Tout a commencé durant ces fameuses vacances a la villa des James. C'était avant leurs dernière année de lycée. Cameron revenais d'Angleterre après un ans d'absence et ils devaient rattraper le temps perdu.
Sauf que cette bande de jeune dont les pa...
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N.A: Le « ov » à la fin des nom en russe se prononçant « off ».
J'étouffais. L'air chaud, les gens autour de moi. J'avais besoin d'aire, alors je suis sortie. J'avais un peu trop bue, mais je n'aurais pas vomi. Je ne vomissais pas. Jamais. Je m'étais assise sur le capot de la Camaro à Cameron. J'en avais rien à foutre. À ce stade je ne me souciais plus de rien. Je m'allongeais et regardais le ciel. Il était dégagé, il n'y avait aucun nuage en vue. Malheureusement, les étoile étais à peine visible à cause de la pollution lumineuse de la ville. Je restais dans cette position une seconde, une minute, voire même une heure. Je n'avais plus aucune notion de temps.
— Anastasia.
Cette voix, c'était celle d'un homme. La première chose qui me frappa c'était son accent, il était Russe. J'en étais sûr.
Je me redressai vivement et le regardais interloqué. Plus personne ne m'avait appelé comme ça depuis mes 8 ans. Un vertige me prit. Je tentais de me retenir à la voiture. Je m'étais levé trop rapidement.
— Qui êtes-vous et comment...
Le noir. Je ne voyais plus rien, rien que du noir....
J'ouvris tranquillement les yeux. J'avais mal à la tête. La lumière de la pièce, où je me trouvais m'aveuglait. Je du prendre quelques secondes pour m'adapter à cette lumière qui étais beaucoup trop blanche à mon goût.
(Conversation en russe)
— Enfin tu te réveilles.
Je me relevai machinalement, légèrement paniquer, réalisant quej'étais coucher sur un lit dans une chambre, que je ne reconnaissais pas, fixer par deux inconnus. Je scannais l'homme qui venait tous juste de m'adresser la parole. Il était assis sur un fauteuil en cuir noir, face à moi. L'autre homme quant à lui se tenait devant la porte tell un gardien de sécurité.
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— Où on est et pourquoi me retenez vous prisonnière? Lui crachais-je à la figure de mon ton naturellement glacial sans aucune peur ni crainte.
