He saved me all the ways {Pietro Maximoff}

7

Tu étais remontée dans ta chambre juste après le gâteau. Pendant que tout le monde chantaient tu étais restée dans le salon sur le canapé. Steve t'avais lui même portait une part et tu avait fait semblant d'en être honorée ce qui le fit rire. Tu n'avais pas tentée de ressortie, tu étais très bien dans le salon. Sam était venu te tenir compagnie en mangeant. Il te racontait ses potins. En finissant tu l'avais saluée et étais partie sans rien dire d'autre.

Ce matin tu descend prendre ton petit déjeuner. Tu croise Pietro et sa sœur dans les escaliers, comme à son habitude il attend sa sœur en bas des escaliers. En t'asseyant tu te mets à côté de Sam. Tu commences à déjeuner en paix, pour une fois personne ne t'adresse la parole.

-Y/N cet après midi on va faire quelques achats tu viendra. Dit Nat en pointant le bout de son nez à table.

-Non merci.

-Tu n'a pas vraiment le choix aujourd'hui. Dit elle. Il est temps que tu sorte.

-Je suis occupée.

-Tu mens. Dit Sam en se levant.

-La ferme toi.

-Je serai là, Sam aussi et...

Tu te lève, on pourrait croire que tu est énervée. En réalité tu est effrayée.

-Je me fout que toi, Sam ou je ne sais qui soit là Natasha ! Tu hausse le ton.

-Après hier je pense qu'il est temps que tu te bouge y/n. Dit ta sœur en haussant elle aussi le ton.

-Et moi je t'assure que non !

-Tu veux rester enfermée dans ce complexe tout le reste de ta vie ?! T'es rêves de voyages et d'aventures ils sont passés où bon sang !

-Ils sont restaient dans la cellule où j'ai croupis des mois. Tu crois ça me fait plaisir d'être ici toute la journée ? Je tourne en rond, j'en deviens presque folle ! Dit tu les larmes au yeux face à ta sœur.

-Ça a pas l'air de te déplaire puisque tu ne sors jamais !

Elle aussi elle a les larmes au yeux. Sam et les jumeaux vous observe en silence. Vous savez toutes les deux que ça va partir trop loin.

-Parce que je n'y arrive pas ! T'a cru que j'aimais tellement mon emprisonnement je me suis dit "oh trop fun reste cloîtrée ici ça te rappellera des souvenirs". Non, vraiment pas.

-Je fais tout pour t'aider et j'ai l'impression que ça ne sers à rien ! Tu va rester ici jusqu'à ta mort parce que tu ne fait pas d'effort ! Cria t-elle les larmes au yeux.

C'est bon. C'est allée trop loin. Elle le sait. Tu le sait. Les Maximoff et Sam le savent.

-Va te faire foutre ! Je t'ai jamais demandée de m'aider ! Dit tu en partant.

-Je ne vais pas rester là les bras croiser pendant que ma petite sœur se meurs seule dans sa chambre ! Cria t-elle alors que tu étais déjà à la moitié des escaliers.

En se tournant elle vu Sam et les jumeaux la fixait. Elle parti dans une salle de bain.

En montant les larmes t'empêche de voir les marches. Tu te dépêche d'atteindre ta chambre. En fermant ta porte tu t'assoie dos à elle, les larmes coules le long de tes joues. Tu entend ton cœur t'embouriner dans tes oreilles. Tu lui en veux mais tu t'en veux aussi d'avoir réagi comme ça. Ça aurait pu être une bonne journée. Bonne est un bien grand mot. Tu remarqua que tu avais oubliée ton téléphone en bas. Au même moment on toque à ta porte. Tu te releve pas sans mal et ouvrit. T'es yeux étaient encore pleins de larmes tu eu du mal à distinguer Pietro. Sans que tu ne comprenne il était rentré dans ta chambre et ferma la porte. Il était beaucoup trop près et devant ton air paniqué il recula.

-Je venais te ramener ton téléphone.

Tu ne répondais rien. Aucun son ne pouvait sortir. Tu essuia juste tes yeux.

-Pleure pas princesta, elle s'en veux autant que toi. Ça arrive les dispute entre frères et sœurs enfin sœur et sœur du coup.

Tu t'assoie sur ton lit. Bizarrement là tout de suite tu voudrais le supplier qu'il reste, qu'il te parle de tout et de rien. Le supplier de te prendre dans ses bras. Tout se que tu a besoin là tout de suite ce serait un câlin. T'a du mal à respirer. Il le remarque et s'accroupi devant toi posant doucement ses mains sur tes genoux.

-Ça va aller princesta.

Il ne savait aucunement se qu'il faisait mais il ne voulait pas te laisser comme ça.

-Tu veux un verre d'eau ? Il se lève et va dans ta salle de bain. Merde il n'y a pas de verre euh... T'inquiète princesta je me débrouille.

Tu entend l'eau couler. Il revient les mains collés l'une contre l'autre. Des gouttes tombent de ses mains.

-Promis je me suis lavé les mains. Dit il en rigolant.

Toute l'eau dans ses mains coula sur le sol et sur son jean. Il jura et te regarda désolé.

-Je me doutais que ce n'était pas une très bonne idée.

Il alla rapidement se sécher les mains et reviens s'accroupir devant toi. Doucement il approche ses mains de ton visage et essuya tes larmes. Sans réfléchir tu te jette dans ses bras. Tu manque de le faire tomber parce qu'il n'était pas vraiment stable. Tu le serre contre toi et lui t'enlace doucement. C'était le premier vrai contact physique que vous aviez eu. Tu avais ta tête fourrée dans son cou. Il sentait bon, tu trouvais ça rassurant la façon dont il te prenait dans ses bras. Il senti que ta respiration se calmais et ça le rassurait. Pietro passa sa main dans tes cheveux.

-Ne me fait plus de frayeur comme ça princesta.

La premier fois que tu l'avais rencontré tu avais remarquée son accent mais ni avait pas prêtée attention.

Sans toquer Natasha rentra dans ta chambre. Quand elle vous vu elle était perplexe. Heureuse que tu ai des contacts humains mais ne comprenait pas vraiment la situation. Elle vous regarda quelques secondes, ses yeux étaient encore rouges.

-Je suis désolée y/n ça n'aurait pas du aller si loin. Je voulais juste t'aider et...je me suis bêtement dit que c'était une bonne idée que d'être un peu brutale pour une fois... Dit elle la voix serrée.

Avant que tu n'aie pu dire quoique ce soit elle était répartie. Tu l'entendis rentrer dans sa chambre. Pietro se leva et t'aida à te relever. Tu le remercia et il sorti.

La musique à fond dans les oreilles tu observait le plafond. Tu n'étais pas ressortie de ta chambre de la journée. Le lendemain non plus. Steve t'avais amené à manger et pour ne pas faire la discussion tu faisait semblant d'être à la douche. Il savait que c'était faux mais ne disait rien sachant pertinemment que ça n'allait pas fort.