PROLOGUE

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J'ai toujours cru en l'amour. A mes yeux l’amour c’était la douceur d’un chocolat, le goût d’un bonbon acidulés et d’un tourbillon d’émotion. Cela représentait le bonheur parfait. En ce temps, je pensais comme une enfant et je n’avais qu’une envie, celle de vivre le grand « Love ».On en a tous rêvé au moins une fois.

Je semblais aveuglée par mes rêves, dupée par le mot parfait. Et puis, je me suis demandée : si l’amour était parfait, ne serions-nous pas lassés par cette perfection ? L’Homme se lasse facilement, comme du « train-train » quotidien qui devient vite insupportable. Nous avons besoin de chose imparfaite pour pouvoir parler de défaut. Nous sommes tous composé d’imperfection. Des faiblesses qu’aujourd’hui je paye. L’illusion d’avoir cru que les rêves étaient éternellement parsemés de rose.

Encore une fois, je me trompais car toutes les bonnes choses ont une fin, puisque l’on finit toujours par se réveiller tôt ou tard.

L'interditOù les histoires vivent. Découvrez maintenant