Bonsoir chères lectrices, bonsoir chers lecteurs,
D'abord excusez-moi une fois encore pour mon retard, je voulais vraiment prendre le temps de travailler ce chapitre...
Comment allez-vous en ce dimanche soir ? D'où je viens le temps se fait pluvieux mais ça n'entache pas mon moral puisque j'ai appris que j'avais obtenu mon diplôme. Y a-t-il des personnes parmi mes lecteurs qui ont passé des examens et qui ont eu leur résultat ?
J'aimerai beaucoup savoir également quel style musical écoutez-vous en ce moment ? Est-ce-que vous avez une chanson en tête que vous voudriez me partager ?
Une envie curieuse, simplement. Elle se renouvelera sûrement.
Trêve de bavardage, on se retrouve aujourd'hui pour La Parisienne, que je crois être le chapitre le plus long pour l'instant !
Les choses y évoluent, se précisent.
Soyez attentifs.
Je me suis beaucoup amusée en l'écrivant j'espère qu'il en sera de même pour vous en le lisant.
Je vous laisse découvrir mes mots, ceux de Jungkook plutôt, et comme d'habitude je suis impatiente de connaître vos ressentis.
Note de vocabulaire :
Faquin : personne mal élevée, méprisable
Alburostre : blanc-bec
Coprolithe : excrément fossilisé
Avaleur de charrettes ferrées : vantard
Cervelas de carême : homme possédant des attributs microscopiques
***
Le clapotement des sabots contre le granit, l'écho du vent contre un arbre sans parure, contre le carreau de notre fenêtre aussi. Les jurons des enfants dans les rues parisiennes.
Je crois que c'est ce qui me réveilla doucement de ma nuit de sommeil agitée.
Pourquoi ne pas profiter de la paresse que m'offrait la douceur d'un oreiller blanc, la chaleur des draps, d'une seconde couverture ?
Le -presque- silence et la solitude ?
Eh bien je vous répondrai qu'il est ardu de jouir de ses privilèges exquis, lorsqu'un corps lourd, avachit contre vous, ne vous le permet pas.
« Feignant. »
Des mains cachant un visage, les miennes.
« Faquin. » barbotais-je.
Une tête se frottant contre une autre, la sienne.
« Alburostre des prés. » renchérit-il
Des jambes entremêlées de draps fins et couvertures pelues, les miennes.
« Coprolithe des bas-fonds. »
Une main caressant la peau d'un dos nu, la sienne.
« Avaleur de charrettes ferrées. »
Un temps de réflexion, le mien.
« Cervelas de carême. »
Une main d'enfant giflant une cuisse, la sienne.
Un grognement contre l'oreiller, le mien.
« Tu vas mourir Monsieur Park. »
« Dans tes rêves Monsieur Jeon. »
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Vendôme ♘|ₜₖ
FanficParis, printemps 1889. Il y avait toi, moi, mais pas encore de nous à l'époque.