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PDV Harry

Çafait maintenant une semaine que les cours ont repris, Diana s'estadaptée rapidement. On l'a surnomme la ''Princesse d'argent''. Elles'entend bien avec tout le monde. Mon couple avec Drago n'est, enfin,plus au centre des rumeurs. J'en avais assez des regards qui noussuivait à longueur de journée. Je suis entrain de lire sur mon litquand un hibou hulule à la fenêtre. Je lui ouvre et reconnaisl'hibou de la famille Weasley.

- Ron ! Cris-je. C'est ton hibou ! Tu as une lettre de ton père !

- J'arrive ! Répond Ron

Ronse dépêche de sortir de la salle de bain avec un simple pantalon.Il prend la lettre et la lit en s'asseyant dans son lit. Je donne àmanger à l'hibou et le caresse. Ron soupire, agacé.

Qu'est-ce qu'il y a, Ron ?

Papa m'informe que les aurors ont trouvé des traces de ma mère de Dumby en France. Ils sont toujours en cavale.

Je vois. Tu te sens comment ?

Je n'arrive plus à la considérer comme ma mère. Elle me déçoit d'être du côté du vieux fou.

Après il est possible qu'elle ne sache pas toute la vérité comme nous. Voir il l'a menacé

C'est vrais... C'est possible.

Jeprend Ron dans mes bras. Je sais qu'il n'ose pas dire que sa mèrelui manque et qu'il aimerait que j'ai raison. Il est têtu ducertaine façon. Je le réconforte quand on entend des coups à laporte puis elle s'ouvre sur Hermione.

Je peux entrer, les garçons ? Demande-t-elle

Bien sûr, Mione, dis-je. Entre !

Elles'approche et s'assoit près de nous. Elle regarde son copain et jedécide que c'est le moment pour moi de m'éclipser. Je part enprétextant avoir un rendez-vous avec Drago. La dernière image queje vois de mes amis est celle d'Hermione serrant Ron dans ses bras enlui disant « Je t'aime ». Je souris et sors enfin de lachambre. Je descend les escaliers puis quitte la salle commune vide.On est samedi donc la plus part des élèves sont à pré-au-lard.Pour une fois, on a voulu restez à Poudlard dans le calme. Je marchedans les couloirs vides à la recherche de quelque chose à faire.Mes pas me guident vers le terrain de Quidditch. Je me dirige versles vestiaires et me prépare pour aller m'entraîner. Je termine enprenant mon balais et sort sur le terrain. Je lâche un vif d'or etmonte sur mon balais. Je m'élève dans le ciel et profite de lasensation de liberté que voler procure. J'accélère. J'aimetellement cette sensation que j'oublie mon but premier. Je mereconcentre quand le vif d'or passe près de moi. Je commence à lepoursuivre. Je l'attrape et le serre dans ma main. Je sursaute quandj'entends des applaudissements. Je cherche la source et souris envoyant Drago dans les tribunes. Je vole jusqu'à lui. Je saute de monbalais pour me jeter dans ses bras en rigolant. Il sourit et me sertcontre lui. Cette sensation est bien mieux que celle de voler. Je meblotti et ferme les yeux. Drago dépose un baiser sur mes cheveux etme serre fort. Je soupire de bien-être.

Bonjour, chaton. Ça va ?

'jour ! Ça va et toi ?

Très bien aussi.

Tu devais pas faire visiter pré-au-lard à Diana ?

Diana Malfoy-Romano-RiddleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant