Episode 59

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L’un des collègues d’Afdëk qui était aussi son chef d’unité se lèche les lèvres et fait un signe a un autre collègue dans la voiture. Qui regarde par derrière pour voir dans quelle maison nous allons entrée. IL nous voit rentrer dans la maison de Hassan. Et fait un signe de oui de la tête a son patron Afdëk qui conduisait avait bien vue ce qui se tramait dans son dos. Je fais les présentations. L’unité de patrouille d’Afdëk était très criminel malgré lui mon frère devait se taire et rendre un rapport a son supérieur le chef de son chef d’unité. Le commissaire qui soupçonnait le chef de l’unité d’Afdëk d’être derrière beaucoup d'acte criminel avait placer mon frère dans l’équipe pour avoir des preuves contre ces derniers. Ce que nous ne savions pas et que ces propres collègues ne savais pas c’est que Afdëk avait été promus inspecteur depuis trois semaines et attendait juste une occasion de les attraper en flagrant délit. Arriver dans la maison Fatao me fait monter dans la voiture et demande au Gardien d’ouvrir la porte. Farouk veux me parler mais Fatao l’arrête immédiatement en disant

Fatao : A cause de toi j’ai mis sa vie en danger elle ne te dira rien. Fait moi confiance je ne t’ai jamais donner une raison de douter de moi si tu veux douter doute c’est ton choix. Une chose que je peux te jurer sur la tête de mon fils est que je n’ai jamais touché à Aïcha encore moins vue sa nudité.

Farouk : Et le test ADN ?

Fatao : Nous sommes des frères. Réfléchi bien tu connais mon genre de femme. Quand j’ai voulu Fatim je l’ai prit Cash ici.

Fatao démarre la voiture et nous rentrons chez nous. J’étais en colère en même temps j’avais envie de pleurer. Fatao veux me prendre dans ces bras mais je le repousse je vais dans la chambre d'amis et je m’enferme là bas jusqu’au petit matin. Quand je viens dans la chambre Fatao dormais avec Omar sur son torse. Je vais prendre une douche pour me calmer les esprits. Quelques heures plus tard Fatao était habillé pour le travail je lui demande de s’asseoir il hésite un peu je lui lance

Fatim : Fatao j’ai réfléchi et je vais dire la vérité a Farouk

Fatao : Tu ne le fera pas Fatim ne joue pas avec le feu

Fatim : Tu me connais mal tu sais pourquoi il n’y a pas de serpent dans notre village ?

Fatao : Non et ça vient faire quoi ici

Fatim : C’est a cause de moi alors que les autres enfants fuyait moi je les attrapait pour leur coudre des robes où des boubou.

Fatao : En gros tu veux me désobéir

Fatim : Tu a tout compris. Si tu veux divorcer vas y. Je ne vais pas rester là a regarder mon mari se faire frapper par tout le monde. On ne sait jamais disputer toi et moi. Crois moi tu ne veux pas qu’on se disputent tout les 2.

Fatao : Fatim je t’ai dit non. Rahim est mon fils et pourtant je ne le dit pas a Farouk papa ne lui a pas tout dit même hier soir.

Fatim : Tant que tu ne dira pas la vérité a Farouk la pression de ton père sur nous va continuer.

Fatao : Tu crois que je ne le sait pas ?

Fatim : Farouk sais déjà la vérité noir sur blanc qu’il n’est pas le père de Rahim c’est une question de temps il va te demander de faire un teste ADN ton père lui a déjà mit la puce à l’oreille.

En pleine discussion quelqu’un sonne a la porte

Fatim : C’est sûrement Farouk va lui ouvrir

Fatao jette un coup d’œil sur la caméra de surveillance et dit ~ c’est Afdëk. Je monte dans la chambre je mets Yazir au dos prend mon Omar dans les bras pour descendre. En bas Fatao n’était plus là seul Afdëk était au salon et il n’avait pas l’air bien

Afdëk : Bonjour Fatim

Fatim : Bonjour toi c’est avec quel genre de personnes tu traine dans ta police bandit dit moi ?

Afdëk: Pardon pour hier. C’est même pour ça que je suis venue. Mes collègues ont fait irruption chez Hassan hier soir. Bien sûr nous les avons attraper sur les faits il y’a eu des tires. Rahim a été blesser dans les échanges de coup de feu. iL est a l'hôpital et doit être opéré malheureusement il a besoin d’une transfusion de sang.

Fatim : Allah est ce ta façon a toi de pousser Fatao a dire la vérité a son frère.

Afdëk : Allez viens tu est donneur universelle comme moi je peu pas donner c’est a toi

Fatim : Je sais a cause de ton anémies aiguë.

En direction de l’hôpital je me dit si je donne mon sang a Rahim Fatao ne sera plus dans l’obligation de le faire. Non je ne peu pas risquer la vie du petit pour que ces gens trouve leur conscience. À mon arrivée j’entends Farouk dire a Fatao~ Si toi tu n’est pas le père c’est quelqu’un d’autre. Qui est Aïcha au juste je n’aurai jamais crû cela venant d’elle. Fatao baisse les yeux il ne savait pas quoi dire. J’inspire et je donne Yazir a son père, Omar avait vue Irfah il a court vers elle moi je vais voir l’infirmière pour donner mon sang. Fatao était de marbre devant son frère. Ne voulant pas montrer qu’il avait peur pour son fils il essaie de calmer ces nerfs en lisant ces emails. Pendant que j’étais allongé dans une pièce illuminé par le soleil je me dit que je ne serai jamais heureuse avec Fatao. Notre histoire a tout simplement mal commencer. Quand je finis je vais chercher Omar je mets Yazir au dos je m’avance vers Fatao je voyais qu’il avait peur que je parle mais je ne dit rien. Je me contente juste de me serrer très fort contre lui. Devant tout le monde y compris Hassan je l’embrasse tendrement je lui caresse la joue et je lui dit le fond de mon cœur sans restriction…

Fatim : Je t’aime Fatao n’en doute jamais.

Arriver à la maison je lui écris une procuration pour qu’il est un accès illimité sur mon compte bancaire. Le peu d’argent que j’avais mis de côté je le prends j’achète un billet aller simple pour le Burkina. Quand Fatao rentre vers 20h et remarque mon absence il comprend que quelques chose n’allait pas c’est Afdëk qui lui annonce la nouvelle. Fatao s’effondre devant mon frère en criant ~ Hassan tu a gagné elle est partie ma femme m’a quitter.

FatimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant