En média, le chant chanté par Elisa et Deborah...
ELISA.
J'arrive au domicile de ma fille après être passée voir Béni pour récupérer les clés, j'espère que tout va bien et que ce n'est qu'un malentendu... Mais j'ai la conviction que la situation est tout autre.
J'ouvre la porte d'entrée, la maison est plongée dans le noir. Aucun rideau n'est tiré, toutes les fenêtres sont fermées.En tirant ma valise, je m'aventure dans la maison.
Elisa - Mon bébé ?
Des gémissements me parviennent. J'accélère alors mon pas en retirant mes talons et en laissant ma valise derrière moi. Je remarque que la porte de la cuisine est mal fermée je la pousse et je distingue maintenant clairement les pleurs de ma fille.
Elisa - Deborah, où est-ce que tu es mon bébé ? Maman est là, dis-je sur le point de craquer.
J'allume la lumière car je n'y vois absolument rien.
Deborah - Maman ?
Elisa - Ma chérie je suis là viens me voir, je contourne le bar.
Et je la découvre assise derrière le dit bar, elle avait la tête levée et les genoux pliés contre elle. C'est lorsque son regard se pose sur moi qu'elle recommence à pleurer tout en tendant ses bras vers moi.
Deborah - Maman...
Elisa - C'est fini, maman est là mon cœur. Je suis là...
Je me mets devant elle sur mes genoux avant de la prendre dans mes bras, SEIGNEUR qu'est-ce qui a bien pu la mettre dans cet état ? Il est difficile de retenir mes larmes devant la douleur de mon enfant, mais je prend sur moi et la console comme il m'est donné de pouvoir le faire.
[...]
Le soir commençait déjà à tomber alors j'ai décidé de faire le repas pour mes enfants, Deborah était dans mes pattes et n'avait pas beaucoup parlé depuis. Je l'avais envoyé se laver, ce qu'elle a fait avec peine puis je l'ai habillé moi-même.
(nda, elle n'a que choisit ses vêtements et n'est pas restée dans la pièce lorsque Debo s'habillait)
On était restées au salon à écouter de l'adoration, par la grâce de DIEU elle s'était calmée. Mais elle ne me lâchait plus, ça me rappelle son enfance.
Deborah - Maman... pourquoi moi ?
Elisa - Parce que tu es forte, et que tu peux le faire ma chérie.
Deborah - Non, je ne suis pas forte.
Elisa - Oh que si tu l'es, énormément même.
Je pose mon couteau et essuie mes mains avant de lui faire face.
Deborah - Si j'étais forte j'aurais eu des enfants Maman. Mais je ne peux pas en avoir... Béni ne voudra plus de moi.
Elisa - Si c'est pour raconter des bêtises je préfère que tu ne dises rien Deborah. Je refuse de te laisser sombrer comme ça, tu vas te relever.
Deborah - Mmh.
Quand on était au salon j'ai pu apprendre ce qui avait autant attristé ma fille. J'ai été très surprise car dans ma famille toutes les femmes sont hyper fécondes. Nous n'avons aucun antécédent d'infertilité et je sais que du côté de mon mari non plus.
Le SAINT-ESPRIT m'a révélé que c'étaient des attaques et des liens familiaux qui réclamaient les bénédictions de Béni et Deborah. Quand j'irai dormir j'enverrai un message à Joël, pour qu'il ait l'information.
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Restauration
General Fiction«Que l'homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.» Marc 10:9 C'est l'histoire du couple Ortega, mariés depuis 3 ans, ils filent le parfait amour. Loin de Jésus-Christ, ils ont essayé de bâtir leur foyer mais celui qui bâtit sur le sable bâ...