Kiribaku: I F*cking Love You

chapitre 31

Pdv Katsuki:

Pfiou...enfin débarrassé des autres. Putin, j'pourrais plus jamais leur faire face maintenant.

Je vais aux toilettes mais remarque un jolie moustique qui me suis.

Moi: Et tu compte me regarder faire ?

Eiji: Pas seulement regarder...

Moi: C'est moi ou t'es passé en mode hot aujourd'hui ?

Eiji: La faute à qui ? C'est toi qui m'a sauté dessus...

Moi: Ouais mais c'est toi qui étais bien trop attirant pour que je ne te saute pas dessus.

Eiji: Je peux en dire de même en ce moment...

Moi: Tu vas me sauter dessus là ?

Je le vois se rapprocher de moi et coller son corps à mon dos. Il enroule ses bras autour de ma taille, ce qui est mignon, mais dirige ses mains vers ma braguette et ça, c'est plutôt hot que mignon.

Il défait lentement ma braguette et glisse une main entre les 2 tissus. Celle-ci viens attraper mon sexe et sans faire exprès, je lâche un petit bruit grave gênant.

Pourvu qu'il ne l'ai pas entendu...

Pitié...

Eiji: Bah alors ? On gémis déjà ?

Moi: Déjà ?

Eiji: Bah ouais...tu ne sortiras pas de cette chambre sans boîter.

Moi: Et le consentement tu connais ?

Eiji: T'en raffole d'envie, arrête de faire genre...

Moi: Peut-être,  ouais...

Eiji: Alors...on le fait ?

Moi: Je te préviens, si t'es pas bon, je prends ta place de dominant ok ?

Eiji: Eh bien tu ne la prendras jamais !

Il commence à lècher ma nuque et mes oreilles, et retire mon pull (enfin...celui de Shoto) en l'envoyant valser à l'autre bout de la pièce.

Moi: Tu ne perds pas de temps dis-moi...

Eiji: Le cour de sport ne dure qu'1h30...

Moi: Car tu penses pouvoir tenir aussi longtemps ?

Eiji: C'est plutôt pour toi que je m'inquiète...

Sérieux, on dirait une bataille. Le but ? Lancer des phrases provoquantes à l'autre afin de l'exciter.

Sans prévenir, il me retourne et nous nous retrouvons face à face, ses lèvres sur les miennes. Il m'embrasse tendrement puis glisse sa langue dans ma bouche...on n'avait jamais autant intensifié un baiser avant...

Sans romper notre baiser, il me soulève du sol et me porte dans ses bras jusqu'à me jeter sur le lit. (On est dans sa chambre). Avant que je n'ai pu faire quoi que ce soit, il attrape mes mains et les retiens sur le matelas en enlaçant ses doigts aux miens au niveau de ma tête.

Il m'embrasse toujours plus et descend le long de mon cou en laissant des marques.

Moi: Hey, pas de marques visibles !

Eiji: Pourquoi ? Je veux qu'ils sachent que tu m'appartient.

Moi: Ouais mais c'est plus gênant qu'autre chose.

Eiji: Rooooh tu gâche le moment là. Okay, pas de marques visibles.

Moi: Merci le puceau !

Eiji: Tu m'as appelé comment ?