Percy Jackson at Hogwarts (version française)

Chapitre 26: Le bal approche ! Attends... UN BAL ?!

Percy PoV

Visiblement plus de peur que de mal.

Hormis quelques blessures bénignes, mais par rapport à la gravité de l'incident, je suis bien content que ça n'ait pas été plus loin.

Pour ce qui est des dégâts matériels par contre...
Les dragons ont laissés des marques.

On passe entre les gens, Harry et moi, les rassurants.

-Percy, viens avec moi.
Dumbledore se tient à côté de moi.

-Je reviens vite, va rejoindre Ron et Hermione, je dis à Harry.

Et je marche aux côtés de Dumbledore.

-Que s'est il passé ?

-Je n'en suis pas sûr moi même Dumbledore. J'ai du mal à y croire, mais il semblerait que des monstres de mon monde aient réussi à se joindre à la fête.

-C'est assez troublant. Je m'assure moi même de la sécurité du château, et je puis t'assurer que rien ni personne ne peut entrer sans que je ne le sache. A moins que...

-A moins qu'il y ait un traître à l'intérieur des murs. Je suis désolé Dumbledore, mais il semble que ce soit le cas.

Dumbledore a le regard vague.

-Il faut que je vous dise encore quelque chose.

-Oui, Perseus ?

-Les monstres qui ont pris possession des dragons. Ils avaient quelque chose en plus. Quelque chose de puissant. Je ne pouvais pas les tuer. C'est avec une forme de pouvoir supplémentaire qu'ils étaient invincibles. Mais ce pouvoir, ils ne le possédaient pas.

-Que veux tu dire ?

-Que ce pouvoir leur était fourni, et ce en continu. C'est Harry qui par chance, sans savoir ce qu'il faisait, a rompu ce lien. Je ne sais pas moi même ce qu'était ce lien ou comment ça fonctionne, mais...

-J'ai compris. Ça veut dire que ces monstres n'étaient que des pions. Et la personne qui fournissait ce pouvoir est toujours en liberté.

-Dumbledore, c'est pire que ça. Non seulement cette personne ou cette chose est en liberté, mais en plus parmi nous. Le fait que Harry l'ait arrêtée en est la preuve.

On marche quelques secondes en silence.

Dumbledore me regarde.
-Tu as une idée de qui ça pourrait être, n'est ce pas ?

-En effet.

-Je t'écoute.

Je réfléchis quelques instants.
-Désolé, je ne peux vous en parler.

-Perseus, il faut que tu me fasses confiance. Tu n'es pas seul dans ce combat.

-Ce n'est pas une question de confiance, Albus.

Dumbledore esquisse un petit sourire lorsque je l'appelle par son prénom. Sans doute que très peu de gens l'appellent comme ça.