𝙲𝚑𝚊𝚙𝚝𝚎𝚛 ⁴¹

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Voir le binoclard juste pendant une semaine dans le gang m'avait envahit mon aire. Je n'arrivais pas à le supportait avec ses plans foireux. Il voulait s'attaquer au Tokyo Manjikai et bien sûr je faisais tous pour détourner ce sujet. Lui-même il en pouvait plus de me voir tourner dans les parages et d'empêcher qu'il manipule Izana.

Moi : Argh ..! Tu sais même pas à quelle point il m'énerve. Avec son sourire là, j'ai envie de le balancer par la fenêtre de notre QG.


Ran : T'as intérêt à le supporter si tu veux pas avoir de problèmes avec le boss. En plus j'aurais à te couvrir et te punir si Izana le souhaite.



Moi : Pff.. Je le sens mal ce binoclard. Croisais-je mes bras contre ma poitrine





Ran : Sinon, à quand tu vas mettre l'uniforme du gang ? Me disait-il d'une tête blasé





Moi : Je l'aime pas. Il est trop moche. Gonflais-je mes joues




Ran : Tu m'énerves avec tes caprices de gamins.






Moi : Non mais je te le-



Une sonnerie retentit provenant dans ma poche. C'est mon téléphone qui sonne et je n'ai tous sauf envie de répondre.


Ran : Et bah ? Tu décroches pas à.. "Akou" ? Me demandait-il en lisant la personne cherchant à m'appeller



Je soupirais et secoue ma tête négativement en remettant en place mon cellulaire là où il était. Je me dois montrer distante pour pas l'impliquer.



Ran : C'est ce mec là. Vas-y, on te suit et sois prudente. Me chuchotait-il


Moi : Est-ce que le grand Ran s'inquiéterait pour moi ? Demandais-je avec un sourire mesquin


Ran : Je vais te faire bouffer le mur si tu-



Je ne lui laisse pas le temps de finir que je m'élance vers notre cible. Je sors en main mon téléphone et fait semblant que je pianote sur mon clavier en envoyant des sms -je spamais Ran pour jouer le jeu-

Et bien sûr, soudainement, je tombe sur cet "inconnu" en faisant tomber mon téléphone au sol et son sac remplit de course. On s'abaissait en même temps et je l'aider à ramasser tous ses courses tomber qui ont pu se faufiler en dehors du sac ainsi que mon téléphone que je remettais à la poche de mon jean arrière. Lorsque il a voulu prendre le sachet de fruit, je profitais de cet instant pour nous mettre un contact physique pour qu'on se regarde droit dans les yeux.

Lorsque ses prunelles rencontre les miens, je lui souriais. J'avais pu voir quelques traits rougeurs venir s'installer sur ses joues qui ne faisait qu'accentuer mon sourire.



Moi : Excuse moi, je n'avais pas fait attention où je marchais. Disais-je en me levant



... : Tu ferais mieux de faire attention la prochaine fois. Se levait-il à son tour en se grattant la nuque





𝐼 𝑗𝑢𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant