Chapitre 33: A un cheveux

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Ellipse de 3 jours
Jour 61
Vendredi, 1 septembre

PDV Nina

Une bombe venait d'être dégoupillée et l'explosion risquait d'être dévastatrice. Je regardai la scène avec appréhension.
Zack se leva et pris une paire de ciseaux sur le bureau du professeur.

Oh mon dieu ça y est, il va tuer quelqu'un, en cours avec une paire de ciseaux.

ZACK ARRÊTE! Hurlai-je en me levant de ma place prête a l'arrêter dans sa tentative de meurtre. J'étais la seul de cette classe a le connaître et la seul qui avait un temps soit peu une chance de survivre à une quelconque tentative de désamorçage. Je priais pour que le minimum de lien qui nous unissais l'empêche de déverser sa rage sur moi.

Il me regarda dans les yeux et j'y vis la noirceur de sa colère. On aurait dit une bête enragée. Il leva sa mains contenant l'objet coupant et sans que je m'y attende, il coupa le mottons de cheveux où se trouvais le mélange collant qui lui avait au paravant été malencontreusement déversé sur la tête.

Ils ont quoi cette semaine les lycéens de ce bahut. On aurais dit qu'ils s'étaient donné le mot pour faire chier la pire personne qu'il aurait pu trouver. AKA Zack

On s'en vas, ordonnât-il sèchement.

Mais...

Le regarde qu'il me lança me dissuadai expressément de continuer ma phrase.

Monsieur Meyer, vous n'allez nulle pas, retourné vous assoir, tout de suite, ordonna Madame Holloway, alors qu'il ramassait ses chose et quitta la salle de cours.

Je fis de même tout en nous excusant avant de quitter la classe sous les menace de notre professeur.

Où il est passer et pourquoi je le suis d'ailleurs? Ah oui, c'est vrai! On dois rester ensemble quoi qu'il arrive au cas où je ma fasse agresser par je ne sais qui. Putain de protection rapprochée.

Je ne savais pas comment ils avaient fait mais ils avaient réussi à faire en sorte que Zack soit dans toute mes cours. Je commençais à me dire que c'était inutile et que je m'étais fait des idées, puisque rien ne c'était encore jamais passer. Le fameux stalker inconnu n'avait donné aucun signe de vie.

Je déambulait maintenant dans les couloirs du lycée en direction de la sortie menant au stationnement, où j'espérais le retrouver. Comme de ce fait, il m'attendait assis sur sa moto. Un casque sur la tête et un autre dans les mains.

C'était long, grogna t'il tout en me tendant le casque qu'il tenais, monte.

T'a même pas attendu une minute. Grommelai-je en m'assoyant derrière lui.

Je mis mes mains de part et d'autre de l'arrière de la moto évitant de m'accrocher à lui. J'adorais faire de la moto et c'était le seul bon point de cette situation. Il fait gronder le moteur et part en trombe m'obligeant a m'accrocher à lui.

Grâce au ciels nous étions arrivés en un seul morceau et il avait respecté tout les code de la route, sauf la vitesse qui paraissait être une chose dérisoire.

Nous entrâmes dans la maison et dans la seconde, il balança ses clés sur la tablette à côté du miroir de l'entrée.

J'enlevai mes soulier avant d'aller porter mon sac dans ma chambre.

Nous étions parti durant la deuxième période alors il était encore tôt. Je retourna au rez-de-chaussée et le vit chercher quelque chose dans les tiroirs de la cuisine. Sans délicatesse et avec une colère plus que visible. La vitesse ne l'avait définitivement pas tempérée. Il refermais les tiroirs qui claquais faisant écho dans la pièce.

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