𝐼 𝑗𝑢𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢

𝙲𝚑𝚊𝚙𝚝𝚎𝚛 ⁵³

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En ouvrant mes yeux, je me sentais comme attaquer par la lumière qui m'agresser dès mon réveille. Mes membres étaient lourds et je n'arrivais pas tant à les bouger. Mes lèvres étaient pâteuse et ma gorge sèche.

Je me redressais doucement lorsque mes derniers souvenirs me revenait pour ne pas me faire mal et perturber mes blessures.

Moi : Je vais vraiment par m'habituer par ce genre de réveille. Marmonais-je en ricanant toute seule

La porte s'ouvrit sur un blond tout essoufflé qui se ruait tous droit vers moi. Il était entrain de m'enlacer en essayant de ne pas me faire mal en pleurant. Il leva son visage larmoyant face au mien. Je clignotais des yeux et le regarder, perdu.

Moi : Euh.. Ca va ? Demandais-je, gênée

Takemichi : Heureusement que tu es toujours saine et sauve ici au moins.. Murmura-t-il

Moi : Quoi ?

J'ai raté combien de chose quand j'étais au coma en fait ?

La porte se rouvrit sur mon ami d'enfance qui était tout aussi essoufflé qu'à la venu de Takemichi. Il écarquilla ses yeux en me voyant réveiller et s'avança.

Kokonoi : Te voilà enfin réveillé.

Moi : J'ai autant dormi ?

Takemichi : Trois mois Miyuki.. Trois mois.

Moi : Oh ! Autant !? J'ai battu mon record ! Disais-je en souriant

Kokonoi : J'en ai marre de toi.

Il me frappa à la tête en me lançant un regard exaspéré. Je fis la moue en me frottant la tête.

Moi : Ca fait mal, connards. C'est pas comme ca qu'on accueil les gens qui sort de leur coma. Gonflais-je mes joues

Takemichi : Jusqu'à quand tu vas nous le cacher, Miyuki ?

Moi : Hein ? De quoi tu parle ?

Takemichi : On le sait maintenant. Tu as mal à ton cœur après les coups que tu t'es prise. La nuit du trois août et au Halloween sanglant. Jusqu'à quand tu le cacheras.

Parle t-il de.. Non..

J'ouvrais grand mes yeux et laisser tomber mes mains qui étaient toujours sur ma tête, sur mes jambes. Je baissais mon visage et fixer mes doigts.

Moi : Je.. Je vois pas de quoi tu parles.

Kokonoi : Arrêtes de faire l'ignorante ! Tu sais très bien de quoi on parle !

Il mit un gros coup au mur à côté de lui, me faisant sursauter. Je déglutissais et pousser un long soupire.