𝟒𝟖. 𝐋𝐚 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞-𝐎𝐫𝐥𝐞𝐚𝐧𝐬

2.8K 121 19
                                    

2012 | Nouvelle-Orléans

2012 | Nouvelle-Orléans

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Point de vue Niklaus.

Mes frères et moi venions d'arriver dans cette ville qui avait toujours su conquérir mon cœur grâce à sa jovialité, la Nouvelle-Orléans était une ville qui ne dormait jamais, le jazz régnait à chaque coins de rues, parfait pour s'amuser lorsque l'on est immortel n'est-ce pas ?

Le voyage avait été plutôt long, et mes pensées n'avaient de cesse de se tourner vers une ravissante blonde aux yeux noisettes. C'était terrifiant à quel point j'étais attaché à elle.

Mon plus jeune (et plus agaçant) frère prit la parole, brisant le silence installé et me sortant ainsi de mes songes.

- Écoutez, je n'ai pas besoin de baby-sitter. Se défendit-il après qu'Elijah lui ai dit de ne pas s'éloigner.

- Kol. Prevint l'aîné.

- Nik, dit quelque chose. Se plaignit le châtain.

- Je m'en contrefiche tant que tu passes inaperçu, Kol. Lâchai-je, agacé.

- Tu viens à peine de quitter ta blondinette que tu es déjà de mauvaise humeur. Est-ce qu'elle sait comment tu es quand elle n'est pas là ? Souffla-t-il sarcastiquement.

- Ça mon frère, elle a eu cinq siècles pour le voir, et crois moi j'en ai bavé. Maintenant va-t-en avant que je ne te brise la nuque et que je ne t'enfermes dans le coffre. Grognai-je, et il s'exécuta.

Kol avait passé le trajet à agir comme un enfant de cinq ans, alors je n'étais pas d'humeur à l'entendre se plaindre une fois de plus.

- Tu as trouvé une alternative aux dagues à ce que je vois.

Malgré moi, j'eus un léger rictus.

- Elijah, je ne suis pas bête au point d'amener avec moi des armes capable de nuire à ma famille. Répondis-je avant de tourner à droite direction Bourbon Street.

La ville était toujours aussi rayonnante, les gens dansaient et jouaient de la musique sans se soucier de quoique ce soit.

— D'ailleurs Niklaus, ne me laisse pas croire que notre sortie ici, à la Nouvelle-Orléans, n'est qu'une simple balade. Renchérit mon noble frère.

Un sourire carnassier aux lèvres, je répondis :

— Bien sûr que si mon frère.

𝐈𝐬𝐚𝐛𝐞𝐥𝐥𝐚 𝐏𝐞𝐭𝐫𝐨𝐯𝐚 ➳ 𝐓𝐕𝐃Où les histoires vivent. Découvrez maintenant