Chapitre VIII

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Précédemment :

Je posais ma tête sur son épaule et je commençais à me laisser aller, j'étais exténuée à cause cette nuit et ce matin.

-Bakugo: Eh la naine ? Tu dors ?

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-Bakugo: La naine tu dors ?

-(T/p): Mhh ...

-Bakugo: RÉPONDS AVANT QUE JE TE BALANCE DANS UN LAC !

-(T/p): Ta gueule et avance le porc-épic...disais-je les yeux fermés avec la tête sur son épaule

-Bakugo: Donne moi encore une fois des ordres et je t'abandonne sur le trottoir et-

Pendant que Bakugo marchait,
je mis mes mains sur sa bouche pour qu'il arrête de parler et qu'il me laisse un peu de répit.

-Bakugo: EHHHH-

Il essayait de me morde la paume de ma main c'était drôle à voir...
Il finit par me lécher la paume de mes mains pour que j'enlève mes mains.

-(T/p): Burk arrête t'es un chien ou quoi ?

-Bakugo: BAHAHAHA on a retrouvé sa langue ?

-(T/p): Moi en tous cas je pensais que t'avais perdu ta langue dans mes mains le toutou.

J'essuyais mes mains contre son sweat.

-Bakugo: JE RÊVE OU TU VIENS DE ME TRAITER DE CHIEN ?

-(T/p): ARRÊTE D'ABOYER SUR MOI !

-Bakugo: ASSIMILE MOI ENCORE UNE FOIS À UN CHIEN ET TA MÈRE SERA MA CHIENNE  !

-(T/p): TOUJOURS AUTANT DE RÉPARTIES LE CLEB ?-

Il enleva ses avants bras en dessous de mes cuisses, je devais alors maintenant m'accrocher à lui à l'aide de la force de mes bras pour rester sur son dos.

-(T/p): REMETS TES MAINS JE VAIS TOMBER CLOCHARD-

-Bakugo: BAH TOMBE -

Toujours pendant qu'il marchait,
j'enroulais  mes jambes autour de son torse pour que ça soit moins dur de m'accrocher.

-Bakugo: EH ENLÈVE TES JAMBES !

-(T/p): BAH TIENS MOI ALORS J'AI PAS ENVIE DE TOMBER ET DE ME CASSER LA GUEULE UNE TROISIÈME FOIS AUJOURD'HUI !

-Bakugo: Putain t'es chiante.

Il prit mes cuisses et les tenaient nouveau.

-Bakugo: J'vais te buter un jour tu sais ?

-(T/p): Et moi je vais t'empoisonner -

-Bakugo: Tu m'empoisonnes déjà la vie.

-(T/p): Tu dis ça comme si tu faisais pas pareil ...

-Bakugo: Allez ta gueule et dors la naine j'en ai marre d'entendre ta vieille voix éclater-

J'enroulais mes bras autour de son cou pour l'étouffer, je mis ma tête sur son épaule et serrer les bras pour bien le faire chier.

-Bakugo: Putain... Enlève tes bras tu m'étouffes.

-(T/p): À une condition !

T'es chiante bordel {Bakugo X Reader}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant