi tu pleures ?

Fatim : Je donnerai tout pour voir Abdoul aujourd’hui.

Afdëk : Ne dit pas ça tu va me faire pleurer moi aussi.