Chapitre 13

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Il prend donc place dans le fauteuil en face de moi. J'enlève mon écouteur qui était encore dans mon oreille et me redresse. Je n'ai pas le temps de penser au malaise qui risque de s'installer que JACKELS se met à parler

- Alors dites-moi, vous n'avez pas eu trop de mal à prendre en charge Nawell ??

OK la conversation tourne autour du travail, je n'ai donc pas à me sentir gêné

-Non , du tout, elle a de l'expérience et elle est bosseuse, je pense qu'elle peut faire une excellente vendeuse

-Excellent, je ne veux pas ravoir à faire à une Jennifer n°2 (C'est une vendeuse qu'on a eu vers Mai, une vrai fouteuse de merde la meuf, rien qu'elle voulait faire des embrouilles, faisait mal son travail et voulait grave faire la forte tête avec les dm, en tout cas ils l'ont dégagé bien vite !!!)

- Et moi donc !!!

J'avais dit ça avec un petit sourire en disant ça et en relevant le regard je voyait qu'il me regardait avec un regard... hyper déstabilisant. Fallait absolument que je reprenne la conversation

-Alors, ce n'est pas trop dur de faire un travail comme le vôtre ?

Brefff la conversation est resté formelle, avec quelques petites blagues par ci par là, et j'en fu soulagée, quoi que...

Une fois que ce fut l'heure de reprendre on est reparti tout les deux au travail.

Le lendemain ma copine est de retour alors pendant notre pause je lui en touche direct quelques mots.

- Eloise: Enfin il passe à l'étape supérieure lui

-Mais qu'est-ce que tu racontes toi ?? On a parlé du travail !

- Eloise: En DEHORS du travail, autour d'un café, en TETE-A-TETE !!

-Mdrrr tu fais pitié, il était seul, j'étais seul, y'a rien, aucune ambiguïté !

-Eloise: Et bah dites donc, t'a presque l'air d'y croire à tes sottises!!

-Mdrrr tu casse la tête Eloise

-Eloise: C'est toi là, tu veux pas voir la vérité en face, le gars on dirait il connaît que toi comme vendeuse, il te bouffe du regard, et quand t'es arrivé en retard hier, Max m'a envoyé un message pour me demander où on était parce que askip le boss te cherchait

-Jure ???

-Eloise: Je te jure, il respire pas sans toi, mais c'est un gentleman alors il va pas te sauter dessus. Mais je t'assures que dans quelques temps tu viendra me voir pour me dire que j'avais raison

Et elle n'avait pas tord....

Jeudi:

Je finissait à 16h30 alors je devais me dépêcher de partir pour rejoindre Maria et Aicha à la Défense, d'autant plus que j'étais pas venu en voiture ce matin car je voulais pas avoir à faire tout Paris en voiture.  Je prends la ligne L et j'y arrive une dizaine de minute plus tard. Aicha devait aller chez Apple alors on y est passé en premier puis on a filé chez Zara. Je cherchais une tenues car Samedi soir, Eloise fêtait son anniversaire dans une boîte connue et elle m'avait invitée. J'avoue que je suis pas une habitué des boîtes mais je suis déjà allé 2 ou 3 fois avec les filles et c'était pas mal. Enfaite tout dépend des personnes avec qui tu y vas, la raison ( certains y vont pour brancher, d'autre juste pour s'amuser avec leur potes), et surtout de la boîte dans laquelle tu vas! Quand j'avais 18ans, j'étais dans une mauvais période de ma vie et j'avais suivit une meuf du lycée dans une boîte, mon dieu l'horreur, yavait que des jeunes déchaînés, de la drogue, des gens bourrés et tout, y'a un gars qui m'avait embrassé de force, il m'avais tiré de force dans le toilettes des gars j'avais eu tellement peur, surtout que yavait d'autres gars à l'intérieur sous tises qui m'ont pas défendu ou autre. Je l'ai giflé de toutes mes forces et je me suis tiré de la boîte. Ça m'avait traumatisé et dégouté des boîtes de nuit pendant un bon moment...                        

Mon premier Amour - D.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant