Tout a commencé durant ces fameuses vacances a la villa des James. C'était avant leurs dernière année de lycée. Cameron revenais d'Angleterre après un ans d'absence et ils devaient rattraper le temps perdu.
Sauf que cette bande de jeune dont les pa...
N.A: J'ai décider de faire mes réécriture puis de les corrigé complètement plus tard puisque de faire les deux ensemble est beaucoup plus long. J'ai aussi fusionné des chapitres puisque je l'es trouvais court comparé au nouveau que je fais maintenant.
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Jour 3 Dimanche, 25 juin
PDV Isabella
Après le déjeuner nous partîmes tous ensemble à l'épicerie... Nous n'allions pas commander toute la semaine.
Arriver là-bas, je décidai de prendre Cameron à part des autres pour lui parler. Je sais, ce n'était pas le meilleur endroit pour le confronter, mais bon.
Faut qu'on parle! Lui dis-je à l'oreille tout en le prennent par le bras.
— On va chercher du papier de toilette et du détergent on vous rejoint aux caisses! Averti-je les autres avant d'attirer Cameron plus loin avec moi.
— Oui, qu'est-ce qui a?
Alors qu'il me regardait, les mains dans les poches avec nonchalance, je lui fis un magnifique sourire. Il fronça les sourcils d'incompréhension, ne comprenant clairement pas cette démonstration soudaine de "joie". Je lui assénai ainsi une claque derrière la tête qu'il ne vit pas venir. Je sais, je pouvais être quelque peu violente parfois...
— Hey! dit-il en se frottant la tête et en me regardant avec confusion.
Face à cette réaction, je lui montrai une expression faciale qui se traduisait par "ne me regarde pas comme sa tu le mérites ", puis je lui assénai un second coup.
— Qu'est-ce qui te prend, bordel !? s'énerva-t-il.
— Y me prend que t'es débiles!
— Mais qu'est-ce que j'ai fait?
— Un indice... Nessa! Peut-être que ça va t'allumer? Dis-je en fronçant les sourcils d'irritation.
— Nessa? S'interrogea-t-il, comme s'il n'avait aucune idée d'où je voulais en venir.
—Sí... Nessa... arrête de faire l'innocent, cabrón! Tu sais très bien de quoi je parle! (idiot)
— Je vois pas où tu veux en venir!
Il était fort, si je n'avais pas entendu la conversation qu'il avait eue au téléphone, je l'aurais crue. Rien ne le trahissait.
— Estúpido! L'insultai-je, alors que je tentais de lui asséner une troisième claque derrière la tête, pour lui clarifier les idées.
— Ah, arrête de faire ça! m'ordonne-t-il tout en attrapant mon poignet, m'empêchant d'accomplir mon action purment mérité.
— J'arrêterai quand t'aura fini de me prendre pour, un idiota. T'as couché avec Nessa! (une idiote)
