Partie 40

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I'm back ( encore) .... Sorry pour cette longue disparitions mais j'avais besoin d'une pause pour gérer ma vie perso mais je vous quitte pas promis ! J'espère en tout cas que cette partie va vous plaire ( je me suis pas relue pour la poster le plus rapidement 🖤) !

 Sorry pour cette longue disparitions mais j'avais besoin d'une pause pour gérer ma vie perso mais je vous quitte pas promis ! J'espère en tout cas que cette partie va vous plaire ( je me suis pas relue pour la poster le plus rapidement 🖤) !

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De l'agitation, ou plutôt un vacarme, c'était ce qui s'échappait de l'appartement. La porte était entrouverte, c'est la première chose que j'avais remarqué avant le bruit, en sortant de l'ascenseur. Je me suis empressée de pénétrer dans l'appartement, d'où les voix se faisaient de plus en plus fortes. C'était bien lui, c'était bien sa voix et la colère qu'elle trahissait m'a tout de suite interpellé. C'est alors que je l'ai aperçu, lui, les traits tordus par la rage, les muscles de son torse nus contracté, et fulminant, effervescent à la  limite de l'implosion. Mais le véritable choc vint ensuite, quand je compris contre qui se dressait cette colère. 

- Hamza: Espèce de p'tit enc**é, répète moi ça jte rentre dedans !

- Joas: Ah ouai ? Mais la tête de oim tu fais le fou, à quel moment tu te prends pour mon daron toi ?
- Hamza:  Fils de p**e, je suis à deux doigts de t'enclencher ta race et tu fais le fou ?! J'avais dis quoi la fois dernière ??? Hein ???
- Joas: Rien à foutre akhy, la vie évite de me prendre pour un ptit c*n ! La tête/
- Hamza: La vie de ma mère t'es mille fois plus con que tu le penses c'est bon ?! Sale ptite merde ! T'as oublié la fois dernière ? Comment t'en a trimé? T'oublie la merde dans laquelle je me suis mis pour ta sale r*ce !!!

C'était bien Joas, Joas son frère. C'était bien avec son frère ou plutôt contre son frère qu'il témoignait une telle violence, violence que son frère lui rendait en retour. La complicité fraternelle d'il y a quelques jours à laquelle j'avais été témoin n'existait plus à l'instant présent. Je n'avais jamais vu Hamza aussi furieux. La violence des propos de l'uns comme de l'autre me laissait sans voix. 

Je me suis faufilée dans un coin, doucement, en restant toutefois à bonne distance, de crainte qu'un geste brusque de ma part ne retourne la situation et que je devienne alors la cible de leurs insultes.

Son frère  a la même impression et c'est en voyant des deux boules de haine s'affronter que je remarque qu'il sont bien frères. Les regard qu'ils se lance sont commes des miroirs. 

- Joas: Je t'ai demandé quelque chose ?!! WAllah tu sais très bien Hamza jme contiens mais joue pas au con, au nom frère ou pas, j'hésiterais pas à t'rentrer dedans à domicile !

Et là j'ai vu, le déclic que cette remarque à crée, j'ai vu le regard de Hamza s'allumer. Alors qu'ils étaient jusque-là à quelques mètres l'un de l'autre, il s'est rapidement rapproché de son frère, et cette fois j'ai vraiment cru qu'ils en viendraient aux mains, mon cœur s'est emballé, je ne sais pas comment j'aurais réagis si ça arrivait ! Mais à moins de dix centimètre de son frère il s'est stoppé net. Rien qu'un pas les séparaient l'un de l'autre, c'est alors qu'il a dit d'une voix dur et empreinte de menace:

Mon premier Amour - D.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant