Tout a commencé durant ces fameuses vacances a la villa des James. C'était avant leurs dernière année de lycée. Cameron revenais d'Angleterre après un ans d'absence et ils devaient rattraper le temps perdu.
Sauf que cette bande de jeune dont les pa...
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Jour 52 Mercredi , 23 Août
PDV Cameron
Comme chaque fin d'été un gros feu de camp était organisé a la villa de Chuck. Ce mec faisait des fêtes pour n'importe quel occasion. Son père était dans la finance et trempais dans du détournement de fonds et tout un tas de délit fiscaux. Mon père avait déjà fait affaire à lui.
Adossée à un arbre au sol, Kylie entre mes jambes collé contre moi, nous faisions face au feu.
— Dis, on est quoi maintenant? Je veut dire...
Elle fait une pause comme si elle c'était perdu dans ses pensées.
— Je pensais que c'était évident, lui dis-je en lui attrapant la mâchoire pour lui tourner la tête afin qu'elle me regarde droit dans les yeux.
— Dit le, me demanda-t'elle les yeux étincelant.
Je n'allais plus fuir mes sentiments. Ils étaient en moi depuis toujours et je devais y faire face. Je n'allais pas lui dire les 3 mots constituer de 7 lettres tout de suite, même si c'était ce que je ressentais, je ne m'en sentais pas capable. Je savais simplement qu'elle était mienne quoi qu'il arrive.
— Tu es a moi et je suis à toi. Personne d'autre que toi ne compte et ça depuis toujours. Lui dis-je avant de l'embrasser à pleine bouche avec langueur.
Je n'avais jamais dit quelque chose qui me paraissait plus vrai que cette déclaration. Mon cœur et mon âme me le criait haut et fort depuis toujours mais... mon cerveau et ma conscience eux, voulais la protéger de moi.
Quel idée stupide.
Après ce long baiser je collai mon front au siens profitant de cette instant comme si nous n'étions que tout les deux dans une bulle de plénitude absolue.
— Pour toujours et a jamais, tu te souviens.
Cette phrase qui avait toujours été une promesse entre nous deux venais de sortir de mes lèvres dans un souffle.
— Pour toujours et a jamais, me confirma-t-elle en caressant ma joue un sourire peint sur ses belle lèvres qui furent recouvertes par les miennes dans la seconde.
L'embrasser était devenu vitale.
Après je ne sais combien de temps passer à nous embrasser sans pouvoir nous arrêter nous fument bousculer par une fille au cheveux bleu un peu rondelette qui manqua presque de renverser le contenu de ses verres sur nous. Elle s'excusa sans trop nous porter attention, continuant son chemin.
— Tu viens on va changer de place, sinon on va finir piétiner par les soûlons.
Elle gloussa avant de secouer sa tête et de se lever. Je fis de même et sentant un vide alors qu'elle n'était plus collé à moi, je ne pu m'empêcher de l'attraper par la taille pour la coller à mon corps, sellant nos lèvres pour un baiser cette fois-ci possessif.
