I always need your love - Bucky Barnes

Chapitre 8.

- Salut Rogers !

Sam me prend dans ses bras. Ça me fait plaisir de le revoir.

- Je suis ravie d'être ici, dis-je.

- Oh ! Qui voilà !

Sarah arrive avec un grand sourire sur le visage.

- Alors c'est toi Dorothy ? Me demande-t-elle.

- En personne ! Je réponds en riant.

- Je suis Sarah Wilson, la sœur de cet humain déjanté !

- Je suis enchantée ! En parlant de Sam, je suis sûre qu'il doit être chiant avec toi, parfois. Déjà qu'avec les Avengers, il faisait que parler et dire des bêtises, alors j'imagine qu'avec toi ça doit être pareil.

- Ça, tu l'as dit ! Mais mes fils sont tellement fiers de voir leur tonton régulièrement. C'est Falcon, après tout, et ils sont fascinés par son courage.

- Tu as des enfants ?

- Oui, ils sont dans leur chambre. Je vais les appeler pour qu'ils te disent bonjour.

- Non, ne les dérange pas. Je viendrais les saluer après.

- Comme tu voudras. En attendant, et si on prenait un café tous ensemble ?

- Parfait !

Devant notre tasse de café, nous échangeons des questions et des réponses sur le groupe de terroriste qui effraie le pays. Sam nous détaille ce qu'il a entendu à la télé, et je fais en sorte à tout garder en tête pour la mission.

- Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que le nouveau Captain America risque de s'occuper de la mission avec nous, dit Sam.

- Tu en es sûre ? Demande Sarah. Peut-être qu'il est au courant que vous allez vous en charger et il ne s'en occupera pas. Il vient tout juste de commencer son rôle de Captain.

- Il a l'air d'être prêt à chaque mission qui se présente, avec son air d'homme narcissique.

- Tu es jaloux, Sam ? Je lui demande en riant.

- Non, mais bon... il est... il a l'air insupportable.

- On verra bien.

Les minutes passent et nous passons un agréable moment.
Les enfants de Sarah sont adorables et, effectivement, ils adorent leur tonton.
Sarah me parle du bateau qu'elle est en train de repeindre et de réparer. Elle va le vendre. Il était à ses parents (et donc à ceux de Sam également), mais ils ne sont plus là, désormais. Personne ne l'utilise, alors elle ne sait plus quoi en faire.