chapitre 8

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Pdv Bakugo :

J'ai mal et je souffre. Je souffre de tout. De faim, de froid, de mes brûlures, et du manque d'Eijiro. Il me manque tellement ! Je serais prêt à tout pour le voir...il me manque vraiment.

Des pas approchent, c'est le retour de mon enfer quotidien. Peut-être que cette fois on me sauvera...? Je ne pense pas. Ça fait déjà une semaine que je suis ici, attaché au sol par des liens fixés avec des clous par terre. L'endroit a changé, ce n'est plus le même qu'avant.

La porte s'ouvre dévoilant un énorme sourire. Dabi.

Dabi: Eh bien eh bien. On t'avait manqué n'est-ce pas ? Ça fait une semaine qu'on ne se voit plus toi et moi...oh ! Et ça fait aussi une semaine que les héros te cherchent ne t'inquiète pas. Mais ils n'ont aucune piste. Encore 3 semaines et l'enquête sera condamnée.

Moi: Ferme-la !

Dabi: Oh...j'ai oublié ! On a de nouvelles règles...À chaque fois que tu parlera sans qu'on ne t'en donne la permission, tu auras le droit à une punition. Aujourd'hui je te laisse choisir...Moi ou Shigaraki ? Tu peux parler.

Moi: Aucun ! Dégage et libère-moi !

Dabi: Mauvaise réponse...je vais prendre ça pour un "je veux que ce soit toi", tu ne m'en voudras pas...

Il s'approche dangereusement de moi, un sourire psychopathe sur la tronche. La punition...je la sens pas.

Dabi: Je compte sur toi pour crier !

Moi: Hein ?! De quoi-

Il me fait signe de me taire et s'accroupie à côté de moi. Je tente de forcer mes liens mais ne récolte que quelques blessures en plus. Il approche son visage du mien...oh non...ne me dîtes pas qu'il va....me violer.... Non...NON !

⚠️scène de violence⚠️

Trop tard, il colle sa bouche à la mienne et m'embrasse en me mordant la lèvre du bas sauvagement. Je saigne mais il continue. Il force un passage entre mes lèvres et y glisse sa langue, qui taquine la mienne. C'est dégueulasse...
Sans se décoller de moi, il descend ses mains le long de mon cou...de mon torse...de ma ceinture...et sans m'avertir (ptdr comme s'il allait le faire), il descend mon pantalon et mon boxer en même temps. Ses lèvres quittent les miennes pour venir mordre et laisser des marques partout sur mon corps. Ses marque sont profondes et chacune d'elle me fait saigner et me torde de douleure. Il mort mes bouts de chairs et ça fait un mal de chien. J'ai l'impression qu'il va me les arracher. Ses mains caressent ma peau en venant la brûler et y laisser des traces tels des  serpents en feu. Qu'ils aillent crever, lui et les autres ! Sa bouche descend et il lèche ma peau jusqu'à ce qu'il ne descende encore plus bas...Ses yeux pleins de désirs rencontrent les miens qui sont appeurés. Puis un sourire sadique venant de sa part de montre qu'il ne va pas s'arrêter là...il va faire durer son plaisir encore longtemps. Je le vois baisser son pantalon et dévoiler sa verge dure qui n'attend que de me faire le plus grand mal en me trouant le cul. Mais il a préféré me dégouté encore un peu plus avant: il me présente sa verge juste sous le nez. Oh non...me dîtes pas que...

Dabi: Suce.

Moi: Dans tes rêves !

Dabi: Tu vas le regretter.

Énervé que je ne lui obéisse pas, il se met au-dessus de moi et enfonce d'un coup son engin dans mon trou, me faisant crier de douleure. Il commence à bouger sans même que je ne m'y soit habitué et donne de gros et vifs coups. Je ne peux empêcher mes larmes de venir et de couler le long de mes joues. Qu'est-ce que j'ai fait pour subir ça ?
Mes parroies se déchirent mais il continue, heureux de me faire souffrir. Il plaque de nouveau ses lèvres aux miennes et on fait ça pendant ce qui m'a semblé une éternité.

Dabi: J'espère que ça t'a plu...on le fera souvent. T'étais vierge ?

Moi: Va te faire foutre.

Dabi: Haha ! Bah voyons...il ne faut pas pleurer pour ça hein ? Ce n'est que le début je te rappelle.

Moi: Tuez-moi qu'on en finisse !

Dabi: Ah mais ça serait dommage ! Je t'aime bien moi !

Moi: Sale merde !

Son regard changea. Je suis allé trop loin...

Sans un mot de plus mais en m'adressant le pire des regards, il plaque ma tête sur le sol en me tenant par les cheveux et me chuchote à l'oreille "profite d'encore pouvoir parler sale chienne" puis il s'en va, me laissant a moitié sonné a cause de la force qu'il a mit pour me plaquer la tête au sol.

Un liquide chaud forme une flaque sous mon crâne. Du sang. Puis je perds connaissance dans cette position, le cul à l'air et saignant car il est déchiré de l'intérieur et le crâne sans doute fracturé. Heureusement, quand Dabi n'est pas à proximité, mes blessures ne se sentent presque pas donc je pourrais très bien mourir là car mon corps ne le supporte plus.

⚠️C'est bon, c'est clean maintenant⚠️

Je me réveille ensuite car on m'a donné un coup de pied dans la tête. Toga me tend une assiette et la jette sur moi, faisant ainsi tomber le peu de nourriture qu'elle contenait.

Je n'en peux plus.

Je veux mourir.

Laissez-moi mourir.

J'essaie de manger tout ce que ma langue réussit à atteindre car mes mains sont liées, puis me rendort en espérant ne jamais me réveiller. Je fais un rêve...

Eijiro me retrouve et on s'enfuit d'ici. La police arrête Dabi et les autres et on n'entend plus jamais parler d'eux car ils pourrissent au fond d'une cellule. J'attrape la main qu'il me tend et ne la lâche plus jamais. Nous sommes unis et passons nos journées ensemble à discuter et rigoler. On s'embrasse et je lui dit que je l'aime. Il me répond la même chose. Notre maison est grande et nous adoptons un petit chien qui nous remplie de bonheur. On finit vieux et ridés, mais heureux.

Je crois que je l'aime. Oui, Eijiro, je t'aime.

À suivre...

Kiribaku: I F*cking Love YouOù les histoires vivent. Découvrez maintenant