Percy Jackson at Hogwarts (version française)

Chapitre 43: Décale toi Voldy et laisse parler les adultes !

Percy PoV

-Petit impétueux ! Tu vas apprendre à me respecter ! Endoloris !

Je ne bouge pas. J'aurais pu bouger, éviter, mais non. Je vais lui montrer. Il s'est attaqué à Cédric. A Harry. Je vais lui faire voir le désespoir.

-PERCY !

La douleur est intense, mais je ne ploie pas.
Hors de question que je tombe devant lui.

Il lève sa baguette, incompréhensif.
-Comment est-ce possible ?

-J'avais une autre question. Si on doit se battre. Est ce que tu sens les coups ? Non parce que encore une fois t'as pas de nez...

-RHAAAAAAA ! Endoloris !

Encore une fois, je ne bouge pas. La douleur est plus intense, mais je ne bouge pas.
Soudain, des écrans de fumée se forment, nous encerclant. Des gens se trouvaient la.

Ils avancent en direction de leur maître.
-Restez où vous êtes ! Il est à moi !

Encore une fois, il relève sa baguette, interrompant le sortilège.

-Arrête de t'obstiner Voldy, ça sert à rien, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Oups pardon...

-Silence !

Le seigneur des Ténèbres commence à perdre patience.

Je lève les mains, en signe de reddition.
-Je suis désolé, mais tu vois pour tes belles retrouvailles avec tes mangemorts ? Ben ça va te passer sous le nez !

On entend un gloussement en provenance d'un des mangemorts.

Voldemort se tourne vers eux violemment.
-Qui à osé ?

Personne ne répond.

Je m'approche de lui lentement.
-Écoute... je sens comme une tension là. Tu la sens aussi ? Enfin t'as compris ce que je veux dire, je parle pas de l'odorat, t'as pas de nez !

-Cette fois c'en est trop ! Tu vas mourrir ! Avada Kedavra !

-Stupéfix !

Nos deux sorts s'entre-chocs et disparaissent dans une explosion d'étincelles.

-Hey calme toi ! Je sais qu'on nez pas dans le même camps mais pas besoin de s'énerver comme ça !

J'explose de rire.
-T'as compris ? On nez, on n'est ?

Quelques Mangemorts rigolent nerveusement.
-Cessez de rire, ou vous êtes les prochains sur la liste, dit Voldemort.
-Très drôle. Pourrais-je savoir à qui j'ai affaire ? Demande ce dernier en reportant son attention sur moi.

-Mon nom ne te dira rien. Et il ne te servira pas la où tu vas aller.

-Je t'ai demandé qui tu es. Si tu ne me le dis pas, je vais devoir regarder par moi même.

-Oooooh tu vas lire mes souvenirs ? Vas-y !

Je regarde mon cousin.
-Quoi qu'il arrive, n'intervient pas. Je vais lui montrer ce qu'est la vraie souffrance.