Je tiens à le dire tout de suite, ce chapitre est TRES TRES LONG. Je l'ai coupé en deux parties exprès, mais même cette partie est ... longue. XD Je tiens à m'excuser pour vous proposer un chapitre interminable, je sais que ce n'est pas terrible, mais sans ça, je ne peux pas avancer.
Aussi, je sais très bien qu'au Japon, il y a école le samedi, et les cours du soir sont obligatoires, autant pour Noriaki que pour Jotaro (même s'ils sont des têtes). Cependant, j'ai décidé que ce lycée n'en proposait pas et qu'en plus, de toute manière, Nori n'aurait pas pu y accéder à cause de sa santé. Voilà, c'est dit. x)
Sur ce, bonne lecture et j'espère que vous apprécierez !!
PS : J'ai plus de deux semaines de correction dessus, alors il se pourrait que malgré tous mes efforts, il y reste des fautes. Pardonnez-moi...
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21 novembre 1989 – 7h
Tokyo, Japon
« Hey, Jojo. Fais-moi penser à te montrer un truc ce midi, salua d'une manière peu conventionnelle le roux. »
On était le lendemain de la rentrée de Kakyoin, et donc la journée succédant cette fameuse soirée où les révélations ont fusé. Le délinquant attendait patiemment son meilleur ami en bas des marches, avec, en prime, un groupe de fans.
Jotaro avait eu un peu de mal à s'endormir, cette nuit-là. Il ne cessait de se repasser en boucle les paroles de l'artiste, mais surtout de cette proximité avec lui. Ce n'était pourtant pas leur première embrassade, mais celle-ci était tellement nécessaire et intense qu'elle était restée dans l'esprit du brun. Durant toute la soirée qui a suivi son départ de sa maison, l'héritier des Joestar avait eu l'impression de ressentir toujours ses mains dans son dos, mais aussi sa tête contre son épaule. Il continuait à ressentir son souffle alors qu'il n'était plus contre lui. Il sentait également entre ses propres doigts, la douce chaleur émanant du corps du plus fin des deux. Ces sentiments étaient très perturbants, mais ce n'est pas pour autant qu'il s'attarda dessus. Après tout, ça devait être à peu près normal de ressentir cela après tant d'années de solitude. Il se doutait que c'en était de même pour le roux.
Tout en abaissant légèrement sa casquette, il répondit à Kakyoin par un « hm ». Il patienta que l'artiste se mette à son niveau pour l'observer pendant qu'il salua les groupies. Aujourd'hui, il avait l'air radieux, bien plus que d'habitude. Ses sourires étaient sincères, et à chaque fois qu'il captait le regard de Jotaro, il lui en envoya un tendre. À ces chaque sourire tendre, il crut sentir son cœur s'emballer. Il était content que son meilleur ami lui montre aussi bien sa joie, certes, mais il ne comprenait pas pourquoi son cœur s'affolait comme ça.
Le chemin pour aller à l'école s'effectua avec tranquillité. Comme à leur habitude, le roux fit la conversation tandis que le brun se contentait d'écouter. Il parlait de son dernier livre qu'il avait commencé hier, un bouquin français traduit en anglais où l'auteur narrait ses souvenirs de la guerre 1939-1945. Lorsqu'ils arrivaient en classe, ils s'asseyaient à leur place et discutaient jusqu'à ce que les cours commencent.
Le professeur principal donna son cours de sciences, mais s'arrêta à la moitié du temps imparti.
« Comme on a bien avancé, je vais en terminer là, déclarait-il alors qu'il revenait à son bureau. Il prit un paquet de feuilles avec lui. Tout le monde suait à grosses gouttes, pensant qu'il s'agissait d'un contrôle surprise. J'ai ici avec moi des feuilles questionnant vos choix d'orientation. Il va sans dire que depuis la rentrée des vacances d'été, vous aviez dû constituer vos dossiers d'inscriptions pour les facultés de votre choix. Certains ont même déjà commencé à passer les examens d'entrée, même si la grosse partie d'entre vous les effectueront au mois de février.
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Moonlight Sonata
FanfictionLe combat contre DIO était terminé. Après tant d'années de guerre et d'acharnement, la famille Joestar et même le monde, pouvaient souffler. De retour au Japon avec son meilleur ami, Jotaro et Kakyoin vont pouvoir enfin vivre une véritable et premiè...