𝙲𝚑𝚊𝚙𝚝𝚛𝚎 ¹³

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Alors que je sortais des cours tranquillement, je me fis soudainement embarqué par je ne sais qui. On me tire jusqu'à une ruelle et on m'assome jusqu'à ce que j'en perde connaissances.


Une fine odeur des gouttières me parvient jusqu'à mes narines, me donnant une atroce envie de vomir. J'y crois pas, je suis aux égouts là, attaché à une chaise.

Moi : Ca pu la mort ici.

Tout est crasseux et sale. L'eau circule juste à côté de moi, à ma droite. Elle est d'une couleur grise, montrant bien à quelle point elle est sale. J'essayais du mieux que je pouvais retenir de dégueulé mon repas de midi. Il y a aussi des traces de sang séché un peu partout, donnant aussi sa propre odeur mélangé à celle des égouts. Et mais c'est mon sang ça, on m'a bien abattu.

Je pousse un soupire, me demandant bien par qui m'étais fais-je kidnappé. En tous cas ils vont bien morfler.

... : Alors, on a reprit conscience Miyuki ?


Je relève mon visage vers la personne. Le visage ne me dit rien, c'est bel et bien un étranger.

Moi : Quelle bail ? T'es qui connard ?

... : Oï, tu veux qu'on te trucide sale pute ?

Moi : Retourne en primaire pour apprendre mieux le langage de la politesse. Pestais-je

... : Bien, tu l'auras voulu.


Je le dévisage du regard pendant qu'il craque ses doigts. Il s'approche de moi et me prends par le col de ma chemise de collégienne.

... : Je vais t'apprendre les bonnes manières p'tite pute.

Moi : C'est ca, c'est ca. C'est moi qui va te les apprendres ouais.

Il m'envoie un gros coup de son poings à ma joue. Elle était pas mal, il y va pas de main morte le monsieur. Je souris et crache du sang.

Moi : Pas mal, pas mal. Mais c'est en-dessous de mes capacités. Souriais-je d'un air enjouée


... : Putain tu cherche vraiment ta tombe toi !

Il me redonne plusieurs coups qui ne me font causé que de mes remarques. Bon, assez jouer. Je me détache des cordes qui liées mes mains et me lève de la chaise.


Moi : Mes jambes sont engourdies. Me plaignais-je


Je m'échauffe un peu les bras et me craque le coup sous le regard de mon agresseurs surpris, sûrement dû au fait que je me suis facilement défait des liens de corde.

Moi : C'est quoi ton noms ?

... : Pourquoi voudrais-tu savoir ? Demanda t-il avec méfiance

Moi : Bah pour savoir. Roulais-je des yeux

... : Idiote, je vais te faire voir ce que ca fait de me provoquer.


𝐼 𝑗𝑢𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant