Discution père fils

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Pdv de Aitor:

Je rentre .Je vais dans le salon pour dire à mes papas que je suis rentrer .Je trouve quelque petits en train de dessiner .Il y a Bryce et Claude en train de parler .Les voir me procure une grande vague de joie ,cette journée a été assez mouvementée, j'arrive alors à dire ,bien qu'avec quelque petites difficultés :

Moi: Je...qui ren...rentré .

Bryce et Claude: Aitor !

Je souris légèrement .

Bryce: T'a parlé !

Je hoche la tête légèrement mal à l'aise mais content de les voir ,il viens me prendre dans ses bras tellement il est content .Claude me regarde ,et je ne sais pas vraiment comment le définir ,c'est du soulagement ?
Je sais pas .Bryce finit par s'écarter souriant :

Bryce: Ta journée c'est bien bien passé ?

Je hoche la tête vaguement ,à moitié pour pas les inquiéter et puis je me suis rapproché de Victor et j'ai compris que Gabi et moi pourrons vraiment nous entre aider .On en a besoin .

Bryce: Allez file faire tes devoirs .

Je hoche la tête et monte .Claude ne dis rien ...je me doutais qu'il ne s'inquiétait pas vraiment .

Pdv de Claude:

Je suis vraiment soulagé ,néanmoins son hochement de tête n'était pas assuré .Il c'est passé quelque chose aujourd'hui ?Bryce ne semble pas avoir remarqué ,je suis parano ? Non ,pour une fois je pense que c'est cela ,il avait l'air rassuré en nous voyant ,ou en tout cas en voyant Bryce .Je soupire :

Bryce: Tu devrais lui parler ,je sais que votre relation est compliqué ,mais vous ne vous dites pas ce que vous ressentez .Vous êtes trop fière c'est pour ça que ça entache votre relation.

Je réfléchis ,c'est vrai que là encore j'ai instinctivement éviter de montrer mon soulagement .Pourquoi ?Je sais pas ...j'ai pas l'habitude, j'ai peur qu'il le prenne mal alors qu'il doit croire que je ne l'aime .

Moi: Hum tu a raison ,et puis on dirait que ça journée n'a pas été si tranquille qu'il l'a dit .Je vais lui parler .Merci chéri .

Il sourit :

Bryce: De rien ,j'aimerais que comme moi ,Xavier ,et Jordan vois que tu peut être à l'écoute .

Je souris tendrement et l'embrasse .Il me rend mon baiser puis s'écarte .

Bryce: Aller file .

Je souris et sort de la salle pour rejoindre le bleuté .Lorsque j'arrive à sa porte je toque .Il toque deux fois contre un mur pour me dire d'entrer .J'entre, il me regarde surpris .

Moi: Je peu te parler ?

Il me regarde hésitant ,je me sens mal que notre situation soit ainsi alors que je le considère comme mon fils ...Finalement il hoche la tête et tapote son lit .Je m'y assois prudemment ,il ne fais aucun mouvement de recul mais je me regarde pas .

Moi: Tu sais je ...suis pas très démonstratif alors ...comme tu est comme moi je m'y prend comme un manche .Je suis désolé d'avoir pas été au top .Mais je ne te laisserais pas croire que je ne t'aime pas ,car tu est comme mon fils et te voir mal m'inquiète aussi .

Pdv de Aitor:

Mes yeux s'embuent ...je me rend compte que j'ai quand même été odieux ...quand on se disputais j'ai parfois dit que je le détestais ... on a tout deux dis des choses blessante ... Mais là il s'inquiète ,dans ses yeux tout est sincère ...

Moi: Moi ...aussi j'ai ...pas ...été sympa .

Avec surprise je vois ses yeux s'embuer :

Claude: C'est rien ,on est pareil sous le coup de la colère on dit des choses blessante qu'on ne pense pas toujours .Maintenant si tu a besoin de parler ...comme de ce qui c'est passé aujourd'hui ,car ça se voit qu'il c'est passé quelque chose ,je suis là et je t'écouterais ...

Ces paroles m'atteignent en plein cœur ,j'ai toujours aimer Papa Claude même si notre relation est devenue compliquer au file des années ,j'étais même parfois jaloux des autres enfants de l'orphelinat qui s'entendait bien avec lui .J'éclate en sanglot et viens me réfugier dans les bras de mon Papa .

Claude: Ho Aitor ...

Il a une voix douce ,je ne l'ai jamais entendu me parler comme ça .Il ressert ses bras autour de moi et je pleure dans les bras de mon père .Comme Gabi l'a fais pour ses problème ,moi je je fais pour les miens ,j'exprime la peur que j'ai eu lors de la crise et de l'entraînement,mais la tristesse pendant la journée d'être aussi faible et d'embêter Gabi avec mes problème alors qu'il a les siens à gérer .Pleurer me fais du bien ,je peu enfin sortir les choses pour moi et je sais que comme moi qui ressentais toute les émotions de Gabi ,Claude ressent tout ça .

Mes pleures se calmes quelque minutes plus tard ,je m'écarte et essuie les larmes et du coin de l'œil je vois mon papa orgueilleux faire de même .Je souris ,il a pleuré aussi ,je ne souris pas parce qu'il a pleuré mais parce que ça prouve qu'il s'inquiète pour moi .Il se retourne finalement.Ensuite je lui raconte tout les événements de la journée ,comme je dois me batailler pour sortir les mots ça prend un peu de temps mais il m'écoute attentivement ce qui me fais chaud au cœur .
A la fin il réfléchit :

Claude: Il est sur que si tu ne va plus en cours ça ne s'améliorera plus .Regarde c'est grâce a ça que tu t'est rapproché de Victor ,alors je ne dis pas que la crise de panique et le tir que tu t'est pris étaient bien moins de la .

Je souris ,il est comme moi ,maladroit .

Claude: Mais avec ça t'a pu parler à coeur ouvert avec Victor ,et finalement tu a vu que tu pouvais réellement lui faire confiance .

C'est vrai .

Claude: Je pense qu'au fur et à mesure ça ira mais il faut que tu te réconcilie avec ce qui a créé tout ça .

Je baisse la tête .

Claude: Tu n'est pas obligé de me raconter tout bien sur .Mais je pense que dans tout les cas il faudra que tu le fasse ,comme à tout problème .Pour l'instant je pense que tu devrais essayer de réapprendre à connaître tes coéquipier ,ce sont aussi tes amis et ils s'inquiètent pour toi .Si tu savais le nombre de fois qu'ils nous ont appelé il pendant ton absence .

Je les imagines bien le faire ,ce n'est pas parce que mon cœur c'est refermé que les souvenirs ne sont plus là .

Moi: Tu ...a ...raison .

Il sourit :

Claude: Bien sûr ce il va falloir que je descende pour mettre la table ,Bryce là encore interdit d'approcher la cuisine .

Je souris .En effet il nous intoxiquerait tous .

Claude: Et fais tes devoir .

Je souris ,ils ont l'habitude que je ne les fasses pas .Mais plus maintenant .

Moi: Ils sont ...fais ...je vais ...travailler ...pour que vous ...soyez fière ...de moi .

Il sourit :

Claude: Dans tout les cas on est déjà fière de toi .

Je souris .

Moi: Merci ...Papa .

Il me regarde surpris et touché .Comme notre relation était compliqué je l'appelais toujours par un surnom : « micro onde » , « four » ou tête brûler .
Il souris une dernière fois puis sort .
Je souris ,j'ai récupérer mon Papa .Et je vais faire comme il a dit ,referme confiance en me amis .Ils doivent vraiment s'inquiéter.

Pdv de Claude:

Je suis vraiment content d'avoir pu parler ainsi avec lui .Et lorsqu'il a pleuré j'ai ressenti toute ses émotion ,mon cœur se serre .A cette âge là on ne devrait pas subir une tel charge d'émotion négative ...sauf si ...ho ...mais oui ...je fonce dans le bureau de Lina . Il

J'ouvrirais ton cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant